ETONNE PAR LES DECLARATIONS D UN SYNDICALISTE

hier soir j'ai regardé C DANS L AIR il y avait le patron du syndicat SYNERGIE, venu faire la publicité de la politique gouvernementale. qu'elle n'a pas été ma surprise d'entendre ce monsieur déclaré qu'il y avait assez de policiers dans les rues, en contradiction totale avec les déclarations faites dans un reportage par un délégué régionale d'un autre syndicat, que le problème venait des magistrats qui n'appliquaient pas la politique pénale en cours dans notre pays. je ne voudrais pas être à la place des autres syndicats qui réclament des effectifs à corps et à cri. il les a bien b...é... ha oui une précision il était tête de liste UMP aux régionales.
mange du grain

c'est d'une logique implacable : plus de sécurité avec moins de policiers et de gendarmes.
Finalement vous voyez bien qu'on est mieux défendu chez nous !!!

Il doit s'agir d'un bouffon du Star.

nos amis (enfin peut être ) de la police nationale n'ont pas du tout la même vision que nous.

En plus, pour passer à la télé, on est prêt à tout

Par contre dans le même syndicat que la personne citée, on n'hésite à se montrer outrer de la parodie de "la chute"

suivez le lien

Finalement, ils sont de plus en plus minables dans la police.

On a beau être recruter à bac+3 il y a bien une différence entre culture et intelligence

Non Lareran.

Ils ne sont pas minables dans la police. Ce sont nos collégues.

C'est comme chez nous, y'en a des bons, des trés bons et quelques mauvais.

Vous remarquerez qu'à chaque fois ces gentils Off pol sont maltraités par rapport au nantis gendarmes (sans distinction).
A chaque fois ils nous lancent que nous sommes logés gratuitement , que nous ne faisons pas les même heures etc.......

Font-ils des propositions pour tirer vers le haut leurs homologues policiers;
Non!............. il faut brûler les gendarmes.

Cela me rappelle des vieilles histoires d'antan où pour éliminer un voisin gênant, on le traitait de sorcier ou sorciere pour que la vindict populaire s'en occupe.

Ils sont trés instruit.

il semble que ce syndicat ou du moins ses dirigeants aient choisi de faire de la politique, et je suis surpris que les adhérents ne disent rien... car un syndicat est apolitique.
je rappelle que notre futur directeur est issu du cabinet de notre PR quand il était ministre de l'intérieur. là aussi on a choisi la filière politique. donc je crains pour la défense des gmes en général.
mange du grain

MDG, sans polémique aucune, tu sais bien qu'aucun syndicat n'est apolitique.
Mais je suis d'accord qu'ils affichent de plus en plus leurs "tendances".

En tous cas, je vais essayer de regarder l'emission dont tu parles (c'était quoi le sujet?). Qu'un policier dise que nous sommes assez sur le terrain ... j'hallucine un peu ...

Marco (ex Soldat Louis) a écrit:

Non Lareran.

Ils ne sont pas minables dans la police. Ce sont nos collégues.

C'est comme chez nous, y'en a des bons, des trés bons et quelques mauvais.

oui voilà qui est bien dit

Si vous en avez l'occasion procurez vous les dernières "productions " de SYNERGIE et du SNOP...........les amabilités entre ces deux syndicats sont significatives.........et je ne parle pas du syndicat des commissaires.

Tu sais KA MATE, sans aller voir ailleurs, il n'y a qu'à lire les critiques que certains font ici sur telle ou telle association gendarmique ou sur tel publication.

Nous on fait ceci et cela, mais eux, ils font quoi ? ils disent rien !!!!! etc.......................

Parfois, c'est à mourir de tristesse à lire de çi de là telle ou telle récrimination

Marco (ex Soldat Louis) a écrit:

Non Lareran.

Ils ne sont pas minables dans la police. Ce sont nos collégues.

C'est comme chez nous, y'en a des bons, des trés bons et quelques mauvais.

Oui tu as raison Marco, je me suis mal exprimé.

Je voulais souligner que certains syndicalistes sont rapides à juger mais à côté de ça, on voit clairement leur bord politique et la façon dont ils menent leur barque.

@Christian
aparté - plaisir de te lire à nouveau

Le personnage en question est le candidat UMP aux élections régionales dans le 93, c'est lui qui a proposé que des wagons pourrait être réservés aux femmes en banlieue.
Il faut préciser que pour lui la police, en 15 ou 18 de carrière, c'est dans les bureaux à brasser du vent.
C'est quand même le secrétaire général de Synergie Officiers, 2 ° syndicat des Officiers avec 45 % des suffrages.
Aujourd'hui, comme un âne il répête ce qui dit son maitre, moins de policiers sur le terrain mais plus de caméras de vidéos pour tenter d'identifier le ou les auteurs après que les agressions aient été commises.

Ka Mate a écrit:

Si vous en avez l'occasion procurez vous les dernières "productions " de SYNERGIE et du SNOP...........les amabilités entre ces deux syndicats sont significatives.........et je ne parle pas du syndicat des commissaires.

On peut aussi regarder SGP (majoritaire) .
C'est vrai qu'Alliance, c'est moyen.

C'est marrant, on s'intéresse chacun au syndicat de son niveau. Ca présage quelque chose ?

PS : pour info SGP s'étonne que les gendarmes n'aient toujours aucun droit à la parole.

Prends l'oseille et tire-toi !

Synergie-Officiers, un syndicat qui a le sens de l’humour, indique – du haut de sa très haute bienveillance – une façon de quitter la police nationale.

Dans sa feuille de chou du 20 avril, drôlatiquement intitulée Hebd’OFF, ces représentants du personnel qui se sous-titrent pour la défense de tous les Officiers de la Police Nationale, vous indiquent qu’en période de disette d’effectifs et de déficit de vocations policières, la meilleure chose est peut-être de prendre de la thune et partir sans se retourner.

Bah oui quoi, la réduction des effectifs de police, l’hypothèse (excessivement) plausible de se voir à moyen terme, peu à peu remplacés par des polices municipales, des sociétés de sécurité privées et des caméras de vidéosurveillance, tout ça, tout ça...

quelle importance...

Il n’y a pas de lutte finale, pas que ça à foutre.
Positivons, anticipons chers collègues, et tirons-nous avant que le bateau coule !

Le recrutement, le maintien de l’emploi et des prérogatives républicaines de la police nationale, et toutes ces revendications hors propos... à d’autres !

Le syndicat Synergie-Officiers, entendez "syndicat défendant les intérêts des cadres officiers", vous transmet le texte du décret portant sur l’indemnité de départ volontaire de la fonction publique.
Et là, t’es content d’avoir cotisé.


indemnité de départ volontaire de la fonction publique

Textes de référence : Décret 2008-368 du 17 avril 2008
Circulaire DGAFP B7 n°2133 du 21 juillet 2008

Une indemnité de départ volontaire peut être attribuée aux collègues qui quittent définitivement la fonction publique à la suite d’une démission régulièrement acceptée.
Source : police.etc.over-blog.net/ -
http://www.synergie-officiers.com/IMG/pdf/HEBDOFF_159.pdf

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2010/05/06/01016-20100506ARTFIG00763-polemique-apres-l-evasion-d-un-malfaiteur-a-dreux.php

si il y a assez de policiers ds les rues il en manque dans les commissariats ils sont tous ...dans la rue
mais la il a probleme !!!

Ce que dit ce syndicaliste c'est du baratin. Ce n'est plus un policier mais un politique. Sa ligne de conduite n'est certainement pas de soutenir les gardiens de la paix de "base". Il ne pense qu'à sa gueule et c'est pour ça qu'il n'est pas crédible, une seule seconde. Il tape un peu sur les gendarmes pour faire plaisir à une certaine minorité de policiers et se rendre populaire. Sarko préfère que policiers et gendarmes se bouffent la gueule plutôt qu'ils s'assemblent et soient solidaires.

Je pense que tout n'est pas blanc ou noir et qu'il n'a pas totalement tort dans son raisonnement. Quand j'étais en commissariat la plupart de nos "gentils sauvageons" comme les appelait le Ministre de l'intérieur de l'époque, étaient des multi récidivistes que l'on interpellait au moins 2 fois par mois. Je pense que si la Justice avait été beaucoup moins laxiste envers ces jeunes désoeuvrés ils n'auraient certainement pas continué à pourrir la vie des braves gens. Si policiers et gendarmes n'éxécutaient pas tant de missions que je considère comme indues (transfèrement, garde ambassades....) je pense qu'effectivement nous serions assez nombreux, la preuve nous sommes le pays d'Europe qui a le plus de policiers par habitants.

moi je suis d'accord pour le truc des magistrats.
Pour les effectifs, je suis pas concerné vu que déjà chez nous, les mesures CFMG sont baffouées, alors ils ont qu'à faire pareil.

Pour peut être vous éclairer. Sachez que synergie ne représente rien en police, il s'agit d'un syndicat d'officiers, minoritaires aux dernières élections pro.
Leur secrétaire général Bruno BESCHISA s'est présenté tête de liste UMP dans le 93 et nommé sous préfet par la suite. Aucune crédibilité.
Ce type "s'est cramé" il ne représente que son propre intérêt, demandez l'avis du policier de base.

Bonsoir,
Il y a plusieurs choses qui me gênent dans ce débat.
- la tentation pour certains de systématiquement ramener le problème à une critique politique. Retraité, je ne suis plus soumis à un devoir de réserve, mais je me garde bien de le faire. Depuis quarante ans, les gouvernements de divers bords se sont succédés, je n'ai pas eu le sentiment que la gendarmerie ait eu des avantages essentiels avec l'un ou l'autre. La plupart des évolutions sont arrivées tardivement et plutôt sous la pression du moment. En revanche, selon les circonstances, des situations individuelles ont été favorisées. Ces "avantagés" ont rarement été de grands défenseurs de l'institution.
L'intérêt de l'association n'est pas, à mon avis, de se déclarer ouvertement hostile à un gouvernement mais de dire qu'elle n'approuve pas ou qu'elle est inquiète de telle ou telle décision concernant ses membres.
A titre d'exemple, l'éducation nationale : la tendance majoritaire a toujours été marquée à gauche. Le constat que j'ai pu faire, mon épouse étant enseignante, méfiance des gouvernements de droite, sourires des gouvernements de gauche mais peu d'efforts, l'électorat étant déjà conquis.
Sur le terrain, tant comme sous-officier qu'officier, j'ai pu constater que les rapports avec les politiques étaient une question d'hommes et j'ai très rarement été déçu quelle que soit l'étiquette politique.
- le laxisme de la justice : en apparence c'est vrai. Nous avons tous des exemples de décisions scandaleuses et je pourrais en citer quelques unes que vous ne pouvez même pas imaginer. Nous savons tous qu'il vaut mieux travailler avec tel ou tel magistrat, qu'il vaut mieux repousser une interpellation en fonction du magistrat de permanence, etc.
Je me suis assez régulièrement intéressé aux statistiques judiciaires et j'ai eu droit à un certain nombre d'audiences solennelles.
Depuis quarante ans, globalement, la délinquance augmente d'environ 10 % par an. Les effectifs et les moyens de la justice n'ayant jamais progressé dans cette proportion, les progrès de la justice sont dus aux réformes des procédures, à la réorganisation des tribunaux et à l'informatisation. En 1970, il restait de la place dans les prisons et il est vrai que de nombreux récidivistes échappaient à l'aggravation des peines. Aujourd'hui, nous savons que selon les années, il y a de 60 000 à 62 000 détenus dans les prisons pour 52 000 places. Consultez le site du ministère de l'intérieur : en 2009 : 3 521 256 crimes et délits dont 1 327 601 élucidés. Environ 580 000 gardes à vue - dont 100 000 de plus de 24 heures. Personne n'ignore dans la gendarmerie et la police que les gardes à vue prolongées intéressent les faits les plus graves (je le précise pour les visiteurs). Au final 60 000 personnes ont été écrouées. Cela signifie que chaque année, il faut sortir autant de prisonniers qu'il n'en rentre alors qu'il faut pourtant maintenir en détention les condamnés aux longues peines. Je vous invite à examiner le "fameux" état aux 107 index avec vos yeux de policiers et de gendarmes -heureusement que le public ne peut pas y comprendre grand chose. Faites le total des faits les plus graves solutionnés et ramenez ce total au nombre de places de prison. A titre d'exemple, seulement 10% des violeurs identifiés sont écroués. En 1970, c'était du 100% pour les cas avérés.
Oui certains juges restent laxistes pour diverses raisons, mais c'est un autre débat, mais la responsabilité est politique au sens large, c'est à dire que nous sommes tous responsables : qui veut payer plus d'impôts pour construire 100 000 places de prison et achever la reconstruction des prisons vétustes ? Qui accepte qu'une prison soit construite à côté de chez lui ?
- le problème des effectifs est également un vaste débat. Les caisses étant vides, la police et la gendarmerie sont impliquées dans la décision du gouvernement de réduire les effectifs des fonctionnaires en ne remplaçant qu'un départ à la retraite sur deux. Pour ceux qui ont pu côtoyer les différentes administrations et services et voyager un peu en France, le vrai scandale c'est que cette décision de "bousculer"' la fonction publique n'ait pas été prise bien avant. Petit à petit, un peu partout, des habitudes de gaspillage et de négligence se sont installées. Malheureusement, ces abus sont plus visibles que les situations difficiles. Le résultat, les bons payent pour les mauvais. On peut tout de même reprocher aux décideurs de ne pas avoir procédé à une expertise impartiale et fine afin d'adapter les mesures.
Pour la seule gendarmerie, tous nous avons connu des unités "'chlorophylles" et des unités surchargées. La responsabilité du commandement, est de ne pas avoir crié assez fort depuis longtemps pour que les restructurations d'intérêt général priment sur les intérêts particuliers locaux. Mais les chefs passent, vite, les problèmes restent, longtemps.
Voici une vraie réforme pour aligner la gendarmerie sur la police : que les principaux commandements soient exercés sur une durée suffisamment longue pour que le chef assume les effets de ses décisions. La réussite dans le commandement doit être la clef pour exercer des responsabilités supérieures.
Le système actuel des affectations des officiers principalement en terme de gestion, c'est à dire limiter la durée pour laisser la place aux autres, "faire carrière", doit laisser la place à "faire un métier", "the right man...."

Bonjour,
Le constat que tu fais est vrai Gendstas et peu ici en disconviendront. Je te conjoins pleinement sur le danger de la critique systématique du pouvoir en place qui n'a à mon sens aucun intérêt. Cependant les conclusions que tu en tires sont quelque peu parcellaires.

- Les politiques ne doivent pas être dédouanés, ils ont tous les pouvoirs et le résultat aujourd'hui peut et doit leur être reproché. Notamment sur le maintien des brigades dans les petits cantons lorsque les raisons budgétaires et organisationnelles voudraient depuis longtemps que les effectifs soient regroupés au minimum au niveau des CoB. La même chose peut leur être reprochée sur le maintien inutile depuis des décennies, des communes lorsque le découpage politique devrait s'arrêter aux cantons. Nous pouvons leur reprocher de ne pas avoir pris les décisions qui s'imposaient et d'avoir bercé les français pour attirer leurs suffrages.

- Le carriérisme impliqué par le passage éclair des officiers dans chaque poste génère effectivement un grand nombre de difficultés sur le terrain qui font d'ailleurs le jeu de la police (dans les SDIG par exemple on considère qu'un officier n'est "rentable" qu'à partir de la cinquième année...). Le pire est tout de même d'affecter des officiers à des fonctions dont ils ignorent tout et où ils n'ont plus honte de dire qu'ils n'y connaissent rien.
Mais je ne vois pas en quoi cela influe sur l'implantation des unités. Leur pouvoir de conviction ne pouvant pas grand chose contre les intérêts électoraux des décideurs.

- Concernant le nombre de décisions d'emprisonnement annuelles, il faut indiquer qu'elle sont en majorité inférieure à 4 mois dont 3 exécutables et encore moins exécutées. Le turn-over est donc à prendre en compte.

- Ce qui hérisse le plus au niveau des décisions de justice dites "laxistes" ce n'est pas tant la condamnation définitive que les décisions en matière de détentions provisoires. Rien n'est plus pénible que de voir ressortir libre du palais un délinquant récidiviste qui le soir même croisera sa victime dans la rue. Des décisions prises par une personne seule qui ne connait de l'affaire que ce qu'elle a eu le temps de lire dans un dossier incomplet...

- Enfin si l'éducation nationale est considérée comme acquise à la gauche, l'armée en général est désignée comme acquise à la droite. Mais le résultat est le même.

+ 100 000 pour toi GENDSTAS

GENDSTAS a écrit:

.......... Depuis quarante ans, globalement, la délinquance augmente d'environ 10 % par an.....

Ah non c'est faux !
Nous avons fait baisser la délinquance (enfin pas nous directement).
- Les délits routiers ne sont pas comptabilisés.
- Les petits vols dans vergers sont devenus du maraudage.
- Des infractions sont dépénalisées. (souviens-toi de la plus grosse baisse de la délinquance jamais enregistrée en France, lorsqu'on a stoppé de prendre les plaintes pour CSP)
- On vient de changer le système de comptabilisation pour les ILS.
- On fait de moins en moins d'IRAS puisqu'on a plus le temps.
*********************************************************
Alors Gendstats, tu vois bien qu'il y a moins de délits qu'avant.

Le Gouvernement ne peut pas donner connaissance au public de la réalité des faits en ce qui concerne la déliquance. Et pas seulement celui en place. Cela a été pareil pour les précédents. Si les gens savaient réellement ce qui se passe, les extrémistes (de droite ou de gauche) auraient de beaux jours devant eux et l'histoire a démontré qu'un gouvernement extrémiste ne durait jamais et n'apportait jamais rien de bon à son pays. Regarde Cuba, l'URSS, le Chili ou l'ancienne Allemagne nazie. Tout finit toujours par s'effondrer.

Mais il est exact qu'on ne pas pouvoir continuer à magouiller encore longtemps et je voudrais savoir quelle tour de passe passe "on" va pouvoir encore sortir pour faire croire à la population française à la baisse de la délinquance.

Nous avons quasiment le même nombre de places carcérales que lorsque nous étions 50 millions de consommateurs. Aujourd'hui nous sommes 66 millions, les délinquants sont donc plus nombreux et on voudrait nous faire croire qu'en les laissant dehors, on va pouvoir lutter contre toute forme de criminalité. Personnellement ya quelque chose qui m'échappe là.

Laissons dire ce monsieur syndicaliste. (Il fait une carrière de fonctionnaire politisé. C'est son droit. Il se trompe tout de même quelques fois même s'il récite sa fiche. A savoir ce qu'en pense les syndicats de la magistrature).

Pour dire que le débat devient interessant.

Guy Moulinier

La nature humaine est ainsi faite que tu ne pourras pas empêcher les critiques, surtout entre gendarmes.

Bonsoir,
Personnellement je me méfie beaucoup de la pensée unique et des familles ou on se parle sans jamais rien se dire. Je vois mal comment faire évoluer la pensée sans échanges ou débats d'idées. Mais c'est peut-être du à mes origines méditerranéennes où l'on crie fort son amour ou son amitié au point que certains plus policés prennent parfois cela pour de la colère... Mais je reste souvent insensible à l'émotion convenue de la poésie militaire.
Pourtant je me soigne.

ET TU FUMES !
Mais non ! tu vas très bien.