Décès d'un policier à La Courneuve

Rappel du premier message :

Lu sur LCI et entendu sur d'autre médias :


22h58 France > Seine-Saint-Denis - Un policier en civil tué à la Courneuve

Le policier en civil a été tué de deux balles dans la tête dans des circonstances indéterminées jusqu'à présent, a-t-on appris de source préfectorale.

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Policier tué: 1ers résultats de l'autopsie !

Le policier, retrouvé mort samedi soir à la Courneuve, en Seine-Saint-Denis, a été tué par l'une des deux balles l'ayant atteint à la tête, la traversant de part en part selon les premiers résultats de l'autopsie.
Selon une source policière, la victime aurait été atteinte de quatre balles une au front, une sur le côté gauche du visage et les deux autres au thorax.
"Un point d'entrée et un point de sortie" de la balle mortelle, qui n'a pas été retrouvée, ont été relevés au niveau de la tête, a précisé une source judiciaire.

La garde à vue des six personnes interpellées ce matin dans le cadre de l'enquête a été par ailleurs prolongée. L'hypothèse d'une rixe ayant mal tourné est désormais privilégiée par les enquêteurs de la brigade criminelle et le parquet de Bobigny.

source Le Figaro ici:
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Paix à son âme et bon courage à sa famille !

Mes sincéres condoléances à sa famille et courage à ses collégues.

La Courneuve: le policier tué d'une balle dans la tête, l'hypothèse d'une rixe privilégiée!

FAIT DIVERS - Six personnes sont toujours en garde-à-vue...

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Aurélien Dancelme, le gardien de la paix de 34 ans retrouvé mort samedi à la Courneuve (Seine-Saint-Denis), a été tué d'une seule balle l'ayant atteint à la tête, la traversant de part en part selon les premiers résultats de l'autopsie dévoliés par le parquet de Bobigny. «Un point d'entrée et un point de sortie» de la balle mortelle, qui n'a pas été retrouvée, ont été relevés sur le crâne. «Aucune autre lésion par balle n'a été relevée», a précisé le parquet, démentant les rumeurs faisant état de quatre projectiles qui auraient touché la victime.

Le corps présentait également de nombreuses lésions traumatiques ainsi que des ecchymoses aux visages et aux mains: le policier originaire de Massy (Essonne), qui n’était pas en service au moment du drame, aurait été battu et il aurait tenté de se débattre. «Des traces de blessures défensives», ont été ainsi relevées, selon le Parquet.

Interpellés dimanche matin dans le cadre de ce meurtre, cinq hommes de 26 à 29 ans, et une femme de 49 ans, tous Sri Lankais, se trouvaient toujours en garde à vue ce lundi après-midi à la brigade criminelle de la police judiciaire de Paris, au 36 Quai des Orfèvres. Cette garde à vue peut durer 48 heures.

Son arme retourné contre le policier

Leurs premières déclarations renforcent la piste de la rixe qui tourne mal. Une bagarre aurait éclaté samedi soir vers 21h30 dans le quartier des Quatre-Routes, pour des raisons que l'enquête n'a toujours pas élucidées. Le gardien de la paix, qui appartenait à la brigade de sûreté urbaine du 93 et portait un brassard, se serait retrouvé impliqué malgré lui. «Plusieurs gardés à vue ont expliqué qu'ils se sentaient provoqués par le policier. Pourquoi, on ne sait pas, confie à 20minutes une source proche du dossier. Acculé, le gardien de la paix a été dépassé par les évenements, il a chuté et a tenté de sortir son pistolet 9 mm. Il a été frappé, son arme est tombée par terre et on l'a retournée contre lui.»

Cette version des suspects doit être prise avec précaution, mais le policier a été effectivement tué avec son arme. Les 14 balles tirées sur la scène du crime l'ont toutes été avec son pistolet, dont le chargeur contient 15 munitions.

source 20minutes.fr (avec agence) ici:
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Sincères condoléances à la famille et à ses camarades

Sincères condoléances à la famille de notre camarade et à ses collègues.

condoléances à sa famille.

Bonjour à tous!

Policier tué à La Courneuve : un suspect avoue avoir tiré!

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Un des suspects placé en garde à vue dans l'affaire du policier tué samedi soir à La Courneuve a avoué avoir tiré. Il faisait partie des six personnes interpellées dimanche matin dans un immeuble situé à proximité des faits. On ne sait pas en revanche s'il avait l'intention de tuer le policier ou si le coup est parti accidentellement.

Selon une source proche du dossier, l'homme aurait en effet expliqué aux enquêteurs qu'il n'avait pas visé le policier mais avait plutôt tiré plusieurs fois en l'air et à terre.

Aurélien Dancelme, 34 ans était père de deux enfants. Il n'était pas en service au moment des faits. Son brassard de policier a été retrouvé non loin du lieu du meurtre. L'arme a, quant à elle, été retrouvée dimanche matin dans un local poubelle a proximité.



La piste de la rixe privilégiée

La piste d’une rixe avec des personnes d’origine indo-pakistanaise, dans ce quartier très passant mais pas jugé particulièrement « difficile », semble se confirmer. Le policier aurait assisté à une altercation et aurait demandé aux protagonistes de partir. Ne se faisant pas entendre, il aurait alors fait état de sa qualité de policier et se serait fait frapper. Il aurait ensuite sorti son arme et aurait été désarmé par le suspect de 28 ans.

Les derniers résultats de l'autopsie ont révélé que le jeune policier avait été tué d'une balle dans la tête. Le corps présentait également de nombreuses lésions traumatiques ainsi que des ecchymoses, semblant prouver qu'il avait été battu.

«Il semblerait que ce soit son arme qui ait servi à le tuer», a ajouté le parquet, «sans certitude cependant», car le projectile n'a pas été retrouvé.

Dans un premier temps, plusieurs sources policières avaient évoqué par erreur «deux balles dans la tête» sans autre précision, puis deux autres impacts au thorax sur la foi de premières constatations effectuées sur place.

source Le Parisien ici:
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Chti papy a écrit:

Bonjour à tous!

Policier tué à La Courneuve : un suspect avoue avoir tiré!

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Un des suspects placé en garde à vue dans l'affaire du policier tué samedi soir à La Courneuve a avoué avoir tiré. Il faisait partie des six personnes interpellées dimanche matin dans un immeuble situé à proximité des faits. On ne sait pas en revanche s'il avait l'intention de tuer le policier ou si le coup est parti accidentellement.

Selon une source proche du dossier, l'homme aurait en effet expliqué aux enquêteurs qu'il n'avait pas visé le policier mais avait plutôt tiré plusieurs fois en l'air et à terre.

Aurélien Dancelme, 34 ans était père de deux enfants. Il n'était pas en service au moment des faits. Son brassard de policier a été retrouvé non loin du lieu du meurtre. L'arme a, quant à elle, été retrouvée dimanche matin dans un local poubelle a proximité.



La piste de la rixe privilégiée

La piste d’une rixe avec des personnes d’origine indo-pakistanaise, dans ce quartier très passant mais pas jugé particulièrement « difficile », semble se confirmer. Le policier aurait assisté à une altercation et aurait demandé aux protagonistes de partir. Ne se faisant pas entendre, il aurait alors fait état de sa qualité de policier et se serait fait frapper. Il aurait ensuite sorti son arme et aurait été désarmé par le suspect de 28 ans.

Les derniers résultats de l'autopsie ont révélé que le jeune policier avait été tué d'une balle dans la tête. Le corps présentait également de nombreuses lésions traumatiques ainsi que des ecchymoses, semblant prouver qu'il avait été battu.

«Il semblerait que ce soit son arme qui ait servi à le tuer», a ajouté le parquet, «sans certitude cependant», car le projectile n'a pas été retrouvé.

Dans un premier temps, plusieurs sources policières avaient évoqué par erreur «deux balles dans la tête» sans autre précision, puis deux autres impacts au thorax sur la foi de premières constatations effectuées sur place.

source Le Parisien ici:
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MISE A JOUR 6H50!

Un suspect reconnaît avoir tiré sur le policier de La Courneuve!

Un des six gardés à vue depuis dimanche matin a déclaré avoir fait feu sur le policier tué à La Courneuve. Le suspect, un homme de 28 ans, parle d’un tir accidentel.

En charge de l’enquête sur le meurtre d’un jeune policier, samedi soir, à La Courneuve, les enquêteurs de la brigade criminelle de la PJ de Paris commencent à y voir un peu plus clair sur les circonstances de ce drame.
Un des six suspects placés en garde à vue depuis dimanche matin a reconnu avoir fait feu accidentellement sur Aurélien Dancelme, 34 ans.
« Un des cinq hommes entendus a reconnu avoir tiré sur la victime, relate une source proche de l’affaire. Il a expliqué avoir fait feu de manière accidentelle au cours d’une rixe impliquant le fonctionnaire. Le meurtrier présumé a 28 ans. »
Les versions livrées par les suspects, tous srilankais, que des témoins auraient aperçus rentrer dans l’immeuble où a été découverte l’arme de service du policier, seraient contradictoires, variables et parfois incompatibles. Le parquet de Bobigny (Seine-Saint-Denis) a autorisé les enquêteurs à poursuivre leurs auditions jusqu’au maximum des quarante-huit heures légales.

La tentative de contrôle tourne à l’affrontement

« Selon plusieurs de leurs déclarations, deux des suspects ont croisé une première fois, samedi soir, le policier à proximité des lieux des faits, précise une source proche de l’affaire. Une simple altercation aurait eu lieu. Un peu plus tard, les deux mêmes hommes, accompagnés de trois autres, ont rencontré à nouveau le fonctionnaire, qui aurait alors tenté de les contrôler. C’est à ce moment-là qu’une bagarre aurait éclaté. Le fonctionnaire, qui n’était pas en service, aurait été désarmé avant d’être tué d’une balle dans la tête. » Parmi les personnes interpellées figurent une mère et ses deux fils, qui auraient participé à la bagarre.
Hier, l’autopsie pratiquée sur la dépouille d’Aurélien Dancelme a confirmé qu’il avait été touché à la tempe par un seul projectile. Un second impact relevé correspond à la sortie de la balle. L’examen a également révélé une présence notable d’alcool dans le sang de la victime.
Une certitude : le gardien de la paix décédé porte de nombreuses traces d’ecchymoses au visage et sur le corps, laissant penser, selon le parquet de Bobigny, à « une violente altercation et une défense de sa part ».
Hier soir, les enquêteurs n’avaient, en revanche, aucun élément de réponse sur les raisons de la présence de la victime à La Courneuve ce samedi soir. Selon nos informations, le gardien de la paix était au téléphone avec un de ses amis, peu de temps avant les faits. La discussion aurait été écourtée par la rixe.
Par ailleurs, une cellule d’écoute psychologique a été mise en place au commissariat de La Courneuve.

source Carole Sterlé et Stéphane Sellami pour Le Parisien ici:
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L’un des suspects a avoué, selon des sources proches de l’enquête, avoir tiré "en l’air et au sol" avec l’arme de service du policier. Le suspect a cependant nié avoir visé délibérément l’agent de la brigade de sûreté urbaine.


Selon son témoignage, le
gardien de la paix serait arrivé aux abords du groupe et aurait exigé
sa dispersion avant que la rencontre ne dégénère. Le policier, qui ne
travaillait pas ce soir là, aurait mentionné sa profession et sorti son
arme de service. L’homme auteur du coup de feu serait arrivé à le
ceinturer et à lui prendre son arme des mains avant de tirer, ...sans
avoir l’intention affirme-t-il de viser la victime.


Les premiers résultats de l’autopsie pratiquée sur le policier montrent qu’il aurait été tué d’une seule balle dans la tête,
et non deux comme annoncé plus tôt. Le corps portait par ailleurs des
traces d’ecchymoses et de contusions, a-t-on précisé de source
judiciaire. L’analyse d’alcoolémie montre également qu’il avait plus d’un gramme d’alcool dans le sang.


Les enquêteurs de la brigade criminelle tentent
toujours de comprendre les circonstances ayant abouti au meurtre du
fonctionnaire. " L’enquête doit
aussi déterminer pour quelle raison ce fonctionnaire qui n’était pas en
service, s’est retrouvé dans ce quartier ce jour-là et à cette heure-là ’’,
précise une source proche de l’enquête. Par ailleurs, les analyses
balistiques se poursuivent autour de la quinzaine de douilles
retrouvées sur le lieux du crime.


Le policier, un père de famille âgé de 33 ans, résidant
à Massy-Palaiseau (Essone), a été abattu samedi soir à la Courneuve
(Seine-Saint-Denis). Cinq hommes et une femme, âgés de 26 à 29 ans, ont
été interpellés dans le cadre de l’enquête. Originaires du Sri-Lanka, ils n’étaient pas connus des services de police. Ils n’étaient pas connus des services de police.


L’homme ayant reconnu être
l’auteur du tir mortel, ainsi que les quatre autres suspects masculins
ont été déférés au parquet en vue d’une éventuelle mise en examen. La femme en revanche a été libérée. Le parquet de Bobigny reste cependant prudent. " Nous ne sommes pas sûrs que c’est bien cette personne là qui a tiré ", indique-t-il. Les suspects avaient bu également ce soir là, ce qui pourrait remettre en cause l’exactitude de leurs témoignages.


je me demande bien ce que faisait ce policier, en état d'alcoolémie, avec son arme de service alors qu'il n'était pas en service la journée ni le soir...



c'est l'enquête qui le dira...

Chti papy a écrit:

...................... ........................... « Il n’avait plus que son boulot, c’était sa vie » UN POLICIER qui connaissait la victime! Aurélien Dancelme, 34 ans, gardien de la paix, a été abattu, samedi soir,... à La Courneuve. Ce policier a perdu la vie dans une rue d’une ville qu’il avait appris à connaître. Rattaché à la brigade de sûreté urbaine (BSU) du commissariat de La Courneuve depuis avril 2003, il avait pour mission de démêler de petites affaires de police judiciaire. « Les policiers affectés dans ce type de service font de l’enquête, c’est leur quotidien, détaille une source proche de l’affaire. Les fonctionnaires de la BSU sont toujours à la recherche de la bonne affaire. Ils sont flics, le jour, la nuit, tout le temps. Aurélien était de ceux-là. » Très apprécié de ses collègues, ce père de deux enfants, divorcé, était installé dans une modeste chambre d’un foyer à Massy (Essonne). Depuis sa séparation, ce jeune fonctionnaire ne voyait pas régulièrement ses enfants, domiciliés à Saint-Dié-des-Vosges (Vosges). « Il était du genre à se déplacer toujours avec son arme » « Il avait une vie personnelle compliquée depuis sa séparation avec sa femme mais c’était un très bon professionnel et je n’ai aucun doute sur sa probité, soutient un fonctionnaire qui le connaissait. C’était un bosseur et il était du genre à se déplacer toujours avec son arme. Certains sont comme ça dans la profession. Ils la laissent au service seulement quand ils partent en vacances. » « Il n’avait plus que son boulot. C’était sa vie, ajoute un autre policier. Il avait été inquiété par sa hiérarchie pour des retards dans le traitement de dossiers. Sa chef de service voulait l’envoyer en conseil de discipline mais il n’y avait pas eu de suite. A l’époque, les responsables de groupe de sa brigade s’étaient montrés solidaires. » Aurélien, décrit comme un homme au physique frêle, avait été pris à partie dans le tramway en Seine-Saint-Denis, il y a quelque temps, alors qu’il tentait de s’interposer au cours d’une altercation. Il avait décliné sa qualité de policier avant d’être frappé par plusieurs agresseurs. « En septembre, il devait se rapprocher de ses parents domiciliés dans le Sud. Ces derniers sont malades et il les aidait beaucoup. » source Carole Sterlé et Stéphane Sellami pour Le Parisien ici: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ................................... ............................

Une fois encore, la vérité a bien du mal à se frayer un chemin, tant les sources de presse se suivent et se contredisent : "on" annonce que le policier a été tué de 2 balles, de 3 balles, de 4 balles, puis d'une seule, alors que 14 douilles vides auraient été retrouvées !...
On commence aussi à parler d'alcoolémie...


Pour ma part, je plains beaucoup ce policier dont la vie personnelle et professionnelle a dû être bien difficile ces derniers temps (voir les témoignages relevés ci-dessus).

Il n'est donc nul besoin de prendre parti et de préjuger de la Vérité pour dire simplement et avec sensibilité :

- à Aurélien : que ton âme repose en paix, loin de toutes les vilaines choses d'ici-bas ;

- à sa famille, à ses amis et à ses collègues : recevez mes plus sincères condoléances.

un excellent policier certainement, le reste n'a que peu d'importance, lui seul devait savoir.
il devait faire parti de ceux qui s'enfoncent pour dénouer, ceux qui savent qu'ils
prennent des risques à chaque instant, un vrai flic comme il y en a encore et il en faut.
mes sincères condoléances à la famille, courage à ses ami(e)s, courage à ses potes de terrain.

Je me présente ,je me nomme Lionel dancelme ,je suis le frère d'Aurélien et je me permet de vous répondre au nom de ma famille et de vous remerciez.Je ne sais pas si parmi vous ce trouve des fonctionnaires de Police mais je tiens à vous dire ceci:
Aurélien avait une seul bible dans sa vie ,c était la loi.Trés jeune déjà ,il nous faisait tous rire sa soeur et moi quand il allait servir les clients de notre père dans son resto avec les menottes attachées à sa ceinture.(Il faisait ses classes à St.Dié).
Je le voyais comme un enfant,un petit frère, et il est mort en croyant défendre certaines convictions. Lui seul pourrait répondre à toutes ces questions idiotes des journaliste à savoir ce qu'il faisait là-bas alors qu'il était en congés. Etre flic dans le 93 , c'est être poulet 24/24.C'est un métier de fierté et de courage
un métier que l 'on peut qu'aimer car le contraire rendrait fou. Mon frére à été enterré aujourd'hui à 15 h00 à Gassin avec tous les hommages de la patrie .
Je ne pourrais jamais plus lui "je t'aime petit frère et surtout ,je suis fière de toi"
Merci à vous Flic ,Poulet ect......Soyez Fière de votre métier.
Lionel Dancelme (Métier: Grand Frére)

Merci Lionel.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:

Je me présente ,je me nomme Lionel dancelme ,je suis le frère d'Aurélien et je me permet de vous répondre au nom de ma famille et de vous remerciez.Je ne sais pas si parmi vous ce trouve des fonctionnaires de Police mais je tiens à vous dire ceci:
Aurélien avait une seul bible dans sa vie ,c était la loi.Trés jeune déjà ,il nous faisait tous rire sa soeur et moi quand il allait servir les clients de notre père dans son resto avec les menottes attachées à sa ceinture.(Il faisait ses classes à St.Dié).
Je le voyais comme un enfant,un petit frère, et il est mort en croyant défendre certaines convictions. Lui seul pourrait répondre à toutes ces questions idiotes des journaliste à savoir ce qu'il faisait là-bas alors qu'il était en congés. Etre flic dans le 93 , c'est être poulet 24/24.C'est un métier de fierté et de courage
un métier que l 'on peut qu'aimer car le contraire rendrait fou. Mon frére à été enterré aujourd'hui à 15 h00 à Gassin avec tous les hommages de la patrie .
Je ne pourrais jamais plus lui "je t'aime petit frère et surtout ,je suis fière de toi"
Merci à vous Flic ,Poulet ect......Soyez Fière de votre métier.
Lionel Dancelme (Métier: Grand Frére)

Juste une chose que ton frére repose en paix et merci de ton message. Mes condoléances a vous

Merci pour ton message Lionel, avec une pensée émue pour ton frère de la part d'un de ses collègues.

Merci Lionel de ton témoignage poignant et surtout empreint de sensibilité.
Mais pour nous c'est avant tout un collègue, de la maison d'à côté, certes, un cousin, certes, mais nous savons ce qu'il en est. La perte d'un "collègue", quel qu'il soit, est toujours un crève coeur et nous touche au plus profond de nos tripes.
Quand, en plus la presse cherche à dénigrer le métier, alors, ce n'est pas supportable.
Donc qu'il repose en paix maintenant et toutes nos sincères, très sincères condoléances à toute votre famille.

Condoléances attristées. un de plus qui est parti en faisant son métier. Trop c'est trop.

Merci à toi, Lionel, d'avoir pris le temps de poster ici, malgré les circonstances, pour mieux nous faire connaitre ton petit frère.

Puissiez-vous, ta famille et toi, continuer votre route en atteignant une certaine sérénité.