"C dans l'air", mise au point

Bonjour,
C dans l’air, mise au point.
publié le 12 nov. 2011 07:12 par gendarmes citoyens
A l’occasion de l’émission de l’incontournable « C dans l’air » du jeudi 10 novembre 2011 nous avons pu apprécier l’honnêteté intellectuelle de la responsable d’un syndicat de commissaires.............
la suite...........

http://sites.google.com/site/assogendarmesetcitoyens/COMMUNIQUES/cdansl%E2%80%99airmiseaupoint

madame le commissaire divisionaire en détachement , c est comme cela qu elle s est presentée alors que yves CALVI l avait juste appellée commissaire

Travaillant parfois avec des policiers, certains me disent être fatigués de cette guerre qui n'est pas la leur mais celle de leur chefs. Diviser pour mieux régner c'est comme cela que l'on dit n'est ce pas? Chez eux tout n'est pas rose non plus. Il y a aussi des suicides et des arrêts maladies..........

Faut pas croire qu'en gendarmerie il n'y a que des gens intègres mais cette commissaire y va fort car des Michel NEYRET, il n'y en a pas en gendarmerie. Le SIRPA gendarmerie devrait faire des communiqués sur ce genre de sorties gratuites. Heureusement GetC veille !
Il est vrai aussi que la base dans les deux camps n'en a cure de ces gueguerres !

Cette chère commissaire a utilisé un vieux truc de politique politicienne: pour cacher ou faire passer une connerie,
on accuse le voisin de faire ou d'avoir fait pire...

je ne suis donc pas surpris par cette attaque de sa part... même si on a aussi nos brebis galeuses, les rares que j'ai connues pour l'instant ont été poussées vers la sortie!

L'idiot utile a écrit:

Cette chère commissaire a utilisé un vieux truc de politique politicienne: pour cacher ou faire passer une connerie,
on accuse le voisin de faire ou d'avoir fait pire...

je ne suis donc pas surpris par cette attaque de sa part... même si on a aussi nos brebis galeuses, les rares que j'ai connues pour l'instant ont été poussées vers la sortie!

La police n'a rien à nous envier à ce sujet. Rappellez vous l'affaire des paillottes "chez Francis". Tout le monde a encore ça en tête, et pourtant, ça fait une paire d'années. On est pas mieux.

Et la boite de chocolat dérobée au "Bon marché "
et pis...
et pis...
On est peut être pas mieux mais on est moins pire.
Par contre pour ce coup là va falloir mettre les bouchées doubles les gars.
On compte sur vous

Corgiste a écrit:

L'idiot utile a écrit:

Cette chère commissaire a utilisé un vieux truc de politique politicienne:
pour cacher ou faire passer une connerie,
on accuse le voisin de faire ou d'avoir fait pire...
je ne suis donc pas surpris par cette attaque de sa part...
même si on a aussi nos brebis galeuses,
les rares que j'ai connues pour l'instant ont été poussées vers la sortie!

La police n'a rien à nous envier à ce sujet.
Rappellez vous l'affaire des paillottes "chez Francis".
Tout le monde a encore ça en tête, et pourtant, ça fait une paire d'années.
On est pas mieux.

Bonsoir,

S'agissant de "l'affaire des paillotes", sans vouloir la minimiser, il faut dire qu'elle reste tout à fait exceptionnelle, ce qui fait que l'on ne risque pas de l'oublier ...

Par ailleurs, il faut rappeler que si des gendarmes ont participé à cette opération,
c'était sur ordre supérieur et avec l'aval d'un préfet, lequel avait pris la "grosse tête",
peut-être parce qu'il succédait à un préfet, lâchement assassiné ?...

L'Etat s'est décridibilisé par ce geste incendiaire insensé, certes, mais après avoir été bafoué durant de longues années,
car n'oublions pas que les paillotes étaient des immeubles construits illégalement sur le domaine maritime,
bâtiments qu'aucune autorité, jusque là, n'avait réussi à faire démolir !

L'Etat ridiculisé quelque temps auparavant par les propriétaires des paillotes,
réussissant à faire reculer la force publique, lors d'une manifestation protestataire,
soutenue par un ancien ministre !

En dehors de cette malheureuse affaire, il y en a probablement eu quelques autres, avec de vrais ripoux,
mais il me semble que de telles affaires ont été révélées plus souvent dans l'institution d'en face.
Certains objecteront que la gendarmerie a tendance à régler ses problèmes en son sein.
C'est peut-être vrai pour des affaires de moindre importance, ou ne touchant qu'une seule personne,
mais les affaires plus graves, il serait bien difficile de les cacher, non ?...

J'ai vu l'émisssion C dans l'air. Ce qui m'étonne, c'est que le commissaire en retraite qui a parlé est très souvent invité par Yves, Calvi or, je pense qu'il connaît parfois mal son sujet car les textes changent et il est surtout informé par la presse qui est parfois approximative. Ce brave homme qui se prend pour un grand flic a fait son temps.

Je serais d'ailleurs curieux de savoir si tous ces intervenants sont rémunérés pour participer à cette émisssion et, si oui, à hauteur de combien.

En ce qui concerne la commissaire, on sent qu'elle dit la vérité et qu'elle connaît son affaire.

Talep tu m'amuses au plus haut point.
Ce commissaire Pellegrini (qui était de la cellule Elyséenne ) dans l'affaire des écoutes téléphoniques de l'Elysée a certainement été un grand patron de la police (entre les brigades du tigre et aujourd'hui). Il arrive toujours avec ses certitudes mais surtout quelques bouquins à promouvoir.

Concernant la commissaire syndicaliste "dont on sent qu'elle dit la vérité (pour te citer)", j'espère que c'est de l'humour. Elle qui ose affirmer qu'il y a autant d'affaire de ripoux dans la gendarmerie que la police mais que c'est caché. C'est une vérité à deux balles qui prend vraiment les journalistes pour des ignares, eux qui sont tous à la recherche du scoop surtout quand il faut descendre un flic en flammes (police et gendarmerie). Elle, sont but c'est de faire la promotion de son syndicat car pour l'activité de terrain je pense qu'il y a un moment qu'elle ne sait plus ce que c'est.

Qu'ils soient rémunérés, je ne le pense pas, en tous cas je suis tout disposé à participer sans aucune rémunération (sur les suicides par exemple).

il ne peut pas y avoir d'officiers ripoux en gie car les nôtres restent dans les bureaux. ils ne sont jamais sur le terrain et quand ils y vont cela donne les paillotes. effectivement chez nous on étouffe et vouloir nier cela c'est être aveugle. d'ailleurs on étouffe tellement bien que chez nous on ne connait pas l'ampleur de la corruption, souvenons-nous Rivesaltes cela n'a pas fait beaucoup de bruit, la méthode de l'étouffement sans doute...
mange du grain

cti 41 a écrit:

...
Concernant la commissaire syndicaliste "dont on sent qu'elle dit la vérité (pour te citer)", j'espère que c'est de l'humour. Elle qui ose affirmer qu'il y a autant d'affaire de ripoux dans la gendarmerie que la police mais que c'est caché. C'est une vérité à deux balles qui prend vraiment les journalistes pour des ignares, eux qui sont tous à la recherche du scoop surtout quand il faut descendre un flic en flammes (police et gendarmerie). Elle, sont but c'est de faire la promotion de son syndicat car pour l'activité de terrain je pense qu'il y a un moment qu'elle ne sait plus ce que c'est.
....
.

+1

On sait chez les initiés, dont je suis, que c'est Bernard PONS qui dit la vérité quand il réagit au film.
Tout s'est magouillé sur place en liaison quasi minute par minute entre le superbe Préfet Christian PROUTEAU à la cellule anti terroriste de l'Elysée et le Général de Gendarmerie Jérôme qui était en Calédonie. "Allo Christian !" disait le général !!!
Ce sont eux qui faisaient tout dans le dos du Ministre Bernard PONS pourtant sur place au nom du gouvernement !!
Quant à LEGORJUS...je l'ai toujours tenu, même bien avant ces faits, pour un "m'as-tu vu" et il poursuit visiblement dans cette voie dans le civil...qui lui réussit visiblement très bien !

Qui a regardé dimanche soir sur M 6 Enquête Exclusive ...
Les Policiers travaillent AU NOIR et en plus avec leur arme de service, c'est du propre. C'est scandaleux et on taxe l'automobiliste BRAVO
Vous pouvez regarder en rediffusion sur M6, je n'invente rien. Bonne soirée à tous.

PELLEGRINI C'est un grand copain de PROUTEAU-PREFET-COLONEL de Gie ( condamné dans l'affaire des écoutes de l'Elysee) et de BARRIL (lui aussi condamné à 6 mois sursis dans les écoutes ET mis en examen à MARSEILLE pour Association de malfaiteurs dans le cadre de l'affaire du Cercke Concorde et de ses débordements affaire devant venir à l'audience en 2012)
PELLEGRINI n'a été que "témoin" lors du procès des écoutes et exerce, depuis longtemps maintenant, ses talents comme Conseil d'où ses apparitions périodiques à la télévision qui le recherche souvent à raison de son court passage à la tête de l'Office Central de lutte contre le Banditisme
Quant aux syndicalistes Pro de la police je me propose de vous entretenir prochaînemrnt du sujet pour dénoncer d'inacceptables déviations très préjudiciables.

c'est tellement facile d'attaquer la gendarmerie, il n'y a pas de répondant, il n'y a qu'une seule parole pour les forces de l'ordre, c'est les syndicats de police, ils auraient tort de s'en priver.
quand au travail au black des policiers en PR avec armes de service et carte pro il y a un moment que cela se fait...

Bonsoir,
Charles Pellegrini a bien été une pointure de la police en son temps, c'était tout de même l'époque de Mesrine et du Gang de s Lyonnais.
Même s'il se fait plus rare, il a longtemps été un des grands communicants de la police. A ce niveau là, nous avons bien des leçons à recevoir.
J'ai eu l'occasion de le croiser dans des conditions particulières, j'ai pu constater que ses compétences en matière de sécurité étaient reconnues à l'étranger et qu'il maîtrisait parfaitement son sujet même face à des spécialistes.

En ce qui concerne l'affaire des paillotes, il n'y a rien à comparer avec celles des ripoux. D'un côté, il y a une grosse con...rie où se côtoient l'ambition démesurée et la paranoïa d'un préfet et d'un colonel qui ont su provoquer l'obéissance stupide d'une poignée de maladroits craignant pour leurs futures étoiles mais dont l'objectif était tout de même d'accomplir leur mission au service de l'intérêt général et/ou de l'ordre public ; de l'autre côté, c'est la recherche pure et simple de profits et de jouissance en utilisant pour cela les prérogatives de la fonction.