Source : BFMTV Justine Chevalier
Au lendemain du bombardement des sites de l'Etat islamique en Libye, le président égyptien al-Sissi a réclamé mardi une résolution de l'ONU pour une intervention internationale dans le pays. Une volonté qui fait écho à une idée présente depuis longtemps dans la tête des Occidentaux, sans être suivie de faits.
"Ce serait une erreur profonde pour la communauté internationale de rester passive face au développement d'un tel foyer de terrorisme au cœur de la Méditerranée. Il ne faut pas l'accepter". Cette déclaration le 31 décembre dernier du ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, alors en visite au Tchad, trouve désormais un écho un peu plus fort. Mardi matin, le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a appelé le Conseil de sécurité de l'ONU à voter une résolution pour une intervention militaire internationale en Libye, gangrenée par l'anarchie et le terrorisme.
Cet appel du Caire à l'attention des Occidentaux intervient au lendemain de frappes menées par l'armée de l'air égyptienne sur des positions de l'Etat islamique chez son voisin libyen, en représailles à la décapitation de chrétiens coptes égyptiens. Mais tradition diplomatique oblige, le vote d'une telle résolution par le Conseil de sécurité de l'ONU, s'il était décidé, pourrait prendre des mois.
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http://www.bfmtv.com/international/libye-la-france-est-elle-prete-a-intervenir-militairement-864208.html
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http://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/0204163722192-paris-lie-la-vente-des-rafale-a-la-lutte-contre-le-terrorisme-1093873.php