NOSTALGIE...

Rappel du premier message :

ben non, pas de problème particulier pour moi ... ???

Quelqu'un a eu des nouvelles de Blandine ( Imogène ).

Je lui ai adressée un mail mais je n'ai pas reçu de réponse.

cti 41 a écrit:

Eh Marcel dans les vosges elles ne doivent pas être encore fleurie (la fête des jonquilles à Gerardmer est prévue pour le 26 avril) ici c'est le quatre-un le centre: là ou les rats descendent des greniers avec les larmes aux yeux à l'époque des moissons parce qu'il n'y a rien à bouffer.

oups !

savais pas que les jonquilles poussaient ailleurs que dans l'Est, je pensais que c'était local à la Lorraine, aux Vosges, à l'Alsace et à la Franche Comté ....

marcel a écrit:

Un peu là !

Demetrio Lopez a écrit:

marcel a écrit:

Un peu là !

moi au moins je le reconnais ...
pour ce qui est des jonquilles, on n'en voit pas partout en tous cas ...

Bonsoir à tous,

Désolée de te casser la barraque cti, ne le prends surtout pas mal mais toutes tes images ne sont pas irlandaises: St Andrews est en Ecosse, le loch Awe aussi, la montagne m'a tout l'air d'être le Ben Nevis et il me semble bien reconnaitre le château d'Edimbourg sur son piton.

Ceci-dit l'Ecosse est magnifique, mais je préfère de loin l'Irlande.

marcel a écrit:

pour ce qui est des jonquilles, on n'en voit pas partout en tous cas ...

Ici il y en a plein et fleuries depuis un bon moment déjà.

On m'aurait menti ........................je ne connais pas du tout l'Irlande et j'ai tiré ces images d'un PPS baptisé "Irlande" merci de m'avoir remis dans le droit chemin MAV.
Puisque c'est comme ça je vais virer ce pps NA !!!!!.

Nan, le vire pas, c'est chouette l'Ecosse. Et puis ce sont tous des celtes alors...

D'accord mav, j'ai rebaptisé le PPS Irlande et Ecosse. c'est vrai que ce sont de chouettes pays.
Allez hop quelques voitures de tintin:

https://www.youtube.com/watch?v=PKIy-RAbS_4

Ah, la verte Erin

Ah, la brune mousseuse !!!!

Salut les DINOS, pas besoin d'aller bien loin de chez moi, CHOUFFEZ!!!!

A t'chiot by by les amies-is...

http://www.recherche.aol.fr/aol/redir?src=websearch&requestId=7bff1b3d89a0fe7f&clickedItemRank=1&userQuery=dolmen+dans+la+haute+vienne%2B+Eybouleuf+%2B+photographie&clickedItemURN=http%3A%2F%2Fwww.flickr.com%2Fphotos%2F7313591%40N02%2Fsets%2F72157607306089879%2Fdetail%2F&title=Le+Jour+ni+l%26%2339%3BHeure+%3A+2008%2C+IX+-+a+set+on+Flickr&moduleId=matchingsites.jsp.M&clickedItemPageRanking=1&clickedItemPage=1&clickedItemDescription=WebResults


TOUPINOU.

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trois blondes au bord de la mer

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la technique belge

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après plusieurs bières, attention aux ballonnements ...

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moi les "pierres posées" que je préfère sont celles là :

Salut à tous, un peu de pub bretonne

Bonjour à tous de mon coin ensoleillé.







Creully

La devinette du jour: où est-ce?





S'il y en a que ça peut aider voici l'ancienne brigade du même lieu:

Quelques anecdotes

Nous sommes en fin d'année 1925. Cest l'hiver, il fait grand froid !
Le gendarme Bouquet est en patrouille avec un collègue sur le secteur A de St Ciers à Touvent.
Les deux pandores, engourdis par le froid, appuyant fortement sur les pédales de leurs bécanes parvenaient difficilement à rouler sur un chemin gelé.
Le gendarme qui roulait en tête s'aperçut soudain que son collège ne le suivait plus, il rebroussa donc chemin et le trouva sur le bord d'un champ, sans connaissance, étendu de tout son long, le visage ensanglanté déjà coagulé par le froid.
Le gendarme Bouquet fut ramené à la brigade de St Ciers , un oeil sorti de son orbite avec une fracture de la boîte crâniène.
Son fils, qui avait alors 4 ans, a toujours la vision de cet homme que ses collègues portaient, assis sur une chaise, pour lui faire monter l'escalier et le mettre précautionneusement sur son lit.
Informé de l'accident, le curé (dont nous parlerons plus loin) s'est présenté à l'appartement du gendarme pour apporter son aide morale à la famille et visiter le blessé.
Le médecin ayant remis l'oeil dans son orbite en précisant que le patient était en mauvaise posture, le curé se pencha vers l'homme allongé qui, l'observant d'un oeil malicieux, lui expédia un crachat sanguinolent sur la soutane.
Se relevant en souriant le prêtre dit : " Merci de cette décoration, tu t'en sortiras".
Il quitta l'appartement du gendarme en montrant fièrement cette tache rouge sur sa poitrine (anecdote racontée plus tard par le gendarme lui-même à son fils).
Suite à cet accident, le gendarme Bouquet fut transporté à l'Hôpital de Saintes, où il fut trépané.
les médecins laissèrent entendre à son épouse qu'il pourrait devenir fou ou paralysé. A sa sortie de l'hôpital, il revint pendant quelques temps à la brigade.
Pour éviter la paralysie, les médecins lui avaient recommandé de faire du sport; il se mit donc à bêcher son lot de jardin, et à le rebêcher, sans rien planter; ce qui suscitait la compassion de ses collègues gendarmes.
Mis à la retraite, il se retira chez son père à Médis. Quatre ans plus tard, il retrouva miraculeusement toutes ses facultés intellectuelles et prit un commerce à Cozes vers 1929.
Après avoir pris un fermage près de Gémozac, il reprit un commerce à Médis jusqu'en 1945, tout en continuant à jardiner et à faire valoir quelques terres de vigne et autres cultures jusqu'en 1965. Il décèdera en 1972.


Les gendarmes assuraient leur service, dont les tournées, à bicyclette et l'on sait la mésaventure qui arriva à l'un d'eux au cours de l'hiver 1925.
Suite à cet incident dramatique, les discutions allaient bon train au sein de la brigade pour demander à la hiérarchie de mettre à sa disposition un véhicule, au moins pour assurer les missions les plus pénibles.

Comme toujours, il y avait les "pour" et les "contre".
Parmi les "pour" il y avait le gendarme Moreau. Très attiré par la mécanique et le modernisme, il avait fait de Mr SIMON un ami avec lequel il engageait des discussions interminables à comparer les performances des différents modèles, leur maniabilité et autres caractéristiques de fonctionnement.
Les rencontres de ces deux passionnés étaient commentées sévèrement par les partisans du "non" à la brigade; ce qui n'empêcha pas notre novateur d'apprendre à conduire ces "engins" et d'acquérir une Auto.

Le jour de la livraison du véhicule, notre militaire vint au garage en prendre possession, s'initia aux commandes et, "fier comme Artaban", parcourut la rue principale de St Ciers et vint s'immobiliser devant la brigade.
Soudain le Chef de Brigade, s'extirpant de son fauteuil, ne fit qu'un saut jusqu'au conducteur en l'apostrophant "gendarmesquement" :
- vos papiers, autorisation de circuler, certificat de capacité, documents relatifs au véhicule !
- Chef, je ne peux vous présenter que les papiers concernant le véhicule. Vous n'ignorez pas que je passe l'examen du certificat de capacité ces prochains jours.
- Je ne veux pas le savoir ! Le décret portant règlement relatif à la circulation automobile, section 1, titre 3, articles 11 et 12, stipule que tout contrevenant est passible d'une amende. En conséquence, je vous dresse un procès-verbal pour conduite sans certificat.
Pris en faute et respectueux de la Loi, le gendarme Moreau s'exécuta et paya son amende.
A quelques jours de là, notre militaire en service sur la voie publique aperçoit l'épouse de son Chef de Brigade qui, montée sur son vélo, allait faire ses courses.
- Bonjour Monsieur Moreau, comment allez-vous ?
- ..............
- Que se passe-t' il ?
- Madame, présentez-moi votre plaque de vélo !
- Vous savez bien que nous n'en avons pas !
- Madame, constatant que vous êtes en infraction avec la loi, je suis dans l'obligation de vous dresser contravention.
La Dame paya son "contredanse"; l'histoire fit le tour de la commune, la population s'en amusa.
Quant à l'ambiance à la brigade ? nous n'avons pas de témoignage à ce sujet.
On peut aisément supposer qu'elle fut très "tendue"car l'affaire n'en resta pas là.
En effet, le gendarme Moreau fut "déplacé" à la gendarmerie de St Genis.
Cet éloignement géographique, somme toute très limité, n'empêcha pas notre gendarne désormais "mécanisé" de venir fréquemment rendre visite à notre garagiste, Justin SIMON.


Marc Bouquet se souvient que les gendarmes, du moins ceux qui n'étaient pas de service, se rendaient dans un café en face de l'église pour "taper" la belote, la manille ou bien jouer à la luette. Le quatrième lascar était Monsieur le Curé.
En fait de café, il devait s'agir du restaurant, situé effectivement en face de l'Eglise, tenu jusque vers 1926 par Mr Loriaud qui détenait une petite licence pour les boissons.
Comme c'était l'heure des vêpres, les pandores prévenaient le brave curé que les cloches l'appelaient pour l'office de l'après-midi.
Invariablement il répondait : " le dimanche je n'officie pas l'après-midi car il n'y a rien à boire, alors qu'ici, en votre compagnie, je peux m'humecter la glotte".

Lorsque le gendarme Bouquet n'était pas de service, le jeudi, il constatait que les enfants se trouvaient livré à eux-mêmes, se chamaillaient et, il faut bien le dire, s'ennuyaient.
Alors, il organisait de petites épreuves sportives sur le terrain situé en face de la brigade ou bien sur la route qui servait de piste de course.
De ses propres deniers il attribuait un prix au vainqueur de l'épreuve.
En 1924, les subventions n'existaient pas !
Quand il veut, l'Homme peut faire; même avec peu de moyens.



(source:http://images.google.fr/imgres?imgurl=http://jccombas.free.fr/saintciersdutaillon/St%2520ciers%25201912-groupe%2520scolaire%2520et%2520gendarmerie.jpg&imgrefurl=http://jccombas.free.fr/saintciersdutaillon/instants.html&usg=__mNlSOZG7ldGjoAvGz65h-Aaivu8=&h=251&w=396&sz=54&hl=fr&start=94&tbnid=3sVR1g0gNcW29M:&tbnh=79&tbnw=124&prev=/images%3Fq%3Dbatiment%2Bde%2Bgendarmerie%2B%25C3%25A9tranges%26gbv%3D2%26ndsp%3D20%26hl%3Dfr%26sa%3DN%26start%3D80)

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merci Mav, là c'est vraiment Nostalgie ...

maverick a écrit:

La devinette du jour: où est-ce?

ca ne serait pas en polynésie ?

Non, ce n'est pas en Polynésie

maverick a écrit:

Non, ce n'est pas en Polynésie

reste donc plus que La Réunion, les Antilles et la Guyanne ....

Une petite histoire véridique.

Celà s'est passé dans la Picardie dans les années début 1960.

Un soir, un monsieur à vélo se fait contrôler par les gendarmes locaux, son cycle n'était pas éclairé. Les gendarmes lui dressent donc contravention et lui demandent nom, prénom et domicile...., le monsieur de leur répondre "Désiré LANTERNE", ( c'était son identité je confirme). Suite à cette réponse, et pensant qu'il se foutait d'eux, un gendarme lui donne une calotte.

Histoire racontée par l'auteur que j'ai bien connu alors que je n'étais qu'un t'chiot mino.

TOUPINOU.

maverick a écrit:

La devinette du jour: où est-ce?





S'il y en a que ça peut aider voici l'ancienne brigade du même lieu:

Ces jolis paysages sont pour moi la Guyane mais je laisse le soin à mes amis de chercher le village

Au fait, vous avez vu ma question concernant Imogène dans mon dernier post?

Bonne journée les amis.

Mes camarades Chibanis et amis de Nostalgie,

:study: Je viens ici vous donner des echos et je m'en inquiète très sérieusement en qualité d'ancien de l'arme.


J'ai servi dans une unité Gie dans le 80, il y a 15 ans.

A cette époque notre B.T. ( Brigade ) avait d'excellents rapports avec une partie de la population ( que nous apppelions très saine ).

La Gie à cause de ses tâches s'est repliée sur elle-même et s'est coupée petit à petit du monde extérieur. IL en résulte que j'en reçois maintenant de nouveaux et nombreux contacts de la population cette ancienne B.T. et de ses doléances concernant la Gie.

Je me demande même si je ne vais pas me présenter comme Maire dans cette commune si je déménage.

Gendarmes d'aujourd'hui, écoutez vos ouailles.