Bonjour à vous toutes et à vous tous,
Quand on a prit le temps de lire les explications de cette descente aux enfers ( voir le Blog du SAHEG ), l'on peut s'apercevoir sans équivoque possible, des raisons qui ont poussé la hiérarchie supérieure, à ordonner ces matraquages à l'encontre de ce gendarme.
- Dans sa plainte en interne puis au pénal, apparaît un commandant de Groupement ( Lt colonel ) qui a pratiqué des escroqueries sur les ventes aux domaines.
- Dans sa plainte en interne puis au pénal, apparaît son chef de service SIC qui pratiquait des escroqueries et des vols.
- Dans sa plainte en interne puis au pénal, apparaît son agresseur pour les violences qu'il a commis mais aussi des escroqueries sur les ventes aux domaines qu'il a également pratiqué, de façon similaire à l'officier supérieur cité ci-dessus.
- Le service auto, composé de plusieurs sous - officiers et d'un mécanicien moto civil ont été complices de ces escroqueries et méthodes.
- Il a également était discriminé sur le plan médical, sur ses notations et a été mis de fait au placard, professionnellement parlant.
Ce qui vient d'être évoqué concerne stricto sensu le cas de ce Gendarme, du moins au premier abord ! Mais :
Sa plainte a été traité par un Procureur de la République, chargé aux affaires militaires, fils de Gendarme.
Conjointement à sa plainte, deux autres affaires ont été traité sur Cahors par les enquêteurs de l'inspection technique, mandatés par ce Procureur, chargé aux affaires militaires.
Les protagonistes de ces affaires et de celle de ce gendarme - adjudant n'ont pas été inquiété, sont passés aux grades supérieurs, ont reçu des primes aux mérites et pour l'un, une mutation outre- mer rémunératrice.
Tout y a été entériné de façon voulue pour que rien ne sorte de cette caserne.
L'on pourrait conclure que tout va bien.
L'honneur est sauf.
L'image de marque de l'institution est préservée (!)
Le Hic, dans cette histoire, c'est que peu de temps après, pour l'une des deux autres affaires, l'un des protagonistes s'est fait arrêté par la Police Judiciaire de Toulouse, pour des faits criminels qui avait été caché par la hiérarchie, lors de ces enquêtes '' très approfondies ''.
Des mutations remarquables eurent lieu dans ce fameux Groupement de Gendarmerie de Cahors, par la suite et concernant la haute hiérarchie.
Le parquet de Cahors, également de façon très remarquable, eut une vague de mutations collectives de Magistrats ( dont le fameux Procureur chargé aux affaires militaires ), enlevant ainsi la mémoire collective de ce Tribunal et de ces affaires ...
Pendant ce temps, on matraquait ce pauvre gendarme - adjudant, victime et demandeur d'une vrai justice, comme à chaque citoyen, au même titre que bon nombre d'autres camarades, traités de façon similaire.
Les bras armées qui matraquent en pareils cas, sont les Généraux, se trouvant dans les Régions de Gendarmerie.
Ils agissent, mandatés par le haut.
Pour certains d'entre - eux, il y a déjà du sang sur leurs manchettes.
Ceux qui ordonnent, se trouvent à la DGGN, avec leur fameux protocole connu sous le nom de '' Broyeuse '', machine infernale à broyer de l'humain.
Alors cette loi du silence, n'est-ce pas là et de façon caractérisée, ce que l'on pourrait qualifier de '' Palais de la honte '', quant à affliger de pareilles situations à des Gendarmes honnêtes et à leurs familles.
Ces femmes et ces hommes n'ont-ils pas droit à une justice ?
Ils sont en droits, à être entendus, à être reçus dans les Ministères concernés, pour faire état et d'évoquer ces graves dysfonctionnements qui sont apparus dans le traitement de leurs affaires, lesquels ont détruits par effets, leurs vies.