Terrifiant: le long calvaire de MARINA, à l'insu(?) des "services compétents"...

Rappel du premier message :

Pauvre petite Marina !
Sa courte vie (de 8 ans) fut un très, très long calvaire…

Par la faute première et principale de ses parents,
mais aussi à cause des carences de nombreux services officiels (dont la gendarmerie),
qui, à différents moments, ont eu à connaître, au moins partiellement, les terribles sévices
infligés à Marina.

Attention toutefois : ce sujet se veut sujet de réflexion et non d’accusation.
L’important n’est pas de rechercher et de désigner des responsables autres que les parents,
ceux-ci étant actuellement devant les jurés et les juges des Assises du Mans.

Non, l’important est d’essayer d’attirer l’attention du plus grand nombre possible de lecteurs,
pour éviter que de pareilles situations ne se reproduisent, allant ou non, jusqu’à la mort d’un enfant.

C’est pourquoi, même si une seule vie devait être sauvée, il semble utile et nécessaire de montrer,
- combien de fois Marina aurait pu être sauvée de ses affreux tortionnaires,
- et pourquoi, ou comment, la chance n’a pas été du côté de cette malheureuse petite fille.

Enfin, mieux vaut prévenir les âmes sensibles :
la seule évocation des tortures infligées sera insoutenable pour beaucoup de personnes,
mais la plupart d’entre vous, gendarmes ou policiers, êtes confrontés plus ou moins souvent, à la mort,
et à son environnement toujours impressionnant, et parfois sordide.

En mémoire de MARINA.
Plus jamais ça !
Que chacun réfléchisse à ce qu’il aurait fait,
s’il avait eu connaissance de faits semblables…

Bonjour
Je pensez avoir donné, une partie de la réponse.
Pour le problème de la protection de l'enfance, il y a trop de dénonciation anonymes, et malveilantes, qui encombrent inutilement les services de la protection de l'enfance, auxquelles s'ajoute, les enquêtes partiales.

Les associations qui en particulier gèrent les enquêtes sont fortement politisées, et rendre dans le jeu des intérêts locaux.

Dans les petites communes, les mairies cherchent surtout à se débarasser de ceux, qu'ils jugent commes des cas sociaux.
Les gendaremes et policiers sont trop souvent influenceés par les élus locaux, qui désignent telles ou telles familes, comme des cas sociaux, ou des familles à problèmes, après ce sont les représésentants de l'odre, qui subissent ses influences.

Il n'y a plus de différenciation entre les ménages confrontés à des dificultés financières, et de véritables cas sociaux, qui eux connaissent parfaitement le système judiciaire et social, pour en exploiter toutes les failles.
Cette catégories reste très distincte, de la catégorie de familes confrontées aux difficultés, mais par amalgame, ils se retrouvent considérés comme des cas sociaux.

J'en ai fait personellement l'expérience, en étant confronté à une sitaution de surendettement, surtout, que je travaillais la nuit.

Pour la Mairie, je ne travailais pas et vivais des aides sociales, il est, qu'ils ne voyaient pas travailler, même les jours fériés, et dimanches, mais savaient, que j'étais à la maison la journée.
De plus, les problèmes financièrs me condusait souvent les tribunaux, ce qui renforcait encore l'amalgame, pour, j'étais un cas social, et un malfaiteur, sagesse, du Maire, d'un village rural, si on va au tribunal, c'est qu'il y a quelque chose.
Venant de gens, qui ne font pas la différence,, entre civil, et pénal, qui confondent victimes, témoins, et prévenus, il faut bien s'attendre à de tels amalgames.
Il y a après les démnonciations aux services sociaux, qui bien que sans fondement conduisent à des enquêtes dites sociales, où, pour ces enquêteurs, il faut à tout prix trouver quelque chose.

Pour les plaintes de voisinage, qui se retrouvent trop souvent liés aux dénonciation aux services sociaux, là l'amalgame se fait, et les persone désignées sont déjà coupables avant même qu'une enquête soit comencée, après les éléments apportés au PROCUREUR sont en toute logique conforme au volet social d'une famille à problème.
Bien évidement, ces voisins plaignants sont toujours des gens biens, parmis mes voisins, qui m'ont créés un tombé après pour avoir tripoté une gamine, et un autre pour diverses malversations, et escroqueries, mais suivant les critères de notre société actuelle, ce sont assurément des gens honorables.

IL faut aussi savoir, que les difficultés financières bien souvent permettent de conduire à la vente d'une maison à bas prix, dans le cadre d'une saisie par acheteur bien informés dans l'entourage de ces voisins honorables.

Les problèmes que peuvent rencontrer les gendarmes et policiers manque d'effectifs, et surcharges de travail diverses sont bien connus des personnes malintentionnées, et conduit à induire en erreur des enquêteurs en les influençant.
Lorsque nous devons produire des dossiers contre des groupe financiers puissants, et continuer à vivre, nous n'avons pas le temps de nous justifier en permanence.

Il est un fait bien établi, que les personnes malveillantes, qui saississent abusivement les services de l'aide à l'enfance, et induisent en erreur des policiers ou gendarmes ne sont que très rarement poursuivies.

Il existe un autre fait, qui reste, que dans certaines mémoires, à une époque, les services sociaux avaient fourni de la main d'oeuvre pas chère au monde agricole en plaçant des pupilles de l'assistance publique.
Mainteant, la plupart de ces pupilles sont des ouvriers agricole qui survivent avec une retraite de misère, mais eux aussi seront pris pour des cas sociaux, et ne seront jamais entendus.

Pour reprendre la question, d'exclesior, les gendarmes ont-ils vraiment la possiblité de faire quelques choses, ou se retrouvent-ils comme de simples témoins impuissants.

Cordialement
DURAIL