Bonjour
Ce problème ne pas seulement les policiers gendarmes et pompiers, en fait, c'est tout ce qui représente les services publics, et l'état, qui est visé.
Dans les banlieues dites sensibles, en fait c'est la volonté de contrôler les territoires et établir des zones de non droit.
Les facteurs, agents de maintenance des divers réseaux, sont systématiquement agressés.
Mais, un agent de mainteance, ou un facteur tabassés par des voyous, c'est moins médiatique.
je ne vais pas épiloguer sur la différence de traitement entre les casseurs de banlieues bénéficiaires de l'achat de la paix sociale.
Et le traitement des automobilistes solvables, qui eux savent, ce qu'est la tolérance zéro.
plus insidieux que les violence physique sur les agents publics
Ce sont les effets des passe-droit discriminations positives, actions intempestives de diverses association, et certains politiques locaux.
Maintenant, certaines entreprises pratiquent la préférence des banlieues, des entreprises comme la RATP a supprimé les conditions de nationalité française en 1997.
Dans cette logique, il est à craindre sérieusement, que cette disposition puisse être étendues à d'autres entreprises et services publics.
L’armée, la Police, la Magistrature, les finances pourraient être concernées, ce n'est pas un soucis, pour des dirigeants politiques, à une certaine époque pas si lointaine, il y avait des troupes supplétives dans les armées, et le principe n'est pas totalement abandonné.
Il existe déjà des dispositions pour les ressortissants de la communauté européenne.
La possibilité de créer un mur virtuel des gendarmes et policiers tués à l'occasion de leur activités la restriction à ceux qui ont été tués en service éliminerait les autres victimes des effets de leur métier.
Déjà, que la loi sur les harcèlement sexuels à été abrogée de nombre de vos collègues principalement féminin seront exclu de cette reconnaissance d'être victime et se trouvent privés, ou privées de recours.
Cordialement
DURAIL