PRESSION // DEPRESSION // SUICIDE

Voila, je rentre de vacances et de plus en plus de personnels sont en arret maladie , longue maladie et parfois le point de non retour !!!
Alors France Télécom // ONF ... beaucoup de corporation sont touchées et font l objet d enquête et de secours
Et La gendarmerie QUID ????

Ce post sert à alerter de la situation !

Salut,

Qui veut tu alerter?
Tout le monde s'en fout de nous. Notre statut militaire (celui qui nous protège) permet de faire en sorte que, quoiqu'il se passe, le boulot soit fait.
Alors, n'attendons rien et on sera moins triste.

Les maladies , les longues maladies sont dûment constatées par un médecin ( normalement ) donc sans appel ( normalement )

Quand à la dépression il a toujours été difficile de l'évaluer , de la graduer , voire de la constater.

la dépression est parfois invisible , et les " vrais dépressifs " ne vont bien souvent pas voir le médecin pour dire " doc , je suis dépressif " , c'est souvent leur entourage qui s'inquiète pour eux devant leur comportement.


Les dépressifs qui vont voir le médecin en disant cela sont à 99 °/° des tire au cul.......

Bonjour !

Il existe bien des référents chez nous pour signaler les comportements dépressifs ou inquiétants.
Cependant, dans notre métier, nous n'avons pas le droit de nous montrer vulnérable...
C'est pourquoi chaque militaire s'applique à cacher ses failles... Chacun a sa façon de réagir suivant les évènements...
A force de traiter la misère des autres, on a du mal à s'occuper d'abord de nous...
Ne parlons pas de soutien psychologique lors d'interventions... C'est réservé aux civils, pas aux militaires (dixit le commandement)...
On commence déjà à peine à traiter le sujet pour les militaires revenant de conflits alors pour les autres faudra encore attendre un peu...
Dès qu'on aborde le sujet de difficultés au sein de l'institution, on feint n'avoir rien entendu, ou on nous remets vite à notre place, ou on nous invite à prendre la porte pour voir si ailleurs celà se passe mieux...
Voilà les différents discours que j'ai pu entendre pour l'instant...

Castelbriant a écrit:

Bonjour !

Il existe bien des référents chez nous pour signaler les comportements dépressifs ou inquiétants.
Cependant, dans notre métier, nous n'avons pas le droit de nous montrer vulnérable...
C'est pourquoi chaque militaire s'applique à cacher ses failles... Chacun a sa façon de réagir suivant les évènements...
A force de traiter la misère des autres, on a du mal à s'occuper d'abord de nous...
Ne parlons pas de soutien psychologique lors d'interventions... C'est réservé aux civils, pas aux militaires (dixit le commandement)...
On commence déjà à peine à traiter le sujet pour les militaires revenant de conflits alors pour les autres faudra encore attendre un peu...
Dès qu'on aborde le sujet de difficultés au sein de l'institution, on feint n'avoir rien entendu, ou on nous remets vite à notre place, ou on nous invite à prendre la porte pour voir si ailleurs celà se passe mieux...
Voilà les différents discours que j'ai pu entendre pour l'instant...

ça fou les boulles ...
pourtant ça sent le terrain ... donc ce qu'il se pass en réalité dans la vie quotidienne pour nous, mais en plus dit avec simplicité et retenue ...
je suis avec toi Castelbriant ... non seulement tu fleures bon le vécu mais avec une espèce de sensation qi impose le respect ... du terrain

Un sujet sensible et traité au niveau du suicide là :

https://gendarmes-en-colere.1fr1.net/t16344p90-suicides?highlight=suicide

Maverick écrivait :

maverick a écrit:

Un article qu'il serait peut être intéressant de consulter à ce sujet même s'il date de 2007:




"Entre 2001 et 2005, les armées ont subi 332 suicides et environ trois fois plus de tentatives". Ce chiffre, a priori inconnu jusqu'à présent, est extrait d'un document du Service de santé des armées intitulé "Conduites auto-agressives dans les armées: tentatives de suicides et suicides. Résultats de la surveillance épidémiologique 2001-2005" réalisé par l'Ecole du Val-de-Grâce. Il s'agit des derniers chiffres disponibles.
Ce document est cité dans un article de Haïm Korsia, rabbin et aumonier général de l'armée de l'air, dans la revue de reflexion Inflexions publiée chaque trimestre par l'Armée de terre. Outre une reflexion spirituelle et socio-psychologique sur le phénomène, cet article ('"Se perdre pour savoir") regorge d'informations.
Sur ce chiffre de 332 suicides - soit 66 par an, plus d'un par semaine - "les hommes en représentent 94,9% et ils se suicident, rapporté au nombre d'hommes dans les armées, deux fois plus que les femmes". "44,9% utilisent une arme à feu, en particulier dans la gendarmerie (...) La pendaison vient juste après avec 39,7%". "Contrairement à ce qu'on pourrait penser, les suicides ont lieu en métropole et très peu en opération extérieure".
D'une armée à l'autre, les chiffres sont très variables. "Pour 100.000 personnes, Gendarmerie 27,1. Terre : 19,7. Air: 14,1. Mer 13,2. A rapprocher du ratio de la population civile d'environ 19 pour 100.000" On se suicide donc deux fois plus dans la Gendarmerie que dans la Marine. Pourquoi ? "Les gendarmes sont toujours en opération et le stress lié à cette situation est évident", analyse Haïm Korsia.
L'étude remarque que durant cette période, 59 suicides "ont eu lieu sur le site militaire même, soit 17,8%, ce qui est une façon évidente d'adresser un message d'alerte à l'entité militaire". Ce chiffre correspond à celui des motifs du suicide: 15,5% sont la cause de "difficultés d'adaptation au milieu militaire".
Haïm Korsia insiste sur le rôle de la notation qui prend parfois la forme d'une "note de gueule": "Dans aucun autre milieu, la notation est aussi déterminante". Quant à aller voir un psy en cas de problème, ce n'est pas si simple: "Consulter un psy dans les armées reste l'antichambre de l'inaptitude, le fameux P4. Il importe de rendre le recours à un psy comme un acte aussi banal que consulter pour une grippe ou presque".

Citation :

............. Dans aucun autre milieu, la notation est aussi déterminante.......

Et après on se demande pourquoi les gendarmes ont peur de parler ou de s'exprimer, même anonymement, sur un site web...................

Castelbriant a écrit:

Bonjour !

Il existe bien des référents chez nous pour signaler les comportements dépressifs ou inquiétants.
Cependant, dans notre métier, nous n'avons pas le droit de nous montrer vulnérable...
C'est pourquoi chaque militaire s'applique à cacher ses failles... Chacun a sa façon de réagir suivant les évènements...
A force de traiter la misère des autres, on a du mal à s'occuper d'abord de nous...
Ne parlons pas de soutien psychologique lors d'interventions... C'est réservé aux civils, pas aux militaires (dixit le commandement)...
On commence déjà à peine à traiter le sujet pour les militaires revenant de conflits alors pour les autres faudra encore attendre un peu...
Dès qu'on aborde le sujet de difficultés au sein de l'institution, on feint n'avoir rien entendu, ou on nous remets vite à notre place, ou on nous invite à prendre la porte pour voir si ailleurs celà se passe mieux...Voilà les différents discours que j'ai pu entendre pour l'instant...

tout en nous tendant un dossier pour devenir petit gris en nous disant qu'on a mangé notre pain blanc

Une fois de plus il faut appuyer là où ça fait mal et l'association ouvre un dossier pour le prochain magazine à paraître fin août. Si vous avez envie de faire connaître votre sentiment n'hésitez pas à la contacter.

pas d'accord avec Draco, car si tu as de la fièvre et que tu vas chez le médecin tu es un tire au cul ? moi dans mon unité le patron a reproché un arrêt maladie à un collègue (gradé) pour de la sciatique. tire au cul qu'il lui a dit. comme quoi nous sommes tous des tire-aux-culs.
mange du grain

carpa a écrit:

tout en nous tendant un dossier pour devenir petit gris en nous disant qu'on a mangé notre pain blanc

ou une place dans le civil avec un grand sourire et une tape dans le dos.... et en plus faudrait dire "merci".

de toute facon avec moins de personnels le boulot est toujours fait alors on se fait notre propre mal. C'est même un devoir pour le militaire d'assumer ses missions en dépit des difficultés, c'est d'ailleurs le crédo de tout bon mili. Sur ma Cob j'ai fais le constat que nous torunons toujours avec -5 personnels (stage, maladie,mutation). Une brigade fille n'avait que 3 personnels, la Cie voulant un planton pour chaque nuit, les repos étaient accordés mais les mili devaient revenir avant 19H au cas ou...et bien, personne n'a bronché.

mange du grain a écrit:

pas d'accord avec Draco, car si tu as de la fièvre et que tu vas chez le médecin tu es un tire au cul ? moi dans mon unité le patron a reproché un arrêt maladie à un collègue (gradé) pour de la sciatique. tire au cul qu'il lui a dit. comme quoi nous sommes tous des tire-aux-culs.
mange du grain

J'ai dit que ceux qui allaient voir le médecin en se disant dépressifs et qu'il leur fallait un arrêt étaient des tire au culs , j'ai pas parléde maladies " constatables " sur pièce , un gars qui a 39° ou un qui peut pas se lever ou marcher c'est du concret.....

la déprime , on ne peut pas se la diagnostiquer soi-même..... quoi que , en lisant certains posts.....
je déprime....

effectivement ... cet avis n'engage que cet individu.

Il faut bien être dénué de compassion et de commisération pour affirmer d’un ton péremptoire que 99% des dépressifs sont des tires au cul. La vie réserve parfois des (mauvaises) surprises qu’à un moment donné on ne se sent plus en capacité d’affronter. Je parie d’ailleurs qu’une majorité de suicidés a agit sous le coup d’une profonde dépression nerveuse. Nous ne sommes que des hommes avec des sensibilités et des faiblesses de niveaux divers. Certains sont plus forts que d’autres (et pas toujours les mieux constitués physiquement). Je pense qu’il ne suffit pas d’aller voir un médecin en lui disant : « docteur, je déprime, j’ai besoin d’arrêt maladie » Ce serait vraiment prendre ces personnes pour des c..s. Les médecins procèdent toujours à des examens déterminant leur décision, et ne sont pas aussi dupe qu’on voudrait le faire penser.
Faire une patrouille avec un camarade en pleurs et totalement déstabilisé, c’est se mettre soit même en danger. Il me paraît donc raisonnable que ce collègue soit soigné et placé en arrêt maladie avant qu’il n’arrive le pire. La dépression nerveuse est une maladie comme les autres et médicalement reconnue. Il me paraît donc déplacé de jeter l’opprobre sur ces malades.

APEGIE a écrit:

Il faut bien être dénué de compassion et de commisération pour affirmer d’un ton péremptoire que 99% des dépressifs sont des tires au cul. La vie réserve parfois des (mauvaises) surprises qu’à un moment donné on ne se sent plus en capacité d’affronter. Je parie d’ailleurs qu’une majorité de suicidés a agit sous le coup d’une profonde dépression nerveuse. Nous ne sommes que des hommes avec des sensibilités et des faiblesses de niveaux divers. Certains sont plus forts que d’autres (et pas toujours les mieux constitués physiquement). Je pense qu’il ne suffit pas d’aller voir un médecin en lui disant : « docteur, je déprime, j’ai besoin d’arrêt maladie » Ce serait vraiment prendre ces personnes pour des c..s. Les médecins procèdent toujours à des examens déterminant leur décision, et ne sont pas aussi dupe qu’on voudrait le faire penser.
Faire une patrouille avec un camarade en pleurs et totalement déstabilisé, c’est se mettre soit même en danger. Il me paraît donc raisonnable que ce collègue soit soigné et placé en arrêt maladie avant qu’il n’arrive le pire. La dépression nerveuse est une maladie comme les autres et médicalement reconnue. Il me paraît donc déplacé de jeter l’opprobre sur ces malades.

Je suis d'accord sur le fond avec toi , mais ce que je voulais dire c'est que 99% des " dépressifs auto- proclamés " sont des dire au culs..

comme dit précedemment le " vrai " dépressif ne s'en rend bien souvent pas compte , c'est souvent son entourage qui s'aperçoit de son comportement.... et c'est la que médecin et entouraqge doivent signaler

Bonsoir,
J'ai eu l'occasion de poser la question, après son rétablissement, à un gendarme qui avait eu un grave problème. Il m'a expliqué qu'il se voyait au fond d'un puits et qu'il n'avait pour solution que le suicide.
Au moment de la crise, il n'en avait parlé à personne et dans un premier temps, ses camarades ont eu peur de lui porter préjudice s'ils avaient rendu compte de ses anomalies de comportement, sans prendre conscience de ce qui aurait pu arriver.
Il n'était accessible ni au dialogue ni au soutien, il ne relevait que de la médecine.

Perso après 3 années de mal être;je suis passé à l'acte une première fois. ---> arrêt maladie, " des on dit de tire au flanc", une femme qui se barre, le ccb et le cc qui s'en tapent, résultat, CLDM. 6 mois après le CLDM, je me rends a la bt de mon lieu de repli et là, plutôt que de parler de tout et de rien, de m’offrir u p'tit café, on m’appelle monsieur, on me fait signer la convoc pour l’hôpital militaire, et au revoir monsieur. JE suis rentré seul dans mon petit F2 que je louais, je n'étais plus moi même. J'ai sorti la bouteille d’apéro et j'ai avalé pas moins de 70 médicaments associés.Résultat m'a retrouvé quelques heures plus tard inanimé avec un pouls a 22 puls et une tension de 5 et quelques. Alors arrêtez de dire que les dépressifs sont des tire au flanc, le jour où votre collègue dont vous aurait eu connaissance qu'il a été retrouvé pendu ou avec un trou dans la tête , vous culpabiliserez et vous vous direz....si j'avais su, p'têtre qu'un ptit mot ou geste de ma part, lui qui me prend pour son ami, aurait suffit à ne pas le faire basculer. JE reconnais que certains jouent avec ce genre de maladie pour esquiver le boulot mais pensez aux vrais camarades en souffrance, vous savez, celui qui fait le pitre le matin au café, qui ne se plaind jamais et qui le soir venu à la maison tombe le masque, s'isole dans sa salle de bains et chiale comme un môme de 5 ans pour ne pas être "démasqué" par ses collègues. Pensez y et dites vous qu'il vaut mieux dire au médecin chef, mon collègue va mal que dire, ahhhh si j'avais su .....
bonne journée mes amis et pensez à ce que je viens d'écrire

dsl pour les fautes de syntaxe mais il est 7h40 et je suis debout depuis 3 heures du mat

Je ne viens plus souvent sur le site, mais je puis dire qu'il y de plus en plus de personnes malades de problémes neuropsychologiques, le trou, l'impasse et c'est parti avec de multiples raisons. Alors c'est vrai il y a des tires au cul, mais soyons sérieux, beaucoup de nos camarades sont touchés par le mal être. Il est normal d'avoir des baisses de moral, tout le monde y passe, mais pour le reste les paramètres sont nombreux. Je pense que ceux qui ne signale pas les comportements particuliers ou anormaux de leurs camarades devraient réfléchir.
Bonne journée.

1700 warrior a écrit:

.................................................................. Pensez y et dites vous qu'il vaut mieux dire au médecin chef, mon collègue va mal que dire, ahhhh si j'avais su .....
bonne journée mes amis et pensez à ce que je viens d'écrire

Exactement , c'est généralement celui qui ne dit rien qui a des problèmes.........Maintenant ce n'est pas toujours visible , et puis les relation entre collègues sont tellement nulles , plus de convivialité , tout le monde se barre dès que c'est l'heure , pas de communication --- vive les SMS iphone et autres------ on a peur de passer pour un pochtron si on décide de prendre un apéro au bureau après une bonne affaire , fini un petit casse croute le dimanche matin après l'entretien des Vls.... etc etc..... c'est aussi dans ces moments là qu'on pouvait se rendre compte si quelqu'un ne va pas bien....

Les relations entre collègues sont à l'image de notre époque, va falloir un peu s'y faire.

La nouvelle génération ne veut pas "vivre Gendarmerie". C'est une façon de travailler en bleu qui évolue, comme la société. Cela n'empêche pas d'être professionnel.

En tous cas, cela n'empêche pas de travailler, car à la base, si nous sommes réunis dans une unité, c'est pour cela. On peut quitter à l'heure, être disponible pour faire du supplément si besoin, donner les coups de mains nécessaires et ne pas forcément avoir envie de voir plus que cela les uniformes. On demande déjà assez de temps libre en famille, c'est pas pour imposer un repas ou un apéro à un militaire qui veut voir femmes, enfants, chien, poissons rouge ou plus simplement se détendre seul ...
Que les camarades prennent un apéro ou non, les ambiances ont toujours été variables en fonction des caractères de personnels. Cela n'a pas changé.

Apollo a écrit:

Les relations entre collègues sont à l'image de notre époque, va falloir un peu s'y faire.

La nouvelle génération ne veut pas "vivre Gendarmerie". C'est une façon de travailler en bleu qui évolue, comme la société. Cela n'empêche pas d'être professionnel.

En tous cas, cela n'empêche pas de travailler, car à la base, si nous sommes réunis dans une unité, c'est pour cela. On peut quitter à l'heure, être disponible pour faire du supplément si besoin, donner les coups de mains nécessaires et ne pas forcément avoir envie de voir plus que cela les uniformes. On demande déjà assez de temps libre en famille, c'est pas pour imposer un repas ou un apéro à un militaire qui veut voir femmes, enfants, chien, poissons rouge ou plus simplement se détendre seul ...
Que les camarades prennent un apéro ou non, les ambiances ont toujours été variables en fonction des caractères de personnels. Cela n'a pas changé.

on ne veut plus vivre gendarmerie , ok , ne nous plaignons plus alors du manque de "savoir" sur son collègue si il va mal etc... car même si ça saoule les jeunes générations , ça avait au moins l avantage d apprendre a se connaître autrement !!!! oh dis donc la boulot en bleu sans la vie en collectivité ça me rappelle un truc , mais quoi,,,??????????????? ah oui je sais , mais alors certains on du se tromper de porte !!! ah non , je radote , plus dans le coup mamie !!!!!

Va surtout falloir vous y faire. Je pense qu'une génération nous sépare tous les 2 (3 avec le retour du draco).
La vie en collectivité a maintenant ses limites que les gendarmes (car ils restent gendarmes et non policier comme tu sembles le laisser entendre) souhaitent faire respecter.
Marre que M. X se mêle de qui vient manger chez le G/ Y. Marre que Mme B se renseigne sur comment va Mme G alors qu'elles ne s'échangent qu'un bonjour de temps en temps. Arrêtons avec la fausse amitié et la fausse convivialité synonyme d'espionnage et d'ingérence dans la vie privée!

On passe environ 10h/ jours avec ses camarades bleus, de jour, de nuit, en voiture, au bureau, en inter, en réunion .... foutez la paix à ceux qui veulent la tranquilité une fois leur mission accomplie. Arrêtez ce genre de remarque débile. C'est aussi cette fausse "convivialité" qui ajoute une pression supplémentaire aux militaires, de peur d'être espionné, critiqué, jugé dans leur vie privée.

Apollo a écrit:

Va surtout falloir vous y faire. Je pense qu'une génération nous sépare tous les 2 (3 avec le retour du draco).
La vie en collectivité a maintenant ses limites que les gendarmes (car ils restent gendarmes et non policier comme tu sembles le laisser entendre) souhaitent faire respecter.
Marre que M. X se mêle de qui vient manger chez le G/ Y. Marre que Mme B se renseigne sur comment va Mme G alors qu'elles ne s'échangent qu'un bonjour de temps en temps. Arrêtons avec la fausse amitié et la fausse convivialité synonyme d'espionnage et d'ingérence dans la vie privée!

On passe environ 10h/ jours avec ses camarades bleus, de jour, de nuit, en voiture, au bureau, en inter, en réunion .... foutez la paix à ceux qui veulent la tranquilité une fois leur mission accomplie. Arrêtez ce genre de remarque débile. C'est aussi cette fausse "convivialité" qui ajoute une pression supplémentaire aux militaires, de peur d'être espionné, critiqué, jugé dans leur vie privée.

Entièrement d'accord avec toi Apollo, la gendarmerie des années 70 est périmée.

:vous aussi les mecs faut atterrir il y a un moment que MAD X se tape le coquillart de qui vient manger chez Y !!!!! et vive versa !!!! wahou , j adore les gens qui disent et pensent :faites ce que je dis mais ne faites surtout pas ce que je fais !!!!

Mamouk a écrit:

Apollo a écrit:

Va surtout falloir vous y faire. Je pense qu'une génération nous sépare tous les 2 (3 avec le retour du draco).
La vie en collectivité a maintenant ses limites que les gendarmes (car ils restent gendarmes et non policier comme tu sembles le laisser entendre) souhaitent faire respecter.
Marre que M. X se mêle de qui vient manger chez le G/ Y. Marre que Mme B se renseigne sur comment va Mme G alors qu'elles ne s'échangent qu'un bonjour de temps en temps. Arrêtons avec la fausse amitié et la fausse convivialité synonyme d'espionnage et d'ingérence dans la vie privée!

On passe environ 10h/ jours avec ses camarades bleus, de jour, de nuit, en voiture, au bureau, en inter, en réunion .... foutez la paix à ceux qui veulent la tranquilité une fois leur mission accomplie. Arrêtez ce genre de remarque débile. C'est aussi cette fausse "convivialité" qui ajoute une pression supplémentaire aux militaires, de peur d'être espionné, critiqué, jugé dans leur vie privée.

Entièrement d'accord avec toi Apollo, la gendarmerie des années 70 est périmée.

c est clair avec de tel propos c est la GENDARMERIE tout court qui va être bientot périmée !!!!! mais je vous souhaite de ne jamais avoir besoin , ne serait ce qu une seconde , de votre si chiant voisin !!!

Bonjour,
En ce qui concerne la solidarité, cela a toujours été une affaire de personnes et l'ambiance pouvait être aussi pourrie en 1970 qu'en 2000 ou 2010.
La grande différence, c'est qu'en 1970, il n'y avait pratiquement pas de femmes de gendarmes qui travaillaient et encore plus rares étaient les gendarmes qui avaient des activités associatives en dehors de la gendarmerie.
La disponibilité était totale 6 jours sur 7 puis 5 jours et demi sur 7, la solidarité était presque naturelle selon les circonstances et les amitiés se créaient au sein de la caserne (les inimitiés et les jalousies aussi). Souvent, avec un CB abusif, le groupe pouvait faire front en se serrant les coudes.

J'ai pu constater que l'individualisme avait commencé avant l'arrivé des Q.L., les gendarmes ont suivi l'évolution de la société avec seulement un léger décalage contrairement aux décennies précédentes où les gendarmes évoluaient avec pratiquement une génération de retard.

En ce qui concerne les pipelettes et autres concierges, le phénomène n'a rien de nouveau et il n'est pas spécifique aux casernes ni à la gente féminine, les propos de comptoir ou sur les bancs de la place ne sont pas mieux.
Même pour les affaires professionnelles, je n'ai jamais connu une réunion de travail qui n'ait pas été suivie de "fuites" dans le milieu familiale ou, plus grave, dans la rue. Il m'est arrivé plusieurs fois d'utiliser cette tare pour faire passer des messages. Il me suffisait de faire une réunion avec 5 ou 6 personnes et d'insister pour que tel point ne soit surtout pas divulguer pour être sûr de l'effet escompté.