GERS

Rappel du premier message :

Bonsoir à tous et à toutes.

Votre avis sur cet article.


Qui entend-on?
Patrick Poumirau, 50 ans, professeur en classe de BTS au Centre de Formation des Apprentis de Pavie dans le Gers. Lui-même petit-fils de gendarme, il se dit choqué par l'intervention des militaires pendant son cours le lundi 17 novembre. Des propos relatés par La Dépêche qui précise qu'ils ne sont pas "nécessairement partagés par tous les témoins de l'opération."

"Personne ne dit bonjour, personne ne se présente. Sans préambule, le chien est lancé à travers la classe. [Il] mord le sac d'un jeune à qui l'on demande de sortir… Je veux intervenir, on m'impose le silence. Une trentaine d'élèves suspects sont envoyés dans une salle pour compléter la fouille. Certains sont obligés de se déchausser et d'enlever leurs chaussettes, l'un d'eux se retrouve en caleçon. [...] Ailleurs, on aligne les élèves devant le tableau. Aux dires des jeunes et du prof, le maître-chien lance : "Si vous bougez, il vous bouffe une artère et vous vous retrouvez à l'hosto". Je me dis qu'en 50 ans, je n'ai jamais vu ça. Ce qui m'a frappé… c'est l'attitude des gendarmes: impolis, désagréables… sortant d'une classe de BTS froid-climatisation en disant: " Salut les filles!" alors que, bien sûr il n'y a que des garçons, les félicitant d'avoir bien "caché leur came et abusé leur chien". C'est en France, dans une école, en 2008."

Que dit la direction de l'établissement?
Sur La Dépêche, le directeur de l'école, Bernard Vilotte, confirme qu'il a demandé cette opération de contrôle préparée avec les gendarmes quinze jours avant: "L'objectif était de poursuivre la prévention faite dans le cadre de la semaine d'accueil sur les risques liés à l'alcool et à la drogue, sachant que ça a un effet boule-de-neige... "

Qu'en pensent les élèves?
Ils sont partagés selon La Dépêche, "J'ai été dans un collège, à Masseube, où il y avait déjà pas mal de contrôle de police. Donc, je n'ai pas été choqué" dit l'un. "On est pas contre l'intervention. D'ailleurs, on nous avait dit qu'il pourrait y en avoir en début d'année. Mais c'est la manière dont ça a été fait qui va pas." dénonce l'autre.
Que disent les gendarmes?
Le colonel Le Droff, commandant du groupement de gendarmerie du Gers, interrogé par La Dépêche:
"La procédure a été bien maîtrisée et dans le strict respect de la personne [...] Sur les 274 personnes contrôlées, 6 d'entre elles étaient porteurs de produits stupéfiants pour un total d'une quarantaine de grammes de cannabis dont un détenait à lui seul 32 grammes. Ces opérations sont destinées à protéger nos enfants contre un fléau dont le département du Gers n'est malheureusement pas épargné.
La Dépêche précise que le jugement du professeur sur cette intervention, n'est pas "nécessairement partagé partous les témoins de l'opération."
L'affaire commence néanmoins à faire le tour des blogs.
La source -----> Le Post
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Qu'ils ont trouvé des stupéfiants ça ne semble pas choquer le professeur.:affraid:

arf je pense qu'il y en a prendre et à laisser dans ce qui est dit certaines choses on dut être grossis par les témoins pour justifier qu'ils on étaient choqués par l'entrée en classe inattendue des militaires . mais pour côtoyer tout les jours des chiens de gendarmerie je ne pense pas qu'il ce soient fait un casse-croute avec le sac il a plutôt marqué gratté et grogné enfin bon le coup de crocs est probable mais pas méchant . quand au si vous bouger il vous bouffe je n'y crois pas non plus le terme exactement a certainement étais ne faite pas de geste brusque et ne bougés pas le temps de la fouille pour ne pas vous faire mordre car rappelons le les chiens stup ne sont pas des chiens de mordant pur et dur enfin de ce que je me rappel de certain exercices. Mais toute fois je peux encore me tromper sinon ils serait vrai que l'intervention serai malheureuse pour ces pauvres lycéens qui ne compte parmi eux une minorité de revendeur de petite mort et de consommateur que nous somment méchant de les débusquer "ironique"

Le Gers n’est pas que le pays du foie gras. C’est aussi désormais le département où les gendarmes et leurs chiens débarquent en toute impunité, sous couvert de défendre la loi, dans des classes, fouillent au corps et insultent les élèves, sous prétexte de rechercher de la drogue. De la drogue il n’y en eu pas, mais des élèves bouleversés, si. Sous l’œil complaisant du proviseur. C’était le 19 novembre dernier. Il y a des jours où l’on se demande dans quel pays nous vivons. Mais non, nous sommes bien en France, patrie de l’élégance, des droits de l’homme, des lumières. Pendant tout le week-end les médias ont insisté avec raison sur l’interpellation musclée de l’ex directeur de publication de Libération, Vittorio de Philippis. Mais, rappelle l’ensemble de la presse, ce genre d’affaires arrive quotidiennement à nos concitoyens. « Le 19 novembre dernier, écrit Ouest France, les élèves de 4e et de 3e (donc mineurs) du collège de Marciac dans le Gers se voient promettre une "rencontre" avec des gendarmes sur les risques de la drogue ». Surprise : les gendarmes, accompagnés de chiens renifleurs, pénètrent dans l’école et commence à perquisitionner en bonne et due forme l’établissement. Plusieurs témoignages d’élèves concordent : « Stylos, trousses, chaussettes et sacs sont passés au peigne fin. Sans oublier, toujours selon témoins, quelques réflexions ironiques voire désagréables... » précise toujours Ouest France. L’humanité revient aussi sur cette affaire dans son édition d’aujourd’hui. Une jeune fille de 14 ans y relate les événements avec force détails. Elle décrit l’irruption dans la casse des forces de l’ordre : « Nous allons faire entrer un chien ! Mettez vos mains sur les tables, restez droit, ne le regardez pas ! Quand il mord, ça pique ! ». La jeune fille est sommée de sortir dans le couloir. Les gendarmes examinent sa trousse, son sac, ses ourlets de pantalon, ses chaussures. « on dirait qu’elle n’a pas de hasch mais avec sa tête mieux vaut très bien vérifier » dit l’une des gendarmes qui n’hésite pas à passer sa main dans le soutien gorge et sur la culotte de la jeune fille, devant ses collègues masculins sans que ceux-ci ne réagissent. La jeune fille est revenue en cours complètement déboussolée. Le proviseur a t-il pensé à mettre en place une cellule psychologique ? C’est pourtant lui qui a eu l’idée de cette intervention. L’Humanité rappelle que seize gendarmes et deux maîtres-chiens avaient fait irruption deux jours plus tôt, le 17 novembre, à l’école des métiers d’Auch-Pavie, dans le Gers également. Selon le Nouvel obs, « l’inspecteur d’académie, Jean-Marie Louvet, ne nie pas les faits mais explique qu’il trouve cette polémique "excessive" ». Il reconnaît que cette opération n’a pas été assez préparé et qu’il faudra à l’avenir mieux sensibiliser les élèves.

http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=48154
que faire ?

Bonsoir, cet article a déja été publié sur le forum notamment dans ma revue de presse quelque part sur cette adresse:
https://gendarmes-en-colere.1fr1.net/revue-de-presse-medias-liens-f6/revue-de-presse-de-chti-papy-t10839-360.htm

Bonne soirée!

Apparemment, du nouveau ce soir :
http://sud.france3.fr/info/midi-pyrenees/49231400-fr.php

Le bonheur assurément n'est plus dans le Gers.

Deux fois en 10 jours, c'est un peu énorme, non ?
Difficile de croire à un délire journalistique cette fois ci.
Qui doit-on incriminer ? l'inspecteur d'académie qui demande ces visites musclées, le procureur qui les ordonne ou les gendarmes qui les exécutent ? et encore une fois, tout en finesse l'intervention, chien, insultes et même fouille au corps !
On a donc le droit de fouiller au corps des gamines de 14 ans, dans l'enceinte de leur collège, en France ?
Y-at-il plus de drogue dans les lycées et collèges du Gers, que dans ceux de la région parisienne ? ou est-ce plus facile d'intervenir sans déclencher des "émeutes" à la sortie des cours ?

Moi j'aimerais bien avoir le ressenti de ceux d'entre vous qui ont peut-être eu un jour à obéir à ce genre d'ordre
La plupart d'entre vous sont pères de famille, je ne doute pas que vous soyez des champions de l'éducation, mais si vos gamines étaient dans ces classes comment réagiriez vous ?

Désolée messieurs mais là je suis écoeurée !

Je suis sous-officier de gendarmerie, j'ai vu le reportage ce soir à la télé, et j'ai honte.

Honte d'être gendarme, lorsque je vois ce genre de conneries.

Et on veut reconquérir la confiance de la population ensuite ?
C'est pas gagné.

J'aurais eu un gamin dans la classe, même avec mon statut "de la maison", c'était direct le gamin en consultation, certificat médical de trauma ou d'état de choc, et je portais plainte contre l'Etat.

J'aurais été prévu dans un tel dispositif en tant que sous-off : malade. Malencontreusement malade. Et autant de fois que se serait répétée l'opération.

Lamentable.

Vous savez quoi ?
Pourquoi ne pas aller, plutôt, dans une cité du 9-3 pour aller chercher le chichon ?
Ya moins de risques à aller dans une classe d'ado en campagne ?

LA HONTE !!!!

J'ai retenu que dans ce reportage, ni le proc, ni l'inspecteur d'académie ni le proviseur n'ont daigné s'exprimer.
Les donneurs d'ordre se drapent dans leur dignité et silence radio.
Quant aux méthodes utilisées, on peut, dans le Gers, se poser des questions, mais aucune brutalité n'a été commise.
Deux poids, deux mesures, car en RP, lorsqu'on intervient dans un établissement scolaire "chaud", c'est en nombre et parfois casqué.
Ne s'agirait-il pas plutôt d'un inspecteur d'académie ou d'un proviseur faisant appliquer en province ce qu'il préconisait en RP ?

bonsoir a tous je peux vous dire que je ne suis pas fier et j'ai eu honte quand j'ai entendu au info les agissements des gendarmes au collège dans le GERS.

On fait n'importe quoi

A la prochaine rêve partie on va leur faire signe car on verra si il feront la même chose

Enfin le proviseur ne doit pas étre innocent non plus
une fois de plus on n'a pas raté pour passer pour des :clown:

POLICE GENDARMERIE MEME RATE

Niquitin, une fouille au corps sur une gamine de 14 ans, tu n'appelles pas ça une brutalité ?



.

Il y a deux mondes

lors des rêves parties on nous requisitionnent pour indiquer et faciliter le passage des teuffeurs et des dilleurs et c'est jour là on ne fouillent pas et on ne verbalisent pas

alors que tous le monde sait que ces réunions servent plus pour que des kilos de supt soient vendus en toute impunité et nous regardons sans rien dire ordres obligent :devotion:

Et là pour quelques grammes on monte une opération qui a tromatisé des enfants cela me fait

Qui répondra à ma question ?

Où s'arrête de devoir d'obéissance d'un gendarme et où commence le devoir de désobéissance si l'ordre reçu est contraire à l'éthique ?



.

Le problème est que chacun a une définition de l'éthique qui lui est propre...

De plus, je serais curieux de connaître l'envers des cartes, la première opération a défrayé la chronique, au moins au niveau local, et pourtant la seconde a quand même eu lieu !!!!

Non le première intervention a été dénoncée dans l'émission de Mermet sur France Inter, dans la presse locale, puis sur internet 10 jours après.

Pourquoi le Gers ? Y aurait-il de dangereux nids de trafiquants là bas ?

bonsoir mais dans ce fait divers on ne connait pas tous les acteurs

la gendarmerie a agit d initiative? sur ordre de l'autorité judiciaire ? ou sur demande du chef d'établissement?

VILLERSOISE les gendarmes ont du avoir un ordre et donc il n'est pas interdit d'intervenir dans un établissement scolaire avec l'autorisation du responsable du collège.

il y avait surement un autre moyen de vérifier

les faires venir dans le bureau du surget

Je trouve bizarre que l'on ait tout d'un coup la génération spontanée d'abrutis dans nos rangs dans un département qui se caractérise par une délinquance galopante...

C'est pourquoi j'aimerais bien avoir une vision sur l'intégralité du dossier.

Affaire à suivre...

J'imagine bien que ces gendarmes ont agi sur ordre, mais justement c'est ma question.
A la tête du groupe il y a un gradé, non ?
Et ce gradé il n'a pas son mot à dire, le procureur ou l'inspecteur d'académie donne un ordre, et il obéit ???

Et la gendarme qui a fouillé la gamine, à partir de quelle limite a-t-elle le droit de dire non ?

Le devoir d'obéissance a des limites il me semble. En temps de guerre c'est sûr, Nuremberg l'a établi, alors à plus forte raison en temps de paix.

Villersoise,
Tout d'abord, et légalement, le proc a délivré une réquisition.
Et il a bien fallu qu'il soir saisi; par qui ?
Il y a eu intervention; tout le monde parle de "fouille à corps", alors qu'il ne s'est agit que d'une palpation effectuée par un personnel féminin.
On est dans les clous.
Ensuite, 3 solutions :
- ne pas obéir > sanctions (est-ce imaginable ?)
- obeir et ne rien glander > vraisemblablement remontée de bretelles
- obeir et bosser > hiérarchie contente, ouf

Evidemment, quoi qu'il se passe, qui trinque la-dedans ? La base.

Maintenant, est-ce que l'inspecteur d'académie ou le proviseur ont eu des scrupules à faire intervenir un PSIG, je me le demande ? Il doivent quand même savoir que le pour chichon on fait intervenir les chiens, non ?

On parle d'éthique. En l'état, aux dernières infos, il n'y a eu ni brutalités ni violences. C'est donner un peu vite la parole à l'accusation.

Je trouve qu'en ce moment tout est bon médiatiquement pour casser du gendarme; on voudrait les discréditer qu'on ne s'y prendrait pas autrement.
Attendons tout de même d'avoir d'autres sons de cloche sur cette affaire.
Cordialement

Je suis d'accord avec toi Eloudini
J'aimerais bien qu'un gendarme du coin là bas nous renseignent

Justement...quelles étaient les "ordres" du procureur, du chef d'établissement,..Nous n'avons pas de précisions là dessus.

En ce qui concerne le devoir désobéissance, l'affaire des paillotes a montré que ce devoir était à géométrie variable en fonction des personnels.

Enfin, la fouille d'une mineure de 14 ans marquée par le chien stup ne me choque absolument pas, si elle a été effectuée dans un local séparé et par un militaire du même sexe. Il s'agirait de ne pas oublier que la consommation, transport,...de stupéfiants est un délit.

Dans cette histoire, il y en a trois qui ont du, au moins, se monter le bourrichon comme pas permis : le proc, le commandant de cie ou grpt, et le directeur d'établissement

je vois bien la réunion préalable, avec ordre initial qui s'ensuit, le petit communiqué à la presse déjà prêt pour vendre l'image de "gendy qui sévit" pour flatter l'égo de quelques affamés de reconnaissance... mon dieu mon dieu mon dieu...

NiQuitin a écrit:

Je trouve qu'en ce moment tout est bon médiatiquement pour casser du gendarme; on voudrait les discréditer qu'on ne s'y prendrait pas autrement.
Attendons tout de même d'avoir d'autres sons de cloche sur cette affaire.
Cordialement

Oui Niquitin, mais ça profite à qui ?

Et pourquoi le Gers ? Rendre la gendarmerie impopulaire en milieu rural ?

Depuis le mois de janvier, 25 établissements scolaires ont été
contrôlés dans le Gers. Une prévention musclée dont l'efficacité ne
fait pas de doute pour les gendarmes: «On trouve quasi-systématiquement
quelque chose», explique la brigade de Mirande à «Rue 89». A l'école
des métiers, ils ont mis la main sur 32 grammes de cannabis. Rien à
Marciac. Le colonel du groupement de la gendarmerie du Gers se refuse à
tout commentaire. Tout juste nous précise-t-il qu'on «fait tout un
scandale sur une affaire qui est un non-évenement». (revue de presse de Chti Papy)

Citation :

Où s'arrête de devoir d'obéissance d'un gendarme et où commence le devoir de désobéissance si l'ordre reçu est contraire à l'éthique

Pour un militaire c'est très simple, les seuls ordres auxquels il peut légitimement désobéir sont les ordres manifestement illégaux.

Sur Sud-Ouest.com:


"Un rassemblement contre la "terrorisation" des élèves est prévu vendredi devant le collège de Marciac (Gers) à la suite d'un contrôle antidrogue mené par les gendarmes avec des chiens dans une classe de 3e, a-t-on appris mardi auprès d'un parent d'élève à l'origine du mouvement.

Le parquet a rappelé la légalité de ces contrôles, 25 dans le Gers depuis le début de l'année, mais l'inspecteur d'académie a promis que tout contrôle serait désormais "précédé d'une rencontre pédagogique avec les élèves".

Frédéric David, qui appelle au rassemblement à l'occasion du conseil d'administration de l'établissement, a le soutien de la fédération des conseils de parents d'élèves (FCPE) du Gers et affirme avoir reçu "près de 600 messages de solidarité de personnes et d'associations" après avoir mis en ligne le témoignage écrit de sa fille Zoé, 14 ans, choquée par la brutalité du contrôle (1).

"Je ne souhaite pas de banderole politique, mais je veux dire oui à la prévention, non à la terrorisation, parce que sous couvert de contrôle ma fille a subi sa première agression et je veux bien qu'on dénonce cette violence policière", a déclaré à l'AFP M. David, responsable d'ateliers de création et d'expression dans un centre psychiatrique pour adolescents à Aire-sur-Adour (Landes).

La jeune fille a rapporté que les gendarmes avaient fait entrer un chien dans leur classe pour renifler les sacs et les vêtements en déclarant: "mettez vos mains sur les tables, restez droit, ne le regardez pas, quand il mord ça pique!". Plusieurs enfants ont ensuite été fouillés à l'extérieur de la classe. Une gendarme "fouilla dans mon soutif et chercha en passant ses mains sur ma culotte", a encore écrit la collégienne.

La procureure de la République, Chantal Firmigier-Michel, a récemment indiqué dans un entretien au journal La Dépêche du Midi qu'elle n'était pas saisie "d'éventuelles irrégularités". "Les élèves ont peur de ces contrôles; ça crée de la bonne insécurité, satisfaisante à terme en matière de prévention", a-t-elle ajouté.

La FSU du Gers s'est en revanche réjouie que les prochaines "interventions" soient "remplacées par des actions de préventions préparées avec les équipes éducatives".

Une autre intervention "muscéle" des gendarmes s'était déjà déroulée quelques jours auparavant à l'Ecole des métiers du Gers, à Pavie"

Citation :

Ce serait comme de dire " tous les profs sont des gauchos anti flics et tires-au-flanc " , ce qui est bien évidemment stupide.

Ah bon, on m'aurait menti ?

Quant à ce que la GIE aurait des méthodes d'intervention plus soft que la PN, c'est vrai mais de moins en moins.
Et personnellement je dirais qu'il serait grand temps que l'on commence à adopter des méthodes plus hard. Les fonctionnaires de police se font nettement moins chier que nous et leurs résultats ne sont pas plus mauvais que les notres, au contraire...
Quitte à me faire insulter, j'aime autant le faire en foutant mon poing sur la g..... de celui qui le mérite qu'en restant debout comme un c.. en attendant que ça se passe...
Quant au fait que certains branleurs auraient plus de respect pour les gendarmes que pour la PN, c'est du flan,c'est un bon moyen de nous endormir. Diviser pour mieux régner, attiser les frictions GIE/PN. Et le pire c'est que sa marche ! Quand je pense que certains gendarmes y croient, ça me trou le c.. !
Ma tenue de gendarme ne m'a jamais empêché de me faire caillasser ou insulter, et s'est pas faute d'avoir été gentil au début !
Mais maintenant, il y en a marre, plus question de prendre des gants, force doit rester à la loi et au diable l'opinion publique !

Quant à ceux qui pense que l'on va trop loin, que l'on baffoue je ne sais quelle liberté publique (peut être celle de nuire tranquillement à autrui...), allez donc voir du côté des méthodes du FSB, je pense qu'on a encore beaucoup de marge en France !

Bonjour,

Je ne cherche pas à minimiser cette affaire, si on peut appeler cela une affaire, mais d'après ce que j'ai entendu et COMPRIS ce matin aux actus de France 2, le but de cette opération était de mettre les élèves de ce lycée dans les conditions réelles d'une intervention anti-drogue.
Il y a eu certes certains dérapages, du moins, je pense que c'est plus du à l'incompréhension entre de très jeunes élèves et des adultes qui ont pris cela un peu à la légère.
Une intervention d'un gendarme rapportée par la journaliste à propos de l'élève qui a été fouillée au corps le prouve, je le pense. Il a dit à un autre gendarme "Celle-la, avec la tête qu'elle a, il vaut mieux la fouiller".
Phrase anodine entre adultes dans le cadre d'une démonstration quand on sait que c'est pour de rire, mais o combien importante, quand il s'agit d'un jeune écolier qui va TOUT prendre au pied de la lettre et se demandant si c'est du lard ou du cochon.
Il serait intéressant de savoir si ces écoliers étaient au courant de la "Descente de gendarmerie" auparavant ou alors si celle-ci était impromptue, auquel cas, le stress de l'opération peut jouer pour beaucoup mais qui est une opération réussie si on considère qu'elle restera dans les mémoires, ce qui était le but premier de cette opération, je le pense. Apparemment, cette descente était demandée par le chef d'établissement et s'est déroulée dans quatre classes, je cite "Sur l'emploi du temps, une rencontre avec les gendarmes sur les risques liés à la consommation de drogues est prévue par le conseiller principal d'éducation. En réalité, le principal du collège a demandé une «descente» auprès de la procureure de la République, comme la loi l'y oblige." Dans un journal on peut lire "Dans la Dépêche du Midi, le principal du collège relativise également l'affaire. «Le contrôle s'est fait dans quatre classes et n'a pas semblé susciter une émotion extraordinaire. Je n'ai pas senti de climat particulier de tension. Mais après réflexion, je conçois que l'intervention puisse avoir un côté impressionnant.»"
Voila, il serait quand même bon que les demandeurs et intervenants se concernent avant ce genre d'opérations.
Mais ce n'est qu'un avis.

Mes respects du matin .
Chti Pay à écris.
Une intervention d'un gendarme rapportée par la journaliste à propos de l'élève qui a été fouillée au corps le prouve, je le pense. Il a dit à un autre gendarme "Celle-la, avec la tête qu'elle a, il vaut mieux la fouiller".
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Ben oui quoi celà arrive, il a dit tout haut ce que les autres pensent tout bas.

A TITRE D INFO POUR CERTAINS ET CERTAINES PERSONNES QUI PARLENT SUR UN SUJET DONT ILS NE CONNAISSENT PAS LA SPECIFICITE . APRES RENSEIGNEMENT PRIS A GRAMAT IL EXISTE 2 TYPES DE CHIENS FORMES EN RECHERCHE DROGUE

- LES CHIENS STUP/DEF QUI FOUILLENT SUR SACS. ENTREPOT VL.BUS MAIS PAS SUR LES PERSONNES CAR SES CHIENS ONT LA DEFENSE DU MAITRE ET D AUTRUI

- LES CHIENS STUP UNIQUES QUI ONT LA RECHERCHE SUR PERSONNE ET QUI S ASSOIENT OU ABOIENT POUR SIGNALER LA PRESENCE DE DROGUE SUR LE GAZIER

MAINTENANT LE MILIEU ENSEIGNANT EST UN MILIEU SENSIBLE POUR LES FORCES DE L ORDRE Où NE NOUS SOMMES PAS LES BIENVENUS A 75%

ARRETONS DE CONTROLER LES MILIEUX SCOLAIRES NOUS RETROUVERONS SES CONSOMMATEURS ET DEALERS SUR LA VOIE PUBLIQUE OU ENCASTRES UN VENDREDI SOIR OU SAMEDI DANS UN PLATANE ET CE JOUR LES PARENTS ET ENSEIGNANTS S'INTERROGERONT SUR LA COULEUR ROUGE DES YEUX LORS DES COURS APRES LA RECREATION OU LA DEMOTIVATION DE CERTAINS DEVANT LEURS DEVOIRS DU SOIR

TEMPLIER64 a écrit:

A TITRE D INFO POUR CERTAINS ET CERTAINES PERSONNES QUI PARLENT SUR UN SUJET DONT ILS NE CONNAISSENT PAS LA SPECIFICITE . APRES RENSEIGNEMENT PRIS A GRAMAT IL EXISTE 2 TYPES DE CHIENS FORMES EN RECHERCHE DROGUE

- LES CHIENS STUP/DEF QUI FOUILLENT SUR SACS. ENTREPOT VL.BUS MAIS PAS SUR LES PERSONNES CAR SES CHIENS ONT LA DEFENSE DU MAITRE ET D AUTRUI

- LES CHIENS STUP UNIQUES QUI ONT LA RECHERCHE SUR PERSONNE ET QUI S ASSOIENT OU ABOIENT POUR SIGNALER LA PRESENCE DE DROGUE SUR LE GAZIER

MAINTENANT LE MILIEU ENSEIGNANT EST UN MILIEU SENSIBLE POUR LES FORCES DE L ORDRE Où NE NOUS SOMMES PAS LES BIENVENUS A 75%

ARRETONS DE CONTROLER LES MILIEUX SCOLAIRES NOUS RETROUVERONS SES CONSOMMATEURS ET DEALERS SUR LA VOIE PUBLIQUE OU ENCASTRES UN VENDREDI SOIR OU SAMEDI DANS UN PLATANE ET CE JOUR LES PARENTS ET ENSEIGNANTS S'INTERROGERONT SUR LA COULEUR ROUGE DES YEUX LORS DES COURS APRES LA RECREATION OU LA DEMOTIVATION DE CERTAINS DEVANT LEURS DEVOIRS DU SOIR

Bonjour, Templier64,

Ecrire en majuscules sur la toile équivaut à crier très fort, ou alors, tu es très en colère....
Juste une information, ne le prend pas mal.... Merci.
Bonne journée!

Pour lire les news il n'y a qu'ici qu'elles paraissent et pas ailleurs.

A ce sujet là (titre), je suis tombé sur un blog dont je ne citerai pas son nom.
On est ridiculisés et personne pour défendre ces ' parades ' comme d'habitude. J'ACCUSE !

Encore une fois nous passons pour des moins que rien,
le mot rafle a été prononcé (?).. ca pue au 21ème.

Un commandant de grpt qui se refuse à tout commentaire laisse
un goût amer. Une opération qui sent
l'après janvier, un HOAX, une vraie fausse pub, une merde quoi.
Pauvre d'eux.