Gendarmes Et Citoyens
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Créé le 1er avril 2007
 
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 Figaro Mag 090607 Police-Gendarmerie, mariage difficile

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Jean-Hugues Matelly
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Jean-Hugues Matelly


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MessageSujet: Figaro Mag 090607 Police-Gendarmerie, mariage difficile   Figaro Mag 090607 Police-Gendarmerie, mariage difficile Diapo0b0fdf5d9e0fe11dea4d4eabc282a2c1Sam 9 Juin 2007 - 11:06

Dans le Figaro Magazine Source

Citation :

Police-gendarmerie : le contrat de mariage s'annonce difficilePar Dominique RIZET.
Publié le 08 juin 2007
Actualisé le 09 juin 2007 : 12h32

Les réformes entamées sur le partage des tâches entre forces de l'ordre civiles et militaires exacerbent les différences de statuts et ravivent de vieilles rivalités.

Entre eux, les relations n'ont jamais été simples. La querelle remonte à la nuit des temps, et personne ne sait qui a commencé, mais les policiers ne portent pas les gendarmes dans leur coeur et inversement. La République aime pourtant ses deux fils d'un même amour. L'aîné est un militaire, rigoureux, efficace et fidèle. Le cadet, un civil, turbulent mais débrouillard et futé.

Et la nouvelle donne présidentielle n'a pas simplifié les relations entre les uns et les autres, avec la récente mise à l'écart des gendarmes du Groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR) qui assuraient jusqu'ici, en alternance une semaine sur deux avec les policiers du Service de protection des hautes personnalités (SPHP), la protection du président de la République. La vraie question, au-delà de cette décision inattendue d'écarter désormais la gendarmerie de la protection de M. Sarkozy, étant de savoir qui a bien pu intriguer dans l'ombre et avoir suffisamment de poids auprès du Président pour obtenir la mise à l'écart des 30 super-gendarmes du GSPR, qui est l'une des composantes, avec le GIGN, du Groupe de sécurité et d'intervention de la gendarmerie nationale (GSIGN), basé à Satory, qui sera bientôt restructuré. Les 30 gendarmes du GSPR seront remplacés par des policiers dont une partie viendront du Raid (Recherche, assistance, intervention, dissuasion).


Au Raid, justement, la nouvelle n'a pas déclenché l'enthousiasme, même si «la prime spéciale allouée aux collègues pour rejoindre le GSPR vient de passer de 800 à 1 500 euros», commente, amusé, le secrétaire national du Syndicat national des officiers de police (Snop), Jean-Marc Bailleul, auteur d'une récente réflexion sur l'alignement des grilles indiciaires police-gendarmerie. A l'évidence, les policiers d'élite du Raid préfèrent la tenue d'intervention au costume trois-pièces.

Petite manip' policière

Et l'affaire du GSPR n'est pas un «incident» isolé. En pleine course à la présidentielle, un service du ministère de l'Intérieur proposait discrètement à la signature des ministres un décret visant à faire glisser le Centre national d'analyses des images pédo-pornographiques (Cnaip), une structure gendarmerie implantée au Service technique de recherche judiciaire et de documentation (STRJD) de la gendarmerie de Rosny-sous-Bois, dans le giron de la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) en l'intégrant, selon toute vraisemblance, à l'Office central de répression des violences contre les personnes (OCRVP). Déjà signée par le ministre de l'Intérieur François Baroin, la note n'a pas été contresignée par une Michèle Alliot-Marie - alors ministre de la Défense - vigilante jusqu'au dernier jour.


Dernière inquiétude des gendarmes, un projet de concentration des moyens police-gendarmerie en matière de police scientifique et d'ordre public évoqué il y a quelques mois et visiblement remisé, pour l'instant, au fond d'un tiroir. Visé en premier lieu, le fameux Institut de recherche criminelle de la gendarmerie (IRCGN) de Rosny-sous-Bois, que certains, au ministère de l'Intérieur, rêvent de placer sous l'autorité de l'Institut national de la police scientifique (INPS), qui regroupe les non moins prestigieux laboratoires de Lille, Lyon-Ecully, Marseille, Paris et Toulouse. Pour l'ordre public, le même projet de concentration des moyens visait à réorganiser au sein d'une seule force la gendarmerie mobile et les compagnies républicaines de sécurité dans une sorte de super-département de l'ordre public.


Si les raisons de l'inquiétude sont légitimes côté gendarmerie, la volonté politique actuelle ne semble pas, pour l'heure, consister à faire en sorte que l'une des deux forces prenne l'ascendant sur l'autre. La visite, lundi à 8 h 30, dès sa nomination au poste de directeur général de la police nationale (DGPN), de Frédéric Péchenard au général Guy Parayre, directeur général de la gendarmerie nationale, a été interprétée par tous comme un signe positif. Les deux hommes se connaissent bien et s'apprécient pour avoir été, depuis des années, dans l'entourage proche de M. Sarkozy. Mais tous les responsables de la police nationale ne sont pas forcément dans d'aussi bonnes dispositions que leur nouveau directeur général. Force est de reconnaître que l'institution militaire, représentée par son seul directeur général, aussi efficace soit-il, ne bénéficie pas d'un lobbying aussi puissant que la police auprès du nouveau président de la République.


A titre de comparaison, il suffit d'énumérer les noms de Claude Guéant, lui-même ex-directeur général de la police nationale, et aujourd'hui secrétaire général de l'Elysée ; Michel Gaudin, ex-DGPN, qui sera intronisé lundi préfet de police de Paris ; Christian Lambert, patron des CRS en attente d'un poste clé ; Martine Monteil, directrice centrale de la police judiciaire, dont tout le monde s'attendait à ce qu'elle soit nommée directrice générale de la police nationale ; Frédéric Péchenard, le nouveau DGPN ; et Michel Delpuech, ancien préfet des Hauts-de-Seine, le département de M. Sarkozy, nommé il y a quelques jours directeur de cabinet de Michèle Alliot-Marie, qui avait, elle, suggéré un autre préfet, Claude Balland, à ses côtés. Tous défendent la police et tous sont désormais des proches de l'Elysée, auxquels on peut encore ajouter les représentants de certains syndicats policiers (Synergie officiers et Alliance police nationale), qui garderont également l'oreille du Président.


Le général Parayre, lui, garde le cap. Lundi matin, le patron de la gendarmerie nationale assistait en compagnie de ses sept généraux de zone à une réunion au ministère de l'Immigration où le ministre Brice Hortefeux annonçait aux forces de l'ordre les objectifs à atteindre en 2007 en matière de lutte contre l'immigration clandestine. A priori, les policiers présents n'avaient pas prévu la venue du directeur général de la gendarmerie à cette réunion. Même volonté affichée du général Parayre d'être présent, le lendemain, lors d'une réunion importante consacrée au renseignement, cette fois-ci. En attendant, les gendarmes sont au moins rassurés sur la pérennité de leur statut militaire et leur appartenance réaffirmée au ministère de la Défense, même s'ils dépendent, «pour emploi», du ministère de l'Intérieur pour les missions de sécurité intérieure.


Dans le meilleur des mondes, les uns et les autres s'accorderaient sur l'idée que l'intérêt de la sécurité des Français doit être placé au-dessus de tout et bâtiraient une parfaite architecture des forces de police (120 000 hommes) et de gendarmerie (105 000 hommes), équilibrée et complémentaire. La vérité semble n'être ni dans la fusion ni dans le partage, mais dans le respect de l'histoire des uns et des autres. Le vrai casse-tête du dossier police-gendarmerie est que, là encore, tout est affaire de politique. Quand M. Sarkozy s'était installé Place Beauvau, tout le monde avait salué son projet de créer bientôt un grand «ministère de la Sécurité publique».


Pour cela, le bouillonnant ministre souhaitait, légitimement, récupérer non seulement la gendarmerie «pour emploi», mais aussi son budget. L'affaire avait fait des vagues et Michèle Alliot-Marie, alors ministre de la Défense, était allée jusqu'à l'Elysée pour que les crédits de la gendarmerie ne sortent pas de l'enveloppe militaire. Le nouveau décret d'attribution du ministre de l'Intérieur précise que celui-ci définit l'utilisation des moyens budgétaires de la gendarmerie et en assure le suivi avec le ministre de la Défense. Un pilotage conjoint bien périlleux !

Dos à dos, un policier et des gendarmes. Les frères ennemis de la République finiront-ils par s'entendre ?
N. MARQUES / KR IMAGES PRESSE ; BERTRAND BECHARD/MAXPPP.



(c'est moi qui ai souligné les passages que j'ai trouvé les plus "savoureux")

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hutch46
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MessageSujet: Re: Figaro Mag 090607 Police-Gendarmerie, mariage difficile   Figaro Mag 090607 Police-Gendarmerie, mariage difficile Diapo0b0fdf5d9e0fe11dea4d4eabc282a2c1Sam 9 Juin 2007 - 11:21

Notre heure de gloire viendra un jour...
pirat
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nanard
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MessageSujet: Re: Figaro Mag 090607 Police-Gendarmerie, mariage difficile   Figaro Mag 090607 Police-Gendarmerie, mariage difficile Diapo0b0fdf5d9e0fe11dea4d4eabc282a2c1Sam 9 Juin 2007 - 12:04

Citation :

Police-gendarmerie : le contrat de mariage s'annonce difficile
le ministre Brice Hortefeux annonçait aux forces de l'ordre les objectifs à atteindre en 2007 en matière de lutte contre l'immigration clandestine.
je croyais qu'il n'y avait pas d'objectif ou de quota. J'ai dû mal lire alors.....

Citation :

une parfaite architecture des forces de police (120 000 hommes) et de gendarmerie (105 000 hommes), équilibrée et complémentaire.

La Gie couvre 80% du territoire, je crois. Si là on n'est pas en manque d'effectifs par rapport aux gens d'en face ?? et c'est pas moi qui ait donné les chiffres
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KADOLE
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MessageSujet: Article paru sur FIGARO.fr   Figaro Mag 090607 Police-Gendarmerie, mariage difficile Diapo0b0fdf5d9e0fe11dea4d4eabc282a2c1Sam 9 Juin 2007 - 21:05

[Modération JHM : je fusionne : sujet déjà ouvert]
""""" Les réformes entamées sur le partage des tâches entre forces de l'ordre civiles et militaires exacerbent les différences de statuts et ravivent de vieilles rivalités.

Entre eux, les relations n'ont jamais été simples. La querelle remonte à la nuit des temps, et personne ne sait qui a commencé, mais les policiers ne portent pas les gendarmes dans leur coeur et inversement. La République aime pourtant ses deux fils d'un même amour. L'aîné est un militaire, rigoureux, efficace et fidèle. Le cadet, un civil, turbulent mais débrouillard et futé.

Et la nouvelle donne présidentielle n'a pas simplifié les relations entre les uns et les autres, avec la récente mise à l'écart des gendarmes du Groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR) qui assuraient jusqu'ici, en alternance une semaine sur deux avec les policiers du Service de protection des hautes personnalités (SPHP), la protection du président de la République. La vraie question, au-delà de cette décision inattendue d'écarter désormais la gendarmerie de la protection de M. Sarkozy, étant de savoir qui a bien pu intriguer dans l'ombre et avoir suffisamment de poids auprès du Président pour obtenir la mise à l'écart des 30 super-gendarmes du GSPR, qui est l'une des composantes, avec le GIGN, du Groupe de sécurité et d'intervention de la gendarmerie nationale (GSIGN), basé à Satory, qui sera bientôt restructuré. Les 30 gendarmes du GSPR seront remplacés par des policiers dont une partie viendront du Raid (Recherche, assistance, intervention, dissuasion).

Au Raid, justement, la nouvelle n'a pas déclenché l'enthousiasme, même si «la prime spéciale allouée aux collègues pour rejoindre le GSPR vient de passer de 800 à 1 500 euros», commente, amusé, le secrétaire national du Syndicat national des officiers de police (Snop), Jean-Marc Bailleul, auteur d'une récente réflexion sur l'alignement des grilles indiciaires police-gendarmerie. A l'évidence, les policiers d'élite du Raid préfèrent la tenue d'intervention au costume trois-pièces.

Petite manip' policière
Et l'affaire du GSPR n'est pas un «incident» isolé. En pleine course à la présidentielle, un service du ministère de l'Intérieur proposait discrètement à la signature des ministres un décret visant à faire glisser le Centre national d'analyses des images pédo-pornographiques (Cnaip), une structure gendarmerie implantée au Service technique de recherche judiciaire et de documentation (STRJD) de la gendarmerie de Rosny-sous-Bois, dans le giron de la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) en l'intégrant, selon toute vraisemblance, à l'Office central de répression des violences contre les personnes (OCRVP). Déjà signée par le ministre de l'Intérieur François Baroin, la note n'a pas été contresignée par une Michèle Alliot-Marie - alors ministre de la Défense - vigilante jusqu'au dernier jour.


Dernière inquiétude des gendarmes, un projet de concentration des moyens police-gendarmerie en matière de police scientifique et d'ordre public évoqué il y a quelques mois et visiblement remisé, pour l'instant, au fond d'un tiroir. Visé en premier lieu, le fameux Institut de recherche criminelle de la gendarmerie (IRCGN) de Rosny-sous-Bois, que certains, au ministère de l'Intérieur, rêvent de placer sous l'autorité de l'Institut national de la police scientifique (INPS), qui regroupe les non moins prestigieux laboratoires de Lille, Lyon-Ecully, Marseille, Paris et Toulouse. Pour l'ordre public, le même projet de concentration des moyens visait à réorganiser au sein d'une seule force la gendarmerie mobile et les compagnies républicaines de sécurité dans une sorte de super-département de l'ordre public.


Si les raisons de l'inquiétude sont légitimes côté gendarmerie, la volonté politique actuelle ne semble pas, pour l'heure, consister à faire en sorte que l'une des deux forces prenne l'ascendant sur l'autre. La visite, lundi à 8 h 30, dès sa nomination au poste de directeur général de la police nationale (DGPN), de Frédéric Péchenard au général Guy Parayre, directeur général de la gendarmerie nationale, a été interprétée par tous comme un signe positif. Les deux hommes se connaissent bien et s'apprécient pour avoir été, depuis des années, dans l'entourage proche de M. Sarkozy. Mais tous les responsables de la police nationale ne sont pas forcément dans d'aussi bonnes dispositions que leur nouveau directeur général. Force est de reconnaître que l'institution militaire, représentée par son seul directeur général, aussi efficace soit-il, ne bénéficie pas d'un lobbying aussi puissant que la police auprès du nouveau président de la République.


A titre de comparaison, il suffit d'énumérer les noms de Claude Guéant, lui-même ex-directeur général de la police nationale, et aujourd'hui secrétaire général de l'Elysée ; Michel Gaudin, ex-DGPN, qui sera intronisé lundi préfet de police de Paris ; Christian Lambert, patron des CRS en attente d'un poste clé ; Martine Monteil, directrice centrale de la police judiciaire, dont tout le monde s'attendait à ce qu'elle soit nommée directrice générale de la police nationale ; Frédéric Péchenard, le nouveau DGPN ; et Michel Delpuech, ancien préfet des Hauts-de-Seine, le département de M. Sarkozy, nommé il y a quelques jours directeur de cabinet de Michèle Alliot-Marie, qui avait, elle, suggéré un autre préfet, Claude Balland, à ses côtés. Tous défendent la police et tous sont désormais des proches de l'Elysée, auxquels on peut encore ajouter les représentants de certains syndicats policiers (Synergie officiers et Alliance police nationale), qui garderont également l'oreille du Président.


Le général Parayre, lui, garde le cap. Lundi matin, le patron de la gendarmerie nationale assistait en compagnie de ses sept généraux de zone à une réunion au ministère de l'Immigration où le ministre Brice Hortefeux annonçait aux forces de l'ordre les objectifs à atteindre en 2007 en matière de lutte contre l'immigration clandestine. A priori, les policiers présents n'avaient pas prévu la venue du directeur général de la gendarmerie à cette réunion. Même volonté affichée du général Parayre d'être présent, le lendemain, lors d'une réunion importante consacrée au renseignement, cette fois-ci. En attendant, les gendarmes sont au moins rassurés sur la pérennité de leur statut militaire et leur appartenance réaffirmée au ministère de la Défense, même s'ils dépendent, «pour emploi», du ministère de l'Intérieur pour les missions de sécurité intérieure.


Dans le meilleur des mondes, les uns et les autres s'accorderaient sur l'idée que l'intérêt de la sécurité des Français doit être placé au-dessus de tout et bâtiraient une parfaite architecture des forces de police (120 000 hommes) et de gendarmerie (105 000 hommes), équilibrée et complémentaire. La vérité semble n'être ni dans la fusion ni dans le partage, mais dans le respect de l'histoire des uns et des autres. Le vrai casse-tête du dossier police-gendarmerie est que, là encore, tout est affaire de politique. Quand M. Sarkozy s'était installé Place Beauvau, tout le monde avait salué son projet de créer bientôt un grand «ministère de la Sécurité publique».


Pour cela, le bouillonnant ministre souhaitait, légitimement, récupérer non seulement la gendarmerie «pour emploi», mais aussi son budget. L'affaire avait fait des vagues et Michèle Alliot-Marie, alors ministre de la Défense, était allée jusqu'à l'Elysée pour que les crédits de la gendarmerie ne sortent pas de l'enveloppe militaire. Le nouveau décret d'attribution du ministre de l'Intérieur précise que celui-ci définit l'utilisation des moyens budgétaires de la gendarmerie et en assure le suivi avec le ministre de la Défense. Un pilotage conjoint bien périlleux ! """"
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le tour de chauffe est terminé
le drapeau rouge sera abaissé demain au soir du 10 juin
la configuration de l'assemblée nationale décidera, je crois, de notre avenir nous les gendarmes, durant l'été une avalanche de lois diverses seront vraisemblablement adoptées et je ne crois pas que certaines feront notre bohneur.
:affraid:

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MessageSujet: Re: Figaro Mag 090607 Police-Gendarmerie, mariage difficile   Figaro Mag 090607 Police-Gendarmerie, mariage difficile Diapo0b0fdf5d9e0fe11dea4d4eabc282a2c1Dim 10 Juin 2007 - 0:26

mais non, il faut attendre.........., 2012 certainement.

Il n'y aurait qu'une chose: le vote.

Satory a voté fort pour Sarko au présidentielles, serait-ce de réver que de leur dire d'aller voter pour quelqu'un d'autre d'insignifiant, l'écolo du coin par exemple. Voilà qui serait un bel avertissement, mais............
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