Les SUCCES des GENDARMES contre la DELINQUANCE

Rappel du premier message :

Après quelques mois de rapprochement police/gendarmerie, il apparaît que la Gendarmerie ne sait pas suffisamment
se mettre en valeur, tant auprès du pouvoir politique que des citoyens.

Trop grande réserve découlant directement de la culture militaire ?
Absence de réseaux influents ou/et de personnels occupant des postes-clés, là où il faut ?
Communication trop centralisée, monopolisée par un service n'ayant pas la possibilité de s'appuyer
sur des syndicats, comme d'autres administrations peuvent le faire, en certaines occasions ?


Cela pourrait durer encore longtemps, à moins que ...

On pourrait donner un petit coup de pouce à la médiatisation, en recensant ici, dans ce sujet,

les succès significatifs remportés par les personnels de la Gendarmerie,

dans leur lutte incessante au bénéfice des citoyens et de notre société,

contre des criminels et délinquants en tous genres,

un peu partout en France, dans la France des territoires ...




Pour commencer : un exemple de coopération entre plusieurs services de gendarmerie.

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2009/10/20/01016-20091020ARTFIG00011-le-gign-neutralise-un-redoutable-gang-de-braqueurs-.php

" Le GIGN neutralise un redoutable gang de braqueurs
Soupçonnés d'avoir attaqué et pris en otages les employés d'au moins dix supermarchés,
les malfaiteurs ont été surpris en flagrant délit à Pithiviers.

Avec un sang-froid déconcertant, des malfaiteurs chevronnés ont écumé le nord de la France et la région francilienne
afin de dévaliser une série de grandes surfaces en séquestrant un personnel parfois nombreux.
Depuis octobre dernier, pas moins d'une quarantaine d'enseignes ont été attaquées.
Après des semaines de traque menée par la gendarmerie, un gang a été identifié et démantelé avec l'appui des hommes d'élite
du GIGN.
Soupçonnés d'une dizaine d'attaques, six voyous sont en garde à vue depuis samedi et devraient être déférés
demain matin devant un magistrat du pôle criminel de Caen (Calvados) dans le cadre d'une commission rogatoire
ouverte pour «vols en bande organisée, séquestrations de personnes et association de malfaiteurs».

L'affaire commence le 26 juin 2009, lorsque quatre inconnus cagoulés débarquent vers 5 heures du matin
aux portes du Super U de Mortagne-au-Perche (Orne).
Armés de pistolets, ils prennent un à un en otages les employés qui se présentent pour préparer l'ouverture du magasin.
Terrorisés, ces derniers sont enfermés dans des pièces jusqu'à ce que le responsable du coffre-fort tombe entre les mains
du gang.
«Au total, plus d'une quarantaine de salariés ont été séquestrés pendant trois heures avant que les voyous obtiennent les codes,
explique un enquêteur.
Faisant preuve d'un grand calme, ils ont raflé 105 000 euros de butin avant de disparaître.»

Cellule «Vamasup»
Saisie de l'enquête, la section de recherches de Caen a effectué une série de rapprochements
grâce aux bases de données de la gendarmerie à Rosny-sous-Bois.
Au sein d'une cellule d'enquête «Vamasup» créée en septembre dernier avec leurs homologues d'Amiens,
les militaires ont concentré leurs soupçons sur une série de suspects.

Déjà fichés pour des faits similaires, certains ont été confondus par des indices matériels.
En raison de leur dangerosité, quatre ont été interpellés samedi en flagrant délit par les hommes d'élite du GIGN
alors qu'ils étaient en repérage aux abords d'un supermarché de Pithiviers (Loiret).
Deux complices présumés ont été appréhendés dans la cité Beauval de Meaux. Derrière ses allures tranquilles,
ce quartier pourrait bien être la «pépinière» des braqueurs de supermarchés : en effet, avant les gendarmes,
la PJ de Nancy était venue y démanteler une équipe similaire en juillet et septembre derniers. "

Partout des voitures de gendarmerie… à Millau, hier, comme dans ses environs, la grosse saisie de drogue réalisée la veille par les hommes de la section de recherche de la Cité du gant, n'avait pas fini de faire des vagues. Pas tellement dans le quartier de la Gare où la coquette maison crème de la rue Saint-Euzebit avait l'air presque abandonnée (sans aucun scellé sur sa porte). Mais surtout dans les environs puisque les gendarmes ont déclenché des perquisitions tous azimuts. L'enquête en flagrance leur ouvre bien des portes… Selon nos informations recueillies sur le terrain et auprès de sources sûres (1), ce sont en fait 88 kg de cannabis qui ont été saisis lundi matin à l'occasion de cette descente de police. Les OPJ, qui sans doute avaient mis leur petit doigt dans l'oreille, découvrent sur place le propriétaire des lieux et un de ses amis. Celui-ci est de Millau et y compte de la famille. Mais il habite d'ordinaire à Montpellier. Et là, dans la maison, les gendarmes vont de surprise en surprise, découvrant au total 88 kg de résine de cannabis, soigneusement emballés et rangés. Prêts à repartir vers d'autres cieux. Aussitôt, l'artillerie lourde est déclenchée, des renforts sont mobilisés au groupement et les autorités supérieures mises au parfum dans l'instant. La prise est inhabituelle, même si chacun sait que Millau est devenue une porte d'entrée pour la drogue en Aveyron (proximité du littoral, facilité de circulation avec l'A75). Les deux hommes sont placés en garde à vue (4 jours en matière de stupéfiants) et soumis au feu roulant des interrogatoires. « Ce qui intrigue les enquêteurs, c'est le parcours de la drogue, explique un proche du dossier. Le cannabis arrive du Maroc, via l'Espagne. Si c'est pour le marché montpelliérain, pourquoi monter à Millau ? Et si c'est pour le marché aveyronnais, quels sont les canaux de revente ? » Questions pertinentes. L'enquête semble avoir démarré de Saint-Affrique, où quelques personnes sans revenus déclarés apparaissent trop riches et roulent dans de trop belles voitures. Ce qui a attiré l'attention sur elles. Mais autre interrogation, si cette drogue est destinée au marché local, par quels réseaux allait-elle s'écouler ? C'est aujourd'hui ce qui préoccupe les enquêteurs dans un Aveyron qui, décidément, n'est plus la terre préservée de la délinquance que croyaient certains. La preuve, c'est que l'affaire sera certainement confiée à une « juridiction interrégionale spécialisée » de Marseille. Magistrats et services spécialisés pour malfrats spécialisés.

http://www.ladepeche.fr/article/2010/01/20/758903-Millau-A-qui-etaient-destines-ces-88-kg-de-cannabis.html

« Beaucoup de drogue circule »

Justice. Les deux malfrats pris avec 88 kg de cannabis sont en prison. Et un usager trafiquant, de Millau lui aussi, a été condamné hier.

http://www.ladepeche.fr/article/2010/01/23/760932-Beaucoup-de-drogue-circule.html

Absent des débats, hier, l'Héraultais de 71 ans a écopé de 3 ans de prison. Il fabriquait des faux en tout genre. Un mandat d'arrêt a été délivré.
Fausses cartes d'identité, de séjour, permis de conduire, de chasse, relevés bancaires, bulletins de salaire falsifiés... Il s'agit manifestement d'un faussaire multicarte. Interpellé en 2003 dans le cadre d'une affaire de vols, cet ancien gendarme né en 1938 en Algérie à Mostaganem, et domicilié dans l'Hérault, était absent des débats, hier. Sans avocat pour le représenter, le prévenu n'a pu faire valoir aucun argument pour sa défense.

171 000 euros de préjudice Son dossier a été disjoint de ceux de ses complices arrêtés voilà sept ans. Chez lui, les gendarmes ont retrouvé 152 faux documents administratifs, une machine à écrire, un scanner et des tampons encreur. Le parfait attirail de l'escroc. Les enquêteurs expliquent que le prévenu travaillait sur commande. N'importe qui pouvait apparemment lui demander des faux papiers. Ses talents ont notamment servi à escroquer les caisses d'allocations familiales de Béziers et Montpellier ainsi que plusieurs concessionnaires de la région. Pour l'ensemble des victimes, le préjudice s'élèverait à un peu plus de 171 000 euros. Déjà condamné à huit reprises pour escroquerie, l'homme a déclaré durant l'instruction qu'il ne fournissait des faux "qu'à l'occasion". Réquisition du Procureur de la République : trois ans de prison et un mandat d'arrêt. Le tribunal correctionnel de Narbonne, présidé hier par Pierre Vilar, a suivi le Ministère public. En outre, l'homme devra verser 5 000 euros à la CAF de Montpellier. La condamnation devra paraître dans la revue "Vie de Famille". Quant à la CAF de Béziers escroquée à hauteur de 46 000 euros, elle n'a pas obtenu réparation. La faute à un vice de procédure...

http://www.lindependant.com/articles/2010-01-20/l-ancien-gendarme-est-un-faussaire-hyperactif-114249.php

En faisant tomber un groupe spécialisé dans les vols de coffres, les gendarmes pourraient avoir également mis un coup d'arrêt à une série de cambriolages. Ces derniers émanant d'un groupe appartenant à la communauté des gens du voyage sédentarisés.

Les 11 et 12 janvier (lire nos précédentes éditions), une vaste opération, menée par les gendarmes de Lot-et-Garonne sur trois départements, a conduit à l'arrestation de 11 personnes impliquées dans l'affaire des vols de coffre. Interpellées à leur domicile par 60 gendarmes tarn-et-garonnais, avec le renfort de 10 membres d'une cellule spécialement constituée ainsi que de plusieurs policiers, elles ont été placées en garde à vue. Au terme de leurs présentations, six ont été mis en détention provisoire et cinq sous contrôle judiciaire strict.

Au cours des différentes perquisitions menées à leur domicile, les gendarmes ont découvert un stock particulièrement impressionnant et hétéroclite : voitures, quads, machines à laver, vélos tous terrains, fours à micro-ondes, caisses à outils, consoles de jeux, écrans plats, des chaînes hi-fi, des ordinateurs… Une véritable caverne d'Ali Baba dont les gendarmes de la compagnie de Castelsarrasin viennent tout juste de dresser l'inventaire.

Ces nombreux objets qui encombraient, hier encore, les garages de la compagnie de Castelsarrasin, proviendraient d'une série de cambriolages commis ces derniers mois chez des particuliers du département. Mais pas seulement, de nombreux objets pourraient également avoir été dérobés dans des résidences situées dans les départements alentours.

http://www.ladepeche.fr/article/2010/01/22/759923-Les-voleurs-de-coffre-faisaient-aussi-dans-le-cambriolage.html

L'affaire remonte au mois d'août dernier, plus précisément au jour où le gérant d'une société de la micro-région se présente à la brigade de gendarmerie de Ghisonaccia. Il dépose plainte après avoir constaté des anomalies sur plusieurs véhicules achetés à un individu résidant en Haute-Corse. Il précise que l'individu en question a vendu d'autres véhicules sur la Corse en les entreposant dans des stations services.

Dès lors, la brigade de recherches et la brigade territoriale de Ghisonaccia se chargent de retrouver les véhicules revendus par l'intéressé. Ils constatent alors que les numéros de série ont été effacés. Pour retrouver les originaux, ils font pratiquer des opérations de révélation chimique sur les véhicules. Les experts de l'IRC (Institut de Recherche criminelle) de Rosny-sous-Bois sont chargés du travail.

23 véhicules utilitaires écoulés par l'auteur des faits, entre novembre 2007 et septembre 2009, ont pu être récupérés. L'individu, qui a été laissé libre en raison de son état de santé, a bénéficié de l'aide de son fils qui vivait dans l'Ain au moment des faits. Ce dernier a été écroué à la maison d'arrêt de Borgo. Il a également bénéficié de la complicité de sa compagne et de sa fille demeurant à Taglio- Isolaccio.

400 000 euros de flux financier

Les vols avaient été perpétrés dans la région Rhône-Alpes dont sont originaires les instigateurs. Les véhicules étaient ensuite revendus en dépôt-vente dans des stations services, avec présentation de faux documents administratifs (certificats de cession, contrôles techniques). La revente a généré environ 400 000 euros de flux financiers.

Les brigades territoriales et de recherches de Ghisonaccia ont permis de mettre fin à ce trafic, et de remonter la filière jusque sur le Continent.

http://www.corsematin.com/ra/haute-corse/236322/ghisonaccia-un-reseau-demantele-en-plaine-orientale

| COUP DE FILET |



Et de trois. Après avoir successivement tordu le cou à deux réseaux de trafic de stupéfiants, ...

en novembre et décembre dernier, les forces de l'ordre ont cette semaine à nouveau fait le ménage dans l'univers poudreux des trafiquants de drogue. Quatorze personnes ont été interpellées par les services de gendarmerie, sur le territoire de Cambrai, et de ses environs. La raison ? Toutes sont mises en cause dans un trafic d'héroïne portant essentiellement sur la commune. Un trafic d'héroïne dont les éléments recueillis par l'enquête permettent d'établir qu'il sévissait au moins depuis mars 2008. En près de deux ans, des dizaines de kilos d'héroïne en provenance de Bruxelles ont ainsi transité sur le territoire, pour des sommes flirtant avec l'indécence. On parle de centaines « de milliers d'euros », précise le vice-procureur de la République de Cambrai, Nicolas Steimer.


Sur ces quatorze personnes appréhendées, toutes majeures, quatre ont été placées en détention provisoire. Les dix autres sont désormais sous le joug d'un contrôle judiciaire. Et toutes sont mises en examen pour trafic de stupéfiants, chacune ayant toutefois un rôle particulier. Parfois même bien particulier.
Car parmi ces prises héroïnomanes, l'une fait figure de tête de réseau quand l'autre fait office de principal revendeur ou autre. « Au cours de l'enquête, des consommateurs ont été entendus, signale le vice-procureur. Et tous ont obtenu une réponse pénale.
»
50 gendarmes, trois équipes cynophiles


Pour mettre à mal ce réseau, il a fallu du temps, et d'importants moyens. C'est au cours de l'année 2009 que les enquêteurs de la brigade de Cambrai « détectent » une piste. Les investigations commencent en concertation avec le parquet. Mais le petit poisson que l'on croyait prendre s'avère plus gros que prévu. L'enquête prend de l'ampleur occasionnant dès lors l'ouverture d'une information judiciaire. Et enfin, cette semaine, les militaires sont intervenus pour appréhender les principaux suspects, chez lesquels toutefois, peu de saisies ont été effectuées (quelques grammes d'héroïne et 1700 euros).

http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Cambrai/actualite/Cambrai/2010/01/22/article_les-gendarmes-cambresiens-demantelent-un.shtml

Un individu de 17 ans qui était activement recherché par les services de la police et de la gendarmerie de Castelsarrasin, a été interpellé et mis en garde à vue, mercredi soir au commissariat, pour de multiples cambriolages, vols, trafic de stupéfiant, sans oublier d'avoir volontairement percuté un véhicule de la gendarmerie (notre édition du 8 janvier).

Le 7 janvier dernier, à bordd'un véhicule qu'il avait volé un peu plus tôt lors d'un cambriolage à Dieupentale, cet individu réussissait le tour de force d'échapper aux gendarmes qui s'apprêtaient à l'interpeller, en fonçant volontairement contre la voiture des militaires, avant de disparaître à pied.

Une barre de cannabis et des espèces
Depuis le jeune homme avait disparu dans la nature et demeurait introuvable. C'est donc un beau coup de filet que les policiers castelsarrasinois sont parvenus à réaliser, hier, au vu du palmarès de ce jeune délinquant multirécidiviste, et déjà bien connu de la justice.

Mercredi soir, au cours d'une banale patrouille de la police le jeune homme est repéré. Il est 22 heures lorsque les fonctionnaires sont surpris par le comportement d'un individu, à bord d'une voiture stationnée non loin de l'abattoir.

Au passage du véhicule de police, il tente de se dissimuler sous le volant pour échapper à leur vigilance.

Une longue course-poursuite à pied

À peine ont-ils le temps de s'approcher de lui que l'individu a quitté l'habitacle du véhicule et s'enfuit à toutes jambes.

Poursuivi à pied sur plus de 2 km par l'un des policiers, il est finalement interpellé alors qu'il s'apprête à passer par-dessus la clôture d'une habitation.
Lors de sa fouille à corps, les policiers découvrent sur lui une barre de 80 gr de résine de cannabis ainsi qu'une somme de 600 € en coupure de 50, laissant présager aux enquêteurs qu'il est l'auteur d'un trafic de stupéfiant. Hier matin lors des perquisitions à son domicile, les officiers de police judiciaire découvraient divers objets dont des bijoux provenant d'au moins trois cambriolages survenus dans les dernières semaines sur Castel sarrasin. Ils mettaient également la main sur des cartouches d'un fusil de chasse dont les douilles étaient identiques à celles retrouvées dans un véhicule volé et incendié. Des faits que l'individu durant ses auditions ne semblait pas nier et qui s'accumulaient à celui de conduite sans permis à de multiples reprise. Au vu des faits et de leur nombre, les enquêteurs ont obtenu, hier soir, du parquet la prolongation de la garde à vue avant d'être déféré demain matin.

http://www.ladepeche.fr/article/2010/01/22/760369-Castelsarrasin-A-17-ans-il-avait-fonce-sur-les-gendarmes.html

Félicitations aux Policiers pour cette arrestation !

Vingt-deux personnes, soupçonnées d'être impliquées dans deux réseaux distincts de trafic de stupéfiants dans les régions de SAINT-TROPEZ et HYERES (Var), ont été interpellées le 19 janvier 2010 au cours de deux opérations de gendarmerie.

Agissant dans le cadre d'une information judiciaire ouverte en 2009, pour un trafic de cannabis, de cocaïne et d'héroïne, une centaine de gendarmes du Var a été engagée dans deux opérations qui ont permis l'interpellation de vingt-deux personnes soupçonnées. Toutes ont été placées en garde à vue.

La première opération s'est déroulée dans la région de HYERES où quinze personnes sont concernées. Le coup de filet s'est déroulé à HYERES, TOULON, LA CRAU et SOLLIES-PONT (Var). Il s'agit d'un trafic de moyenne importance impliquant des jeunes majeurs, pour certains en situation de récidive.

La deuxième opération s'est déroulée dans le golfe de SAINT-TROPEZ. Cinq personnes ont été interpellées à SAINT-TROPEZ, CAVALAIRE et COGOLIN (Var).

Deux autres l'ont été dans le Doubs et dans le Territoire de BELFORT où les gendarmes opéraient également dans le cadre d'une information judiciaire ouverte dans une autre affaire de trafic de cannabis et d'héroïne qui en novembre dernier avait abouti à la mise en examen et le placement en détention de sept personnes.

http://www.gendarmerie.interieur.gouv.fr/fre/sites/Gendarmerie/Actus/2010/Janvier/Trafic-de-stupefiants-dans-le-Var.-22-personnes-interpellees

Drogue/Var : 12 mises en examen

Douze personnes, soupçonnées d'être impliquées dans deux réseaux distincts de trafic de stupéfiants dans les régions de Saint-Tropez et Hyères, dans le Var, ont été mises en examen.

Cinq d'entre elles ont été écrouées, quatre mandats de dépôt ont été requis et trois autres ont été placées sous contrôle judiciaire et remises en liberté selon la même source. Toutes auront à répondre de "détention, acquisition, transport, cession de stupéfiants".

Les dix autres personnes placées en garde à vue dès mardi mais impliquées à des degrés moindres ont été remises en liberté. Certaines seront convoquées devant le tribunal correctionnel. D'autres, essentiellement des consommateurs, ont bénéficié de compositions pénales.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/01/22/01011-20100122FILWWW00632-drogue-12-mises-en-examen-dans-le-var.php

Un Carolo a été condamné vendredi à dix-huit mois ferme pour importation de produits stupéfiants. Il était en état de récidive légale.


L'ESCADRON départemental de sécurité routière (EDSR), que dirige le capitaine Alain Barthélémy, n'a pas vocation à interpeller les trafiquants de drogue, mais, quand l'occasion se présente, les gendarmes savent faire preuve de la même efficacité que lorsqu'il s'agit de lutter contre les infractions routières.

La preuve en a été donnée, jeudi soir, à 21 h 30, à Lonny, par la brigade rapide d'intervention. Alors que les gendarmes venaient de prendre en chasse une Fiat Bravo circulant à une vitesse excessive, ils ont constaté que l'un des passagers jetait deux paquets hors de la voiture.

Après avoir intercepté le véhicule, ils ont donc eu tôt fait de récupérer les paquets en question, lesquels, après analyse, ont révélé contenir 252 grammes d'héroïne et 4 grammes de cocaïne.

Ramenés dans les locaux de la gendarmerie, les trois occupants du véhicule (deux hommes et une femme âgés d'une trentaine d'années) ont été placés en garde à vue et entendus par les gendarmes de la brigade rapide d'intervention et leurs collègues de la brigade de recherches.

Le trio a été présenté, vendredi après-midi ,devant le tribunal correctionnel, dans le cadre d'une procédure de comparution immédiate.

Le passager ayant jeté les paquets, qui se trouvait en état de récidive légale d'importation de produits stupéfiants, a été condamné à 48 mois de prison dont 30 mois avec sursis et trois ans de mise à l'épreuve. Le mandat de dépôt ayant été prononcé à l'audience, il a été aussitôt incarcéré.

Le conducteur du véhicule, poursuivi pour récidive d'usage de produits stupéfiants, a été condamné à 24 mois avec sursis, à une obligation de soins et à trois ans de mise à l'épreuve. Il fera par ailleurs l'objet d'une procédure ultérieure pour conduite sous l'emprise de produits stupéfiants.

Quant à la jeune fille qui les accompagnait, elle sera poursuivie ultérieurement pour usage de produits stupéfiants.

http://www.lunion.presse.fr/index.php/cms/13/article/415552/Lonny__Saisie_de_drogue__Dix_huit_mois_ferme__pour_le_recidiviste

Les gendarmes ont-ils mis un coup d'arrêt à la vague de cambriolages perpétrées à Batz-sur-Mer en novembre et décembre dernier ? Hier soir, trois personnes, originaire de la presqu'île guérandaise, étaient en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie de Guérande et une partie du matériel dérobé a été retrouvée. En fin d'année 2009, sept cambriolages et six tentatives de cambriolages ont été perpétrés dans différentes résidences secondaires de la petite cité balnéaire. À ce jour, 14 propriétaires ont déposé plainte. L'enquête semble avoir brusquement avancée hier. Les différentes perquisitions menées ont en effet permis de découvrir du matériel de pêche, des GPS, des consoles, une urne en forme de coque de bateau, etc. autant d'objets provenant des maisons fracturées. « Pour le moment, tout n'a pas été retrouvé mais nous continuons activement nos recherches », expliquait hier le lieutenant Prou, de la gendarmerie de Guérande.

http://www.presseocean.fr/actu/actu_detail_-Coup-d-arret-aux-cambriolages-_9179-1237584_actu.Htm

Une importante opération de gendarmerie s'est déroulée ce matin, à l'aube, à Saint-Gilles (Gard), dans la cité de Sabatot, classée en ZUS (zone urbaine sensible). Près de 120 gendarmes des compagnies de Montpellier et Nîmes ont été mobilisés et une dizaine de personnes ont été interpellées et diverses saisies effectuées.

L'enquête, menée par la brigade de recherches de Montpellier, concernerait des dizaines de cambriolages commis dans la région, les suspects s'étant spécialisés dans les vols de jet-ski et des bateaux, chargés sur des remorques, puis ensuite revendus au Maroc, via une société spécialisée. Le préjudice porterait sur plus de 700 000 euros.

http://www.midilibre.com/articles/2010/01/25/MONTPELLIER-120-gendarmes-pour-demanteler-un-trafic-de-jet-ski-1085968.php5

Vingt-six personnes originaires des pays de l'Est ont été interpellées dans le cadre d'une vaste opération de gendarmerie anti-cambriolages organisée ce matin aux alentours de Béziers, dans l'Hérault.

Près de 200 gendarmes, en provenance notamment de la compagnie de Pézenas, sont intervenus à partir de 6h30 sur commission rogatoire d'un magistrat de Béziers concernant des cambriolages présumément perpétrés par des personnes issues de la communauté des gens du voyage qui auraient sévi depuis plusieurs mois dans la région.

Ils ont récupéré de l'outillage, du matériel hi-fi, des bijoux et de l'argent. Les interpellations des quinze personnes, dont deux receleurs présumés, ont eu lieu principalement dans les environs de Béziers, ainsi qu'à Lyon, où trois individus ont été arrêtés.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/01/26/01011-20100126FILWWW00364-cambriolages-15-arretes-a-beziers.php

http://www.gendarmerie.interieur.gouv.fr/fre/sites/Gendarmerie/Actus/2010/Janvier/Operation-anti-cambriolages

Onze personnes ont été placées en garde à vue mardi matin à Albertville (Savoie) dans le cadre d'une enquête pour escroquerie en bande organisée, selon une source judiciaire.

Au total 70 militaires et fonctionnaires de la section de recherches de Chambéry, du GIR (groupe d'intervention régional) de Lyon ainsi que du groupement de la Savoie ont été mobilisés pour procéder aux interpellations d'hommes et de femmes, parmi lesquels des commerçants d'Albertville, et saisir des véhicules, a-t-on précisé de même source.

Ces personnes sont soupçonnées d'avoir participé à une vaste escroquerie fonctionnant selon un système d'arnaque pyramidale dit de "chaîne de Ponzi", du nom d'un escroc qui avait mis en place une opération frauduleuse à Boston (Etats-Unis) dans les années 20.

Le principe consiste pour l'organisateur (qui garde une commission) à demander à des gens d'investir de l'argent en leur promettant un rendement élevé s'ils recrutent de nouveaux investisseurs.

Comme le vivier d'investisseurs est limité, lorsque la chaîne se casse ceux qui arrivent en dernier paient les intérêts des premiers arrivés et perdent beaucoup d'argent. Les enquêteurs ignorent encore le nombre précis de victimes et le montant du préjudice. Au total une soixantaine d'auditions ont été menées.

L'enquête avait démarré en octobre dernier à Albertville à la suite de dénonciations anonymes, avant que le dossier ne soit transféré au pôle de l'instruction de Chambéry, où l'ouverture d'une information judiciaire avait été décidée.

Source : Le Figaro.fr.

En faisant tomber un groupe spécialisé dans les vols de coffres, les gendarmes pourraient avoir également mis un coup d'arrêt à une série de cambriolages. Ces derniers émanant d'un groupe appartenant à la communauté des gens du voyage sédentarisés.

Les 11 et 12 janvier (lire nos précédentes éditions), une vaste opération, menée par les gendarmes de Lot-et-Garonne sur trois départements, a conduit à l'arrestation de 11 personnes impliquées dans l'affaire des vols de coffre. Interpellées à leur domicile par 60 gendarmes tarn-et-garonnais, avec le renfort de 10 membres d'une cellule spécialement constituée ainsi que de plusieurs policiers, elles ont été placées en garde à vue. Au terme de leurs présentations, six ont été mis en détention provisoire et cinq sous contrôle judiciaire strict.

Au cours des différentes perquisitions menées à leur domicile, les gendarmes ont découvert un stock particulièrement impressionnant et hétéroclite : voitures, quads, machines à laver, vélos tous terrains, fours à micro-ondes, caisses à outils, consoles de jeux, écrans plats, des chaînes hi-fi, des ordinateurs… Une véritable caverne d'Ali Baba dont les gendarmes de la compagnie de Castelsarrasin viennent tout juste de dresser l'inventaire.

Ces nombreux objets qui encombraient, hier encore, les garages de la compagnie de Castelsarrasin, proviendraient d'une série de cambriolages commis ces derniers mois chez des particuliers du département. Mais pas seulement, de nombreux objets pourraient également avoir été dérobés dans des résidences situées dans les départements alentours.

http://www.ladepeche.fr/article/2010/01/22/759923-Les-voleurs-de-coffre-faisaient-aussi-dans-le-cambriolage.html[/quote]


La justice soupçonne ce réseau d'avoir commis, depuis six mois, près de soixante-dix arrachages de DAB et de vols de coffres-forts dans des banques et des commerces des régions Aquitaine et Midi-Pyrénnées.

Leur spécialité : desceller des distributeurs automatiques de billets (DAB) de banques ou de bureaux de Poste à l'aide de câbles reliés à de puissantes berlines. Les enquêteurs de l'antenne de police judiciaire et les gendarmes de la section de recherches d'Agen (Lot-et-Garonne) viennent de mettre un terme aux activités criminelles d'un gang de voleurs particulièrement actifs.

http://www.leparisien.fr/faits-divers/un-gang-d-arracheurs-de-dab-demantele-26-01-2010-792443.php

Le 20 janvier, les gendarmes de la Section de recherches (S.R.) de GRENOBLE interpellent l'auteur présumé de l'enlèvement et de la séquestration du conjoint d'un employé d'une société de transports de fonds commis le 19 septembre 2009 à SEYSSINET (Isère) en vue de se faire remettre 2 millions d'euros. L'auteur présumé reconnaît les faits, il est mis en examen et écroué.

Le 19 septembre 2009 à 06h30, le chef d'équipe de l'atelier monnaie du centre de transports de fonds d'une société du département de l'Isère se rend sur son lieu de travail. En chemin, il est contraint de s'arrêter par une branche d'arbre obstruant la route. Alors qu'il descend de son véhicule il est menacé par un individu encagoulé et porteur d'une arme de poing.

Sur les injonctions de l'agresseur, il téléphone à son conjoint en lui demandant de le rejoindre. A l'arrivée de ce dernier, le malfaiteur le ligote et intime l'ordre à la première victime de se rendre à la société et d'en sortir deux millions d'euros à titre de rançon.

Pendant ce temps, le ravisseur quitte la zone avec son otage. La première victime rassemble les deux millions d'euros en petites coupures. Le comportement inhabituel de l'intéressé est toutefois remarqué par un autre employé qui donne l'alerte. Le malfaiteur se rendant compte que l'employé de la société ne revient pas, libère son otage à 09h42 dans la commune de TULLINS (Isère). Aucune violence n'a été exercée.

Saisis de l'enquête, les gendarmes de la S.R. de GRENOBLE (Isère) privilégient la piste d'une complicité intérieure ou d'un ex-employé. Cette hypothèse permet de suspecter un ancien salarié de la société.
Le 20 janvier 2010, il est interpellé à son domicile en compagnie de sa compagne. La perquisition permet la saisie d'un sac à dos, de cagoules, de liens de type « serflex », de ruban adhésif, de gants, d'une perruque, d'armes à impulsions électriques et d'une copie factice d'un pistolet automatique Mas G1.

A l'issue des gardes à vue, L'auteur présumé est présenté au magistrat instructeur, qui lui a notifié sa mise en examen, et a été placé en détention provisoire. Son épouse a été remise en liberté et fera l'objet d'une mise en examen ultérieure.

http://www.gendarmerie.interieur.gouv.fr/fre/sites/Gendarmerie/Actus/2010/Janvier/Vol-a-main-armee-commis-avec-enlevement-et-sequestration

Entre le 2. décembre 2009 et le 20 janvier 2010, les gendarmes de la compagnie de MANTES-LA-JOLIE (Yvelines) interpellent 13 individus susceptibles d'être impliqués dans une cinquantaine de cambriolages. Deux ont été écroués et 5 placés sous contrôle judiciaire.


Depuis la fin de l'été 2009, de nombreux cambriolages sont commis dans le nord-ouest du département des Yvelines. Les recoupements effectués par les gendarmes de la brigade des recherches de MANTES-LA-JOLIE (Yvelines) avec l'assistance de la cellule anti-cambriolages (CAC) et l'exploitation de plusieurs témoignages orientent l'enquête vers cinq individus résidant sur MANTES-LA-VILLE et AUFFREVILLE-BRASSEUIL (Yvelines).

Le 21 décembre, une première opération de police judiciaire est déclenchée par les gendarmes de la compagnie de MANTES-LA-JOLIE au cours de laquelle les cinq suspects sont interpellés. Lors des perquisitions, divers objets et bijoux volés sont saisis. Un individu est écroué et les quatre autres sont placés sous contrôle judiciaire.

Le 17 janvier 2010, deux membres de cette équipe sont interpellés alors qu'ils circulent dans une voiture volée. L'un est incarcéré et le second fait l'objet d'un contrôle judiciaire.

Le 20 janvier, afin de mettre un terme aux activités de cette équipe, les gendarmes de la compagnie de MANTE-LA-JOLIE interpellent six nouvelles personnes. Lors des perquisitions, 8 fusils de chasse et une carabine sont saisis afin d'en déterminer la provenance.

Les opérations conduites depuis le 21 décembre 2009 ont débouché sur l'interpellation de 13 individus dont deux sont écroués et cinq placés sous contrôle judiciaire. Elles permettent la résolution de 47 faits de cambriolages et recels.

Soixante-treize gendarmes du groupement de l'Ain ont été mobilisés, hier à l'aube, pour le démantèlement d'un réseau de trafic de stupéfiants qui opérait dans le sud du val de Saône. L'opération a permis d'interpeller vingt-quatre personnes, principalement à Trévoux et Jassans-Riottier, mais aussi à Villeurbanne, Villefranche et Rivolet (Rhône), ou encore à Frans, et jusqu'à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône). Trois kilos d'héroïne ont été saisis en plusieurs endroits, dont deux kilos à Jassans-Riottier, chez une des têtes présumées du réseau. Les militaires ont également saisi 20 g de cocaïne et 60 g de cannabis, 10 000 euros en espèces, ainsi que deux véhicules liés au trafic dont un camion pizza qui aurait pu servir à blanchir l'argent issu de la revente de drogue.

Ce coup de filet est le résultat d'un travail de longue haleine de la compagnie de gendarmerie de Trévoux. En 2008, à l'occasion d'une précédente affaire, les enquêteurs avaient constaté que des toxicomanes impliqués se fournissaient dans un autre réseau local. De quoi justifier en juin 2009, l'ouverture par le parquet de Bourg-en-Bresse d'une information judiciaire. Sur commission rogatoire d'un juge d'instruction, les gendarmes ont alors patiemment identifié les protagonistes du réseau.

Parmi les vingt-quatre personnes placées en garde à vue hier, on trouve de simples toxicomanes, des revendeurs consommateurs, et les cinq « fournisseurs » présumés. Ces derniers partageaient leurs contacts, les lieux de stockage de la poudre, et s'échangeaient de la drogue. La plupart sont en état de récidive.

La quantité de drogue saisie donne une idée de l'ampleur d'un trafic très lucratif, avec des fournisseurs sans emploi mais pouvant débourser sans problème les 20 000 euros minimum que vaut un kilo d'héroïne. « Cette opération est le fruit d'un travail méthodique pour nettoyer un territoire défini, expliquait hier le capitaine Alexandre Muyl qui commande la compagnie de Trévoux.

http://www.leprogres.fr/fr/region/le-rhone/rhone/article/2626312,184/Vague-d-interpellations-entre-Rhone-Saone-et-Bouches-du-Rhone.html

http://www.gendarmerie.interieur.gouv.fr/fre/sites/Gendarmerie/Actus/2010/Janvier/Saisie-de-3-kilogrammes-d-heroine

Les Lyonnais ont été quelque peu surpris ce matin par le vacarme d'un hélicoptère survolant le sud de Lyon, et notamment le 7ème arrondissement.

Cet hélicoptère de la gendarmerie cherchait à localiser une...
fourgonnette à bord de laquelle un individu avait engagé une course poursuite avec les gendarmes.
Le véhicule avait fait l'objet d'une tentative d'interception à Toussieu, mais le conducteur a refusé d'obtempérer...Il a été pris en chasse par les militaires qui l'ont suivi jusque dans le centre de Lyon, avec l'appui d'un hélicoptère.

Ce suivi dans les airs est systématiquement mis en oeuvre dans le cas d'une course poursuite en milieu urbain, ce qui permet aux gendarmes d'éviter d'aller au contact du fuyard et de provoquer des accidents: piétons renversés, chocs avec d'autres véhicules...

Grâce à l'hélicoptère, les gendarmes peuvent suivre l'évolution du véhicule et profiter ensuite d'un blocage de la circulation pour s'en approcher...ce qui fut le cas ce mercredi matin. le fuyard s'est retrouvé derrière un camion d'assainissement, rue Professeur Grignard, près de l'ancien entrepôt TCL.

Les gendarmes l'ont intercepté: il devra s'expliquer devant les enquêteurs et, sans doute, répondre devant la justice de "mise en danger de la vie d'autrui".

http://www.lyonpremiere.info/site/index.php?option=com_content&view=article&id=3713:course-poursuite-dans-les-rues-de-lyon-un-helicoptere-en-appui&catid=7:lactualite&Itemid=15

Un trafic d'héroïne entre l'est et le centre-est de la France a été démantelé hier, avec l'interpellation de treize personnes en Ardèche et dans la Drôme, et la saisie de plusieurs véhicules de luxe, a-t-on appris auprès de la gendarmerie. Les treize interpellés, des hommes et des femmes âgés de 25 à 40 ans environ, sont soupçonnés d'avoir constitué un réseau qui écoulait dans le sud-est de la France plusieurs dizaines de kilos d'héroïne par mois, en provenance de l'est.

Au cours de cette opération, qui a mobilisé plus de 200 gendarmes selon le ministère de l'Intérieur, plusieurs véhicules de luxes ont été saisis, dont des 4X4 et une Porsche. Des faibles quantités de cannabis et d'héroïne, de l'argent liquide et des objets ont également été saisis, pour un montant supérieur à 100.000 euros, a-t-on précisé de source proche de l'enquête. L'affaire a démarré grâce à la saisie par les douanes de plus de 20 kilos d'héroïne à la frontière franco-luxembourgeoise, plusieurs mois auparavant.

L'enquête a été confiée par la Juridiction interrégionale spécialisée de Nancy à la section de recherche de la gendarmerie de Metz, qui, avec l'appui des gendarmes de Rhône-Alpes et du GIGN, a mené les interpellations mardi. Sur les 13 interpellés, 12 ont vu leur garde à vue prolongée jusqu'à demain. Une femme a été libérée.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/01/27/01011-20100127FILWWW00771-drome-trafic-d-heroine-demantele.php

Cette affaire fait aussi la une du Dauphiné Libéré

Un vaste coup de Filet Anti - Drogue a été mené mardi.

13 arrestations en Drôme - Ardèche

Mardi Matin, 200 gendarmes dont deux équipes du GIGN.......

"Encore bravo à nos actives"

Cette action doit satisfaire monsieur le Maire de Valence qui dernièrement affirmait que sa ville était une plaque tournante du trafic de stupéfiant

Il s'était aussi ému du climat corrupteur de la pratique de la prostitution au grand jour sur les berges du Rhône. Là aussi, c'est un domaine où la Gendarmerie a su par le passé faire preuve du grand professionnalisme de ses enquêteurs, alors que l'affaire avait débuté en zone police d'état. Croisons les doigts et espérons que nos gendarmes tomberont un jour un réseau de proxénètes.

----Quatre hommes de 22 à 35 ans, dont un brocanteur diamantaire, soupçonnés d'une trentaine de cambriolages dans le Var, ont été mis en examen jeudi pour vols, selon le parquet de Toulon.

Des mandats de dépôt ont été requis à leur encontre. L'équipe opérait dans des résidences principales autour de Hyères, Solliès-Pont et Six-Fours-les-Plages et écoulait les produits volés, dont le montant n'est pas établi, vers le Maghreb.-------

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Les perquisitions effectuées par les gendarmes de la compagnie de Hyères ont permis la saisie de nombreux objets, dont du matériel électronique.-------

Depuis décembre 2009, les cambriolages se multiplient de Montpellier à Perpignan. La parfaite coordination entre les forces de gendarmerie et de police a permis le démantèlement rapide d'un réseau de malfaiteurs.

Douze vols à main armée en deux mois (7 en ZPN et 5 en ZGN), l'analyse d'un modus operandi spécifique, il n'en faut pas plus pour diligenter une commission rogatoire commune aux deux services d'enquête pour faire cesser la spirale organisée par une dizaine de malfaiteurs.

Semant trouble et inquiétude parmi les petits commerçants des Pyrénées-Orientales, de l'Aude et de l'Hérault, cette bande organisée privilégiait l'attaque des stations-service, épiceries, supérettes, buralistes et aires de restauration rapide, dégradant notamment fils de téléphones et électriques pour empêcher toute alarme intempestive.

Le 22 janvier dernier, une réunion conjointe définit les conditions d'interpellation en flagrant délit de cette bande particulièrement mobile. Le 28 janvier, la mise en oeuvre de ces dispositions permet l'arrestation de 12 personnes issues de la communauté des gens du voyage répartis tant à PERPIGNAN (Pyrénées-Orientales) qu'à RIVESALTES (Pyrénées-Orientales).


http://www.gendarmerie.interieur.gouv.fr/fre/sites/Gendarmerie/Actus/2010/Janvier/Gendarmes-et-policiers-cote-a-cote-demantelent-une-bande-organisee

Ils sont tout de même performants, ces sacrés gendarmes !
Ah ! mais j'oubliais, c'est gâce à ....... il est comme casto.... il donne tout ce qu'il faut !

Un vaste réseau de voleurs en bande organisée vient d’être éliminé avec l’arrestation de 23 personnes, mardi, dans l’agglomération de Saint-Brieuc par les gendarmes des Côtes-d’Armor.

Deux hommes demeurant près de Saint-Brieuc sont soupçonnés d’être à la tête de ce réseau. L’un commanditait. L’autre recelait les marchandises volées par des ressortissants des pays de l’Est un peu partout en Bretagne depuis 2006.

Alcools, outillage, lames de rasoirs, vêtements : toutes sortes de marchandises ont été volées dans des magasins de petites et moyennes surfaces. Des équipes de deux personnes volaient à chaque fois très habilement de petites quantités et se faisaient rarement prendre. Elles ramenaient la marchandise au commanditaire, qui déposait chez des receleurs. Elle était ensuite revendue par les modes les plus divers : amis, connaissances, Internet…

Un million d'euros de préjudice

Les enquêteurs estiment le préjudice global à environ 1 million d’euros. « Un réseau en bande organisée très inhabituel pour du vol à l’étalage, tant par son ampleur que par sa durée », raconte le colonel Tarreau, patron des gendarmes costarmoricains. Les 23 personnes ont été interpellées mardi par 90 gendarmes sur 15 sites différents. Deux sont incarcérées à l’issue de 72 heures de garde à vue. Un troisième homme est sous contrôle judiciaire strict. Les autres ont été remis en liberté en attendant d’être jugés.

http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Bretagne-vaste-reseau-de-vol-a-l%E2%80%99etalage-aneanti-apres-23-arrestations_39382-1245032_actu.Htm

Ils sont de même performants ces gendarmes ! Les policiers devraient tous venirs chez nous tellement qu'on est bon, tellement qu'elle est belle la Gendarmerie... aussi belle que ma femme dirait quelqu'un, ....

C'est peu après 9 heures, hier, que dans le salon de coiffure situé près de la poste de Saint-Romain-le-Puy, on entend les premiers cris. La commerçante aperçoit alors trois personnes cagoulées s'engouffrer dans une Renault Clio grise. Le conducteur part sur les chapeaux de roues heurtant au passage une barrière et un bac à fleurs. Des témoins les voient s'enfuir en direction de la gare. Aussitôt alertés, les gendarmes de la compagnie de Montbrison, placés sous les ordres du capitaine Chauvin, lancent le plan « Milan ».

Mais déjà des patrouilles se trouvent dans le secteur. À la Poste, la guichetière s'en sort avec une grosse frayeur. Les trois braqueurs étaient munis d'armes de poing et le hold-up fut rapide et violent. On apprenait plus tard qu'environ 9 000 euros avaient été dérobés. Toutes les unités de la compagnie, rejointes par les Pelotons de surveillance et d'intervention de la gendarmerie (PSIG) de Montbrison et de Saint-Chamond, les BMO de Montbrison et Saint-Etienne et la section de recherche de Lyon se retrouvent sur les lieux.

C'est sur la RD 95 qu'un véhicule du Psig de Montbrison croise la voiture en fuite. Demi-tour fait, les militaires partent aux trousses de la Clio qu'ils retrouvent peu après, renversé dans le fossé, au niveau du pont de l'Onzon. Les trois hommes tentent de fuir à pied. L'un deux est interpellé sur place vers 9h30. Les gendarmes retrouvent sur les lieux deux armes à feu et l'argent. Dans le secteur on compte une vingtaine de véhicules de gendarmerie et une soixantaine de militaires dont une quarantaine à pied pour ratisser le secteur. C'est un triangle entre Sury, Saint-Marcellin et Boisset qui est cerné. Les deux autres fuyards partent le long de la rivière. Interviennent alors « Bandit » et son maître-chien de Montbrison. La piste les conduit au lieu-dit la « Vaure » à Boisset-Saint-Priest où l'un des fugitifs est repéré sur le toit d'une maison et arrêté. Il est 10h40. À partir de cet instant plus de trace du troisième braqueur. Vers 11 heures, le tout nouvel hélicoptère EC 135, équipé d'une caméra thermique, arrive de la Section aérienne de gendarmerie (SAG) de Bron et commence ses recherches. Il fera deux rotations, de 11 heures à midi et de 14h30 à 15 heures, sans résultat. Le PC est installé à Boisset-Saint-Priest et le maire de la commune offre généreusement le repas de midi, à la salle des fêtes, à la soixantaine d'hommes présents.

http://www.leprogres.fr/fr/region/la-loire/loire/article/2640276,182/Deux-braqueurs-arretes-en-flag-par-les-gendarmes.html

Les gendarmes de la région de Champagne-Ardenne viennent d'interpeller les auteurs présumés de raids nocturnes visant les établissements bancaires et postaux. 13 personnes sont actuellement en garde à vue.

Depuis plusieurs mois, des raids nocturnes visant principalement des établissements financiers et commerciaux sont commis sur la région Champagne-Ardenne et les régions limitrophes. Les malfaiteurs sont gantés, encagoulés et utilisent des véhicules de fortes cylindrées dérobés le plus souvent sous la forme du home-jacking, mais aussi voler de manière "traditionnelle". Ces voitures sont ensuite incendiées en périphérie de REIMS.

Une cellule d'enquête est mise en place par la sous-direction de la police judiciaire de la direction générale de la gendarmerie nationale suite à la délivrance d'une commission rogatoire par un juge d'instruction du TGI de REIMS (Marne). Cette cellule est composée d' enquêteurs de l'Office central de lutte contre la délinquance itinérante, de la Section de recherches (S.R.) de REIMS, des groupements de gendarmerie des Ardennes et de la Marne et d'un policier enquêteur appartenant au commissariat de police de REIMS (Direction départementale de la sécurité publique de la Marne).

Les investigations conduites par les enquêteurs de la cellule permettent d'identifier les individus susceptibles d'avoir participé à ces méfaits.

Le mardi 02 février 2010, une opération de police judiciaire est déclenchée par la gendarmerie sur le secteur de REIMS pour interpeller 13 personnes (auteurs, complices, receleurs présumés).

Près de 50 gendarmes de l'OCLDI, de la S.R. de Reims, du groupement de gendarmerie départementale de la Marne appuyés par les équipes cynophiles des Pelotons de surveillance et d'intervention de la gendarmerie de ROSIÈRES (Aube), de REIMS et de la Brigade territoriale autonome (BTA) de TROYES (Aube), ainsi que par une demie Compagnie républicaine de sécurité (CRS) de REIMS ont été mobilisés pour cette opération.
Les perquisitions et les auditions des gardés à vue sont en cours.

http://www.gendarmerie.interieur.gouv.fr/fre/sites/Gendarmerie/Actus/2010/Fevrier/Raids-nocturnes-interpellations

http://lorraine-champagne-ardenne.france3.fr/info/champagne-ardenne/Reims-:-voleurs-%C3%A0-la-voiture-b%C3%A9lier-interpell%C3%A9s-60757572.html

Il aura fallu tout le sang-froid d’un gendarme de la communauté de communes de Saint-Renan pour qu’un drame soit évité lundi en fin d’après-midi, à Plourin-Ploudalmézeau (29). Dans la journée, un jeune homme de Lanildut, âgé de 27 ans et sans antécédent judiciaire, s’était alcoolisé avant d’aller prendre un fusil de chasse chez ses parents...

Au volant de son véhicule, il s’est ensuite rendu au siège de son ancienne société, une entreprise de travaux agricoles, située à Keryard, sur la commune de Plourin-Ploudalmézeau. Le jeune homme y travaillait jusqu’au mois de juin, avant d’être licencié, "apparemment à l’amiable", selon le Parquet de Brest.

Une fois dans la cour de l’entreprise, il a tiré un coup de feu en l’air avant de repartir et de se rendre au domicile de sa compagne, qu’il aurait alors menacée. Il aurait continué à consommer de l’alcool pendant que la jeune femme se réfugiait chez ses parents.

"Très excité" selon des témoins, il s’est alors rendu une deuxième fois, toujours armé, chez son ancien employeur. Celui-ci et deux de ses salariés se sont rapidement réfugiés dans un hangar. Heureuse initiative puisque pas moins de 73 impacts de plombs ont été relevés sur les parois, à l’issue de l’enquête, "à hauteur d’homme", souligne le Parquet.

Un adjudant mis en joue

L’arrivée des gendarmes a mis fin aux tirs. Le jeune homme aurait alors mis en joue un adjudant qui a aussitôt sorti son arme de service. Personne n’a tiré. N’écoutant que son courage, le gendarme a préféré parlementer et a réussi à faire baisser sa garde au porteur du fusil.

Mais alors qu’il allait le maîtriser, l’homme s’est débattu. Deux coups de feu ont été tirés par le forcené lors de l’empoignade mais personne n’a été blessé. Force est finalement revenue à la loi, peu avant 18 h 30. Son état ayant été jugé incompatible avec une garde à vue, le jeune homme a été hospitalisé d’office au CHU de la Cavale-Blanche, à Brest.

Les raisons de son coup de sang restent donc inconnues à cette heure. Il répondra plus tard de tentative d’assassinat sur son ancien employeur et de violences volontaires sur un agent de la force publique.

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/bretagne/plourin-ploudalmezeau-29-il-tire-en-direction-de-son-ex-employeur-16-02-2010-787312.php

Félicitations à cet Adjudant pour son sang froid et son courage !

Deux gendarmes ont probablement sauvé la vie d'un adolescent, dimanche après-midi, à Paimpol, alors que ce dernier avait absorbé une quantité importante de médicaments.

Dimanche, vers 13 h, les gendarmes sont alertés par téléphone qu’un mineur de 17 ans vient de quitté son domicile familial, après avoir absorbé 44g de paracétamol. Quelques minutes plus tard, deux militaires se dirigent intuitivement vers le lycée où est scolarisé le garçon. Là, ils le retrouvent près d’un bosquet, dans un état «altéré».

Un quart d'heure plus tard, il serait mort
Les deux gendarmes (Emmanuel Vallet et Laurent Guedon) décident alors de transporter eux-mêmes le jeune homme à l’hôpital de Paimpol, plutôt que de prévenir les pompiers. Une décision salvatrice puisque les médecins de l’hôpital estimeront ensuite qu’en arrivant un quart d’heure plus tard, le mineur serait mort. Après avoir subi un lavage d’estomac, le garçon a finalement été transféré au CHR Pontchaillou de Rennes pour y être placé en observation durant quelques jours.

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/cotesarmor/paimpol-22-les-gendarmes-sauvent-la-vie-d-un-mineur-de-17-ans-16-02-2010-787238.php

Félicitations à ces deux Gendarmes pour leur remarquable réaction !

Trois tonnes de résine de cannabis, des armes de poings, des fusils-mitrailleurs, un lance- roquette, le tout retrouvé dans un box automobile dans la région de Dreux. Il s'agit de la plus grosse prise de cannabis jamais réalisée par la gendarmerie nationale.

Le 18 février, les gendarmes de la section de recherche d'Orléans et leurs collègues du groupement de gendarmerie d'Eure-et-Loir ont réalisé une saisie record de 3,2 tonnes de résine de cannabis dans un box automobile, à la périphérie de Dreux. Huit personnes ont été interpellées dont sept ont été déférées. Le chef du réseau a lui été interpellé par le GIGN. Les gendarmes ont retrouvé 26 armes dont des armes de poings et des fusils-mitrailleurs et un lance- roquette, provenant d'ex-Yougoslavie. 300 000 euros ont également été saisis.

Technique du «Go fast»

Dans d'autres parkings fermés, plusieurs véhicules servant à convoyer la drogue, notamment des BMW et Audi, ont été également été découverts par les forces de l'ordre. Ils servaient « au go-fast », cette technique des trafiquants de drogue qui consiste à transporter la marchandise dans des puissantes et rapides cylindrées. La section de recherche d'Orléans et le groupement de gendarmerie d'Orléans ont débuté l'enquête en septembre 2009. Cette prise constitue la plus grosse prise de cannabis jamais réalisée par la gendarmerie nationale. Le 2 février dernier, les policiers de l'Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants avaient saisi 7 tonnes de haschisch cachées dans une cargaison de fruits et légumes.

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2010/02/22/01016-20100222ARTFIG00660-trois-tonnes-de-cannabis-et-plusieurs-armes-saisies-a-dreux-.php

Les deux détenus qui s'étaient évadés du centre pénitentiaire de Liancourt (Oise) dans la nuit de vendredi à samedi ont été interpellés lundi à l'issue d'une course-poursuite dans laquelle un gendarme a été légèrement blessé, a-t-on appris auprès de la gendarmerie. Ils ont été placés en garde à vue.

Les deux hommes avaient été repérés dans la journée à bord d'un véhicule, dans une zone située entre l'Oise et la Somme, alors qu'ils tentaient de voler du carburant et de l'argent dans un commerce. Grâce à un dispositif de surveillance et de recherche, la voiture suspecte a été localisée et prise en chasse par deux véhicules de patrouille de la gendarmerie assistés d'un hélicoptère.

La course-poursuite s'est soldée par un accident à Sorel-en-Vimeu (Somme) au cours duquel un gendarme a été légèrement blessé. Les deux fuyards ont pu être appréhendés vers 14h45, a-t-on précisé.

Les suspects s'étaient évadés de leur cellule en utilisant leurs draps et couvertures avant d'escalader les grilles de la prison. Agé de 20 ans, le premier détenu était incarcéré depuis novembre 2008 pour des vols en réunion, l'usage de stupéfiants et des vols aggravés. Il était libérable en octobre 2012. Le second, âgé de 25 ans, avait été emprisonné en janvier 2008 pour usage de stupéfiants et vols avec violence. Il devait sortir en novembre prochain.

Une enquête a été confiée à la Brigade des recherches de Clermont (Oise).

http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/societe/20100222.FAP9905/les_deux_evades_de_liancourt_oise_ont_ete_repris.html