NOSTALGIE

Rappel du premier message :

Je me permets un petit copier coller de mon post d'hier après-midi sur un autre sujet

les chevaliers du ciel a écrit:

Avec tout ça, une chose est passée inaperçue ...

Imogène a écrit:

Imogène, 61 printemps depuis 15 heures, gauloise, retraitée de la Gie, 43 ans de travail

Alors bon anniversaire

ou tout simplement y avait il moins du "politiquement correct"

Nostalgie, nostalgie!!!!une rubrique qui marchait bien.......................ce qu'il n'enlevait rien d'ailleurs à la valeur des autres rubriques, ça nous permettait à nous les anciens de nous remémorer notre jeunesse car nous ne sommes pas toujours bien perçus lorsque nous partageons sur d'autres posts.

Comme le souligne Christian il a connu la 4 l 4X4. Moi j'en avais une dans ma brigade. Equipé en 4 roues motrices par SINPAR il y a avit 2 sélecteurs avec 2 voyants verts. 1 semecteir pour eclencher les roues arrières et 1 selecteur de vitesse courtes ou longues (avec une posotion lièvre et 1 position tourtue. Dans la même catégorie nous avions la Renault 6 4X4 SINPAR. La musette mangeoire et les brodequins de marche à jambières attenantes (traduction en français du mot Rangers)...

Quelle bonne idée ce "déterrage" de topic

C'est vrai que certains posteurs de l'époque se sont désinscrit ... Blandine (Imogène - Madame agecanonix), Raymond (XLR3), Marcel, et j'en oublie ... et ont migré me semble-t-il sur un autre forum. Bonjour à eux en passant

T'es pas sympa toi, tu fais passer les dames à la trappe. Où sont madame Agecanonix et maverick? Elles postaient pas mal pourtant dans nostalgie. Ben oui, j'ai remonté les pages pour voir.

Hé oui, nostalgie une légende du forum G&C un super topic qui nous a permis de nous retrouver entre connaissances qui s'étaient perdues de vue et qui a également permis de fidéliser un tas de nouveaux inscrits.
Dommage d'avoir relégué ce topic en second plan.

D'Artagnan Berrichon a écrit:

Non, je ne les oublie pas, mais cette photo avait été placée par "Cafougnette", à l'époque (pas si lointaine tout de même), où nous échangions particulièrement tous les quatre, lui, Marcel, Cti 41 et moi... Voilà, c'est tout.

Il faut également que tu réalises que ce sujet a été épuré trois ou quatre fois, car s'il avait été gardé en "totalité", il compterait au moins 250 ou 300 pages...

Et ne t'inquiète pas, Maverick, Hymogène alias Agecanonix, Toupinou alias XLR3, et tant d'autres savent que finalement nous ne nous oublierons pas les uns les autres, cela faisait partie de notre "culture" à nous et du moule dont nous sommes sortis d'ESOG...

Je ne suis pas certains que les jeunes aujourd'hui, garderont le même devoir de mémoire que celui que nous avons pour notre part... Mais j'espère me tromper.

hé , oui , grace aux MP MSN face de book , le liens n est pas rompus !!!!

Salut les Chibanis,

J'ai entendu siffler mes oreilles et je reviens souhaiter l'anniversaire d'un vieux code centenaire avec lequel nous avons toutes et tous bossés dessus un jour. Qui ne l'a jamais ouvert parmi les dinos? Personne car nous avons du le potasser un jour.

De plus depuis que je suis en retraite et que je suis devenu un fervent militant, j'ai du boulot mais celà m'occupe bien.

Vous pouvez voir mon site WWW. référencé en dessous de ma signature

Sur celà je vous souhaite de bonnes fêtes de fins d'années et une double bises aux anciennes


Le code du travail fête son centenaire
LEMONDE.FR avec AFP | 28.12.10 | 16h24 • Mis à jour le 28.12.10 | 17h11








La rédaction de ce recueil des lois, décrets et règlements régissant les relations de travail dans les entreprises a débuté le 28 décembre 1910.AFP/JACQUES DEMARTHON


Le code du travail, qui régit les droits des salariés et des employeurs en France, symbole de combats acharnés entre le patronat et les syndicats, célèbre en toute discrétion son centenaire, mardi 28 décembre.


Sa rédaction a débuté le 28 décembre 1910, avec la promulgation d'une loi engageant une codification des premières lois ouvrières, comme celle du 7 décembre 1909 "garantissant le versement du salaire à intervalles réguliers" ou celle du 5 avril 1910 "sur les retraites ouvrières et paysannes à partir de 65 ans". Il fallut toutefois attendre 1922 pour que soit achevée la rédaction du premier code du travail.

"COMBATS ET ÂPRES NÉGOCIATIONS"

Dans sa dernière édition, la 72e, publiée par la célèbre maison Dalloz en 2010, le recueil des lois, décrets et règlements régissant les relations de travail dans les entreprises privées compte 3 001 pages, appendice compris. Il contient environ 10 000 articles, divisés en huit parties, allant des "relations individuelles de travail" à "la formation professionnelle tout au long de la vie", en passant par l'emploi ou la santé et sécurité au travail.

Les grandes dates des conquêtes sociales y sont consignées, telle l'instauration des congés payés en 1936. Mais aussi les "retours de manivelle" lorsque le patronat joue du rapport de force en sa faveur, comme avec la libéralisation du travail du dimanche en 2009.

Pour l'inspecteur du travail Gérard Filoche, retraité depuis quelques jours, le code du travail "est fait de sueur, de larmes et de sang : chaque article, chaque alinéa, chaque décret, chaque arrêté résultat de combats et d'âpres négociations (...), il a souvent été rédigé à la virgule près".

"UN MONSTRE DIFFORME"

Spécialiste de l'histoire sociale, l'universitaire Stéphane Sirot distingue deux grandes périodes : du XIXe siècle jusqu'au début des années 1970, le code du travail retrace "plutôt un mouvement de renforcement des protections" des salariés, tandis que, "depuis une trentaine d'années" le droit du travail "n'est plus forcément synonyme de progrès".
Le patronat français l'a souvent présenté comme une lourde contrainte.

Un avis largement partagé. Pour le défunt universitaire Gérard Lyon-Caen, l'un des ténors de la spécialité, le code du travail était "un monstre difforme qui fait honte à regarder", rappelait lundi sur France Inter Françoise Champeaux, rédactrice en chef de la revue spécialisée La semaine sociale Lamy.

Il a pourtant été refondu deux fois, en 1973 et 2008. Mais la maîtrise de ce document aride fait toujours problème. "L'effort demandé aux usagers du nouveau code du travail est à la hauteur de l'œuvre réalisée : colossal", selon l'un des auteurs de la dernière mise en forme, l'universitaire Christophe Radé.

a ta question du debut je repond MOI !!!! jamais ouvert ce venerable ancêtre !!!

patchouly a écrit:

a ta question du debut je repond MOI !!!! jamais ouvert ce venerable ancêtre !!!

Effectivement pour toi Patch mais ton époux l'a ouvert à maintes reprises notamment lors de constats d'accidents du travail afin de vérifier certains points pour la rédaction du P.V.

ceux qui n'ont jamais été dans le monde du travail, que se soit employeur ou salarié , ne sont pas concerné par toutes les lois, et les difficultés rencontrées sur le terrain , aussi ils laissent "le code du travail" a ceux qui rencontrent des difficultés ou qui ont besoin de renseignements

il faut reconnaître que "le code du travail" et une "bible" contraignante, et on ne s'y plonge pas par plaisir, mais par necessité , mais indispensable pour ceux qui sont en activités , et en plus vous avez les "conventions collectives" qui sont les lois par corporation, et qui sont differentes selon les métiers

il est sur que ceux qui n'ont pas d'activité professionnelles ne se sentent pas concernés , ils ont d'autres livres de chevet

quoi par exemple comme livre ???

Hooooooooooooooo Patch (comme à la belle époque)
Un peu gros l'appel du pied pour qu'on réponde Kâmasûtra
Ha non................J'ai rien dit.

CTI 41

Kamasutra ça fait Has-Been
Faut vous mettre au gout du jour
demandez aux jeunes.

Que veux tu "moi je"............
Arrivé à mon âge canonique on reste sur les classiques sans prétention car on ne se voit pas reprendre tout l'ensemble.

Et avec un age "canonique" on tire ailleurs.
Put.. j'suis en forme ce soir.

patchouly a écrit:

hé , oui , grace aux MP MSN face de book , le liens n est pas rompus !!!!

Cool !

Tiens en parlant de nostalgie.

Avez vous encore le souvenir d'une certaine nuit du 31 décembre je ne me souviens plus l'année mais entre 1981 et 1987, ou, le saphir nouvellement installé, a été l'objet d'adressage de voeux pour la nouvelle année. Des dizaine de mètres de messages. Le concentrateur de Rosny bloqué. Même la cellule de l'Elysée avait été destinataire. Celà partait de bonnes intentions mais il y a eu des remontées de bretelles

Exact je m'en souviens d'autant mieux que les messages en question n'étaient pas simplement quelques phrases banales mais des dessins constitués d'ujne multitude de lettres qui formaient des silhouettes dont de jolis échantillons de la gente féminine.

Bonsoir,
Dans le même genre, dans les années 90, une recherche (ni vitale, ni fondamentale), avait été adressée à tous les postes vers deux heures du matin. Un planton aigri avait exprimé ses états d'âme également "en national", suivi par quelques dizaines d'autres, tous se plaignant les uns des autres. Finalement, après une vingtaine de mètres de rouleau, un petit malin leur a écrit qu'ils étaient tous aussi bêtes en renouvelant la même erreur et qu'ils auraient tous des comptes à rendre. Brutalement, silence radio.

cti 41 a écrit:

Que veux tu "moi je"............
Arrivé à mon âge canonique on reste sur les classiques sans prétention car on ne se voit pas reprendre tout l'ensemble.

ben deja pas mal y a de quoi faire !!!!!

Moi j'appelais ça le gauffrier en raison du clavier qui se repliait comme l'ustensile de cuisine.
En cas d'accident c'était le fauteuil roulant assuré pour le passager, tout simplement scandaleuse cette installation.

effectivement cti 41,

Je ne comprends pas que nos Grands Chefs de l'époque aient pu accepter ce genre d'installation dans nos véhicules.

Dommage que nous ne soyions pas régis par le code du travail car à l'époque, il y aurait eu des décideurs qui
auraient pris des coups de 12, voir plus

Je reviens sur les accidents à l' époque laissant de graves séquelles avec ce genre de matos, je pense qu'un bon avocat aurait pu faire attaquer la Gie de mettre en danger la vie de ses personnels avec ce genre d'installation ?

Moi en 89 je me suis fait percuter par l'arrière par un gars qui s'était endormi. Nous étions en estafette. J'occupais la place arrière et j'écrivais sur la tablette car nous étions sur une intervention. Suite au choc arrière j'ai basculé en arrière et ma jambe gauche à cassé lcette tablette. Je vous dit pas les dégats (pour la jambe) encore maintenant je ne mets pas en short car j'ai honte de ce que l'on peut voir. Je précise bien pour la jambe et pas autre chose bien sur.
Là aussi, cette tablette rétractable était elle réglo ou homologuée ...