victime violence policière

bonjour,

en date du dimanche 25 mars 2012, à 21H, Marseille, boulevard Michelet, alors que j'attendais un bus pour me rendre à mon travail ( je suis réceptionniste de nuit hotel marseille St Charles), un individu vêtu d'un jean, crane dégarni, de grande taille, venant face à moi, m'a contourné, pour se placer sous l'abribus, derrière moi. Alors que je surveillais le panneau d'horaire du passage du bus, et que j'avais des écouteurs sur les oreilles, cet individu m'a parlé, j'ai alors retiré mes écouteurs, et cet inconnu m'a demandé explicitement " tu vas me suivre, je suis de la police, on va faire un tour", j'ai été surpris car cet individu ne m'a pas montré de carte de policier. Jai cru à un déséquilibré qui se faisait passer pour un policier : de part son allure ( semblable à un skinhead, et qui ne me semblait pas dans son état normal, pas de brassard au niveau du bras) je lui ai répondu " désolé, je dois aller à mon travail" c'est alors qu'il m'a montré son insigne "police" au niveau de sa ceinture ( plastron de forme ronde) " tu vas me suivre sans faire de vagues..." et a commencé par se montrer menaçant. Bien qu'il m'ait montré son insigne au niveau de la ceinture et laissé entrevoir son revolver, je n'avais aucune certitude qu'il s'agissait bien d'un policier.
Ma première réaction a été la peur, j'ai cru à un homme dérangé qui se faisait passer pour un policier car il n'avait pas l'allure ni l'attitude ni de signes distinctifs ( il ne m'a pas présenté de carte de police ) me permettant d'être en confiance. J'ai accéléré mon pas, et me suis mis à courir. L'individu m'a coursé en me disant qu'il allait me "défoncer la gueule". Il a réussi à m'attraper, et m'a saisi vigoureusement et poussé contre une grille en me frappant à l'abdomen, mes lunettes suite à ce coup ont voltigé au sol. Alors que je me baissais pour les récupérer, j'ai reçu un coup de genou sur le coté. J'ai crié " a l'aide, on m'agresse", et l'individu a sorti son revolver et l'a pointé vers moi au niveau du visage. J'ai alors été malmené pour tomber au sol, j'ai été menotté les mains au dos, avant de recevoir un violent coup de pied dans le dos. Une voiture banalisée est alors arrivée, en freinant et dérapant violemment. Plusieurs hommes ont couru vers moi. J'ai été plaqué sans ménagement sur le coffre d'une voiture et un photographe m'a pris en photo. Je ne savais absolument pas ce qui m'arrivait hormis que la plupart des policiers me demandaient " t'as du stup sur toi ? t'as du stup" !! Paniqué et surtout pris d'une terrible douleur au dos et au ventre ( nausée, tremblement), j'ai ensuite été informé qu'il s'agissait de la brigade anti criminalité. Menotté, et placé a l'arrière d'un véhicule banalisé, j'ai été conduit dans une rue à l'écart, où l'homme qui m'a agressé m'a insulté, ne me permettant pas de m'exprimer, il y avait devant moi plusieurs hommes en dehors de leurs véhicules. Les mains menottées et souffrant du dos, j'ai été conduit à un poste de police. Le premier individu semblait ne pas vouloir me lacher, il m'a traité alors de "tocard, connard, de débile" et m'a annoncé ma garde à vue avant meme de rentrer dans le local de police. Une fois à l'intérieur, les policiers sont tous entrés dans un bureau, me laissant avec un homme pour me surveiller. Après une attente angoissante, un responsable m'a fait entrer dans son bureau, pour me dire que la B.A.C s'était trompé d'individu, qu'un trafiquant de drogues était recherché, et que finalement ils m'avaient confondus avec lui. Ils m'ont ensuite annoncé que c'était une erreur de leur part, qu'ils n'avaient rien à me reprocher et qu'une trace écrite relatant les faits était enregistrée et que par conséquent, j'étais libre. J'ai été relaché au bout d'une heure, et les policiers sur ma demande ont fait appel aux pompiers. J'ai été transporté aux urgences de l'hopital de la Conception : Il m'a été dressé un rapport initial médical, entorse cervicale, contusion frontale, traumatisme dorsal, traces de strangulation, présence de sang dans les urines, avec une ITT de 4 jours.
Durant la nuit, l'infirmière est venue me voir pour me dire que cinq policiers se trouvaient au bureau des entrées des urgences et souhaitaient me voir. J'ai préféré refuser leur visite, étant complètement sonné ( sous calmant, sous anti-douleur). L'infirmière est revenue plus tard, pour m'informer qu'un des policiers a fait un malaise " il n'arrêtait pas de tourner en rond, il semblait nerveux". Finalement, ces hommes sont partis, je n'ai pas trouvé le sommeil malgré le traitement anti douleur qui m'a été prodigué.

Je souhaite porter plainte contre cette violence policière, intolérable et surtout très marquante psychologiquement. Je suis en état de choc. Quelles démarches entreprendre ? Porter plainte dans un commissariat ( j'ai lu que peu de plaintes étaient reçues), écrire au procureur ? Saisir la CDNS.
Merci beaucoup pour vos réponses, conseils.

De la vraie sauvagerie. Heureusement que la gendarmerie a des méthodes plus respectables que la PN où il semblerait que les cow-boys de la BAC s'autorisent souvent ce genre de comportement.

Je vous conseillerai de prendre contact avec le procureur de la république, puis éventuellement avec l'IGS
( Inspection General des Services, les "bœufs carottes")

Conserver les certificats médicaux qui vous ont été remis à l'hôpital, et penser à prendre conseil auprès d'un avocat...

la première chose à faire était de vous faire osculter par un médecin en effet!

je comprends pourquoi les gens aiment mieux avoir à faire aux gendarmes qu'aux policiers...

Votre signalement me surprend qu'à moitié...

bon courage dans vos démarches!!!

Y avait-il des témoins de cette "intervention"? vous signalez que quelqu'un a pris une photo?

vous dîtes aussi que vous avez été placé en garde à vue, vous a t-on notifié vos droits?

je veux bien qu'ils aient confondus de personne mais ça ne justifie par un tel comportement!

Ecrivez au procureur de la République du TGI de MARSEILLE avec recommandé avec accusé de réception!

faîtes vous un dossier en relatez les faits tels qu'ils ses sont passés réellement comme vous nous l'avez raconté.

Après ça, on comprend mieux pourquoi la gendarmerie bénéficie du bien meilleure image auprès de la population que la police nationale. Ce n'est pas parce que les fonctionnaires de la BAC sont en civils qu'ils doivent se sentir tout permis.

merci à tous pour vos messages et conseils.

Pour ce qui concerne la garde à vue, elle n'a été qu'une menace de la part du policier civil qui m'a agressé, au moment où je sortais du véhicule pour entrer dans le commissariat.

Je vais rédiger un compte rendu des faits avec tous les détails et le fournir comme vous m'avez indiqué au Procureur de la République du TGI de Marseille.
Un ami journaliste m'a conseillé de téléphoner au plus vite à un avocat, car il m'est impossible de me déplacer pour déposer plainte auprès de la police, je souffre terriblement du dos ( vertiges), et le port d'une minerve limite mes mouvements. Est il possible de porter plainte sur internet ?

Concernant un avocat, de quelle juridiction pourrait relever mon cas ( pénal, civil) ? Je ne connais pas d'avocat sur marseille, si quelqu'un parmi vous peut me renseigner.

Il semble exister des associations de défense de victimes de violences policières.


Malheureusement, au moment de mon agression tout s'est passé très vite, j'ai aperçu une femme passer mais aucun témoin à ma connaissance. Le photographe faisait parti de la police, car il m'a pris en photo au moment où j'étais plaqué sur le coffre de la voiture. Par contre, ce qui est invraisemblable c'est que les policiers de la BAC aient appelé les pompiers pour me conduire aux urgences : de ce fait, les pompiers sont des témoins tout comme les infirmières du service des urgences ( qui ont refusé l'accès aux policiers de me visiter une fois hospitalisé). Pour cela, je pense appeler les marins pompiers pour connaitre le nom des intervenants.

Pour rappel, aucun policier ne m'a présenté sa carte, je ne dispose d'aucun nom, et le lieu du commissariat ne m'a pas été communiqué.

Merci à vous tous

décidemment, la bac fait souvent parler d'elle....................mais là, si les faits sont avérés, c'est très grave...............

Sans vouloir mettre en doute l'initiateur du fil, on a qu'un seul son de cloche. Evitons le haro sur la police. Nous travaillons à charge et à décharge

Qu'il signale les faits auprès du PR et une enquête sera sans aucun doute ouverte par le service jugé compétent.
Prendre un avocat apparait indispensable vu ce qui est décrit. Pour en connaître un, prendre contact auprès de l'Association d'Aide aux Victimes locale.

franck1373 a écrit:

et le lieu du commissariat ne m'a pas été communiqué.

c'est étrange que tu ne saches pas dans quelle rue ou dans quel quartier se situe le commissariat où tu "aurais été" emmené

malinois a écrit:

franck1373 a écrit:

et le lieu du commissariat ne m'a pas été communiqué.

c'est étrange que tu ne saches pas dans quelle rue ou dans quel quartier se situe le commissariat où tu "aurais été" emmené

C'est vrai qu'à Marseille des commissariats il doit y en avoir à tous les coins de rues.
Un bravo aux posteurs qui sautent à pieds joints sur ce topic pour casser la maison d'en face.

Ca sent le troll à plein nez !!
Et certains s'engouffrent joyeusement dans la brèche et crachent sur les camarades policiers !!! L'initiateur du post a atteint son but ....

malinois a écrit:

franck1373 a écrit:

et le lieu du commissariat ne m'a pas été communiqué.

c'est étrange que tu ne saches pas dans quelle rue ou dans quel quartier se situe le commissariat où tu "aurais été" emmené

De mémoire, il doit y en avoir 4 ou 5....

cti 41 a écrit:

malinois a écrit:

franck1373 a écrit:

et le lieu du commissariat ne m'a pas été communiqué.

c'est étrange que tu ne saches pas dans quelle rue ou dans quel quartier se situe le commissariat où tu "aurais été" emmené

C'est vrai qu'à Marseille des commissariats il doit y en avoir à tous les coins de rues.
Un bravo aux posteurs qui sautent à pieds joints sur ce topic pour casser la maison d'en face.

+1

A la lecture des différents posts, un doute s'est largement installé dans mon esprit...

En ce qui me concerne, je pense effectivement qu'il s'agit d'un "troll" car, si peu de points de repère et le fait de venir s'inscrire sur un forum de gendarmes pour demander la démarche à suivre... quelque-chose m'interpelle dans le procédé !

De plus, je relève quelques incohérences et des termes parfois proches de ceux qui sont utilisés en ...milieu policier !!

De nos jours, en cas de faits mettant en cause des policiers, "on" sait toujours vers qui se tourner et plutôt deux fois qu'une...

Je n'y crois pas un seul instant...

Je penche pour le troll aussi.

A mon avis, "cette victime" est très certainement de la profession.
En lisant son post j'ai tout de suite senti le même vocabulaire employé dans des procès-verbaux!!

La prudence sur ce sujet serait sage...

-Cela semble un rapport circonstancié des faits qui prouve qu'un professionnalisme exacerbé est là, découlant peut être de la guéguerre intestine PN - GN à la suite de l'affaire que l'on connaît.

Mais des faits inexacts (si c'est avéré) mis sur la place publique (ici sur le forum) ne peuvent pas relever du code pénal? A mon sens, je dis bien si tout ceci n'est pas exact, c'est jeter l'opprobre sur un service d'une Institution qui, normalement est faite pour protéger le citoyen. C'est dénigrer pour porter préjudice, ou tout simplement pour foutre la m..de.

Un avocat sur Marseille ???
Tu vas voir Céline FREMONT, tu auras son adresse auprès de Roland Marty au bar du Mistral.
Vas voir Bauer et Samia au Commisariat du Mistral. Parick, le nouveau commandant à l'air professionnel il saura te guider dans tes démarches.
Bon courage
Cordialement

que les faits soient avérés ou non, ils n'ont rien à foutre sur un forum Gie sous cette forme....(dénonciation de la part d'une victime présumée)

Bilboquet a écrit:

Un avocat sur Marseille ???
Tu vas voir Céline FREMONT, tu auras son adresse auprès de Roland Marty au bar du Mistral.
Vas voir Bauer et Samia au Commisariat du Mistral. Parick, le nouveau commandant à l'air professionnel il saura te guider dans tes démarches.
Bon courage
Cordialement

+ 10 pour bilboquet

Bilboquet a écrit:

Un avocat sur Marseille ???
Tu vas voir Céline FREMONT, tu auras son adresse auprès de Roland Marty au bar du Mistral.
Vas voir Bauer et Samia au Commisariat du Mistral. Parick, le nouveau commandant à l'air professionnel il saura te guider dans tes démarches.
Bon courage
Cordialement

mais fait gaffes a NATHAN il est pas cool en ce moment !!!!!!

Oui c'est vrai Patchaulit, Nathan rien de lui en ce moment ..

Bilboquet a écrit:

Oui c'est vrai Patchaulit, Nathan rien de lui en ce moment ..

Patch au lit, Patch au lit !! Faudrait voir à pas prendre tes désirs pour des réalités...

Depuis mon dernier post, des éléments nouveaux se sont ajoutés. J'aimerais juste dire à ceux qui doutent de mon témoignage et aux sceptiques, que ma démarche n'est pas de faire du tort à la police, mais de savoir et m'informer de ce que je dois faire. [b] Ce n'est pas une attaque contre la police, mais l'appel d'une victime. L'erreur est permise quelque soit le corps de métier, mais de là à mépriser une victime, il y a une marge à ne pas dépasser. Je ne souhaite à personne les souffrances physiques et pyschologiques dont je fais l'objet. Mon vocabulaire peut paraitre éloquent, mais écrire sur ce forum m'aide justement à évacuer mes angoisses. De plus, vous pensez que je suis de la profession ! quel manque de respect ! Heureusement, que je ne considère pas la police comme certaines personnes considèrent mon témoignage !


j'ai procédé à un dépot de plainte, fait appel à un avocat, contacté les services des urgences et des pompiers ( à savoir, que mon état physique ne m'a pas permis de faire ses démarches seul).
J'ai des amis qui travaillent dans la gendarmerie, et tous sont unanimes ( tout comme la personne qui a enregistré ma plainte) : il s'agit d'un acte de violence physique et moral qui doit etre puni.

Je tiens à remercier les quelques personnes de ce forum qui m'ont aiguillé dans la marche a suivre.

Quelqu'un connait Les défenseurs des droits ? on m'a conseillé de les contacter, merci pour vos réponses

Il existe l'aide aux victimes dont tu peux avoir les coordonnées auprès de ton TGI.

franck1373 a écrit:

De plus, vous pensez que je suis de la profession ! quel manque de respect ! Heureusement, que je ne considère pas la police comme certaines personnes considèrent mon témoignage !

Alors là, je ne vois pas en quoi ??

Ce n'est, à ce jour, pas une insulte que d'être ...gendarme ou policier !

-Comme le chantait Aznavour : "il s'laisse aller, il s'laisse aller."

Espèce de "gendarme" ou "policier" : ça pourrait signifier : "va te faire voir - t'es trop dur - ou pas assez futfut".

Ou tout simplement, il prend le policier ou le gendarme pour des personnes qui ne lui arrivent pas à la cheville. (il doit les avoir enflées je pense et doit se surestimer).

un post qui sent le souffre , la provoc , et dont le seul but pourrait d'être de voir la réaction de gendarmes devant de tels faits......



L'auteur s'étant désinscrit, sujet déplacé
La modération

Bonjour
J'ai lu ces différents messages.
En travaillant en région parisienne, j'ai vu de nombreux policiers en particulier ceux de la bac, se comporter comme des cow boys, sans sans se soucier du respect des lois et du citoyen notament en matière de circulation routière surtout la nuit , où, ils se prennent pour le maîtres du monde.

Ca, c'est un aspect, qui plait surtout aux journalistes, et associations habituelles.
Mais, j'aivu aussi des policiers également de la BAC, qui ont une des comportements admirables, a tout point de vu, mais, ça on en parle beaucoup moins, et encore moins les journalistes.

Il y a aussi, un autre aspect, qui est sciement négligé, c'est le fait, que de nombreux policiers dans les grandes villes et surtout, dans les banlieues dites sensibles, qui travailent avec la peur, et cette situation conduit mécaniquement à des erreurs de jugement.
Il est de notorioté publique, qui n'ont pas le soutien de leur hiérarchie, qui se soucient plus de leur carrière, que du sort de leurs hommes.
Les gendarmes intervenant en zones rurales, et villes de moindre importance sont confrontés à d'autres problèmes.

Que ce soit dans la Police, ou la Gendarmerie, il y a probablement quelques éléments indésirables, mais je ne pense pas, que ce soit le rôle des médias, et des récupérations politiques de régler le problème.

J'ai eu aussi à subir des violences policières, je n'ai pas fait de tapage médiatique, ou politique, j'ai simplement adressé un courrier au commandement, dans cette affaire, c'était des gendarmes.
Une enquête à permis de confirmer les faits, des mesures ont été prises, et des sanctions prononcées.

Mais derrière, ces comportements, il se trouvait aussi et surtout l'influence de quelques élus locaux, je suis dans une petite rurale, avac toutes les petites mafias des ces conseils municipaux, qui tiennent plus du conseil de famille, et des combines locales.
Mais eux neseront jamais sanctionnés.
Ils ont sciement induit des gendarmes en erreur, ce qui a conduit à un dérapage.

Par le jeu des mutations, et la fermeture d'une brigade, ces élus locaux, continuent à induire les nouveaux gendarmes en erreur, mais par la procédure, et la communication des différents courriers, ça permet de rétablir la vérité, même ça ne reste pas spécialement évident, surtout, que les courreirs après des années, ça fait un volume important.

Parmis, les voisins, que la Mairie avait soutenu, il se trouvait un personnage, qui a été condamné pour des attouchements sur une gamine de huit ans, lui il a pris trois ans ferme, mais, il commencait à se placer pour être élu en étant coopté par ce conseil, on peut constater, que ces élus choississent bien leur complices.
Un autre voisin, à l'issu d'une conciliation, en reposant le crayon juste après la signature, il demande au conciliateur, coment, il devait faire pour déposer une nouvelle plainte.

Pour ces élus, la résolution du problème reste d'ordre politique.
J'ai réussi à prendre en défaut l'ancien Maire de cette petite bande,pour une malversation de terrain, il n'y a pas eu poursuites pénales à son encontre, sa qualité d'OPJ, le protégeait, mais les sanctions ont été d'ordres fiscals, ça les a un peu calmés, mais dans ce panier de crabes, il étaient néanmoins satisfaits de trouver un de leurs complices mouillé, pour le déroulement de l'enquête, il se sont montré plus que coopératifs avec les enquêteurs.


Néanmoins, il existe aussi des dispositions légales, à savoir, que d'induire en erreur des enquêteurs constitue un outage, et que les procédures abusives dispositions récentes est aussi un délit.

Dans ce cas de figure, le mécanisme est assez, simple, il suffit d'encourager et soutenir un voisinage malveillant, et bien évidement, j'ai toujours le mauvais rôle. Le fait, que la Gendarmerie puisse manquer d'effectif, de moyen et de temps rend, ces faits possibles.
J'ai poster cette affaire locale, pour compléter l'information, et démontré, que des erreurs peuvent être commisent, en démonté le mécanisme, ç&a permet, que de tels incidents ne se renouvellent pas.

Des émissions de télévison, et de radio, de voyeurisme judiciaire principalement centrées sur les conflits de voisinage conduisent à laisser entendre,que des plaignants peuvent faire n'importe quoi, surtout, s'ils ont des encouragements des autorités locales.
Pour en revenir au coeur du sujet, qui illustre bien les désinformations, des éléments objectifs permettre d'avoir le doute.

Les imprécisions sur les lieux, le commissariat et les intervenants.
Pas de notion de certificat médical légal avec une ITT.
L'intérêt d'un forum est de pouvoir confronté des avis, et peut aussi permettre de se prémunir de jugements hatifs.
A mon, une affaire de violence même policière se traite plus devant un Tribunal, que sur un forum.
Mais, il est évident, que ce post est a à aborder avec beaucoup de prudence, même, s'il peut conduire à des interrogations légitimes de part et d'autre.

Cordialement
DURAIL