Même en retraite, les officiers venlent Commander...

- La position de l’UNPRG vis à vis du CEAG :

La nouvelle équipe du CAN a souhaité une régularisation du protocole traitant du CEAG après la proposition d’y faire entrer d’autres associations. A l’origine (2003) la présidence était tournante entre les quatre associations fondatrices (FNRG, SNAAG, TREFLE, UNPRG). Cette disposition a été modifiée en 2006 dans le flou total, notamment pour l’UNPRG, donnant la présidence permanente au président du Trèfle. Nous n’acceptons pas le monopole d’une association sur un organe dans lequel nous sommes très largement majoritaires (60%). D’où notre refus de signer le nouveau protocole du CCAG élaboré en catimini par les trois autres associations fondatrices du CEAG mais aussi de voir certaines associations y entrer. Le Général DENIZOT avait au départ parfaitement compris notre position et l’acceptait. Les autres associations ont fait le forcing pour nous écarter

Avant le rendez-vous prévu avec le Major Général MULLER, nous avons pu nous entretenir avec le Général MIGNAUX, Directeur Général. Cette conversation a porté notamment sur le refus de l’UNPRG d’entrer au CCAG. Nous avons exposé nos raisons et notre opposition à une présidence permanente de ce comité par le président du Trèfle. Le directeur général comprend et respecte notre position. Il nous a invités à dialoguer car cette situation pourrait évoluer. Il nous a déclaré que l’UNPRG faisait toujours partie de la grande famille et qu’elle sera appelée à toutes les manifestations organisées par la DGGN ou à des rendez-vous avec les autorités de tutelle au même titre que les associations qui composent le CCAG. Il compte sur notre présence pour la Sainte-Geneviève aux Invalides.
Nous avons ensuite été reçus par le Major Général MULLER. L’argumentaire joint a été exposé et débattu. La position de l’UNPRG par rapport au CCAG a longuement été évoquée. Le Major Général pense également qu’en dialoguant, la tendance peut s’inverser sur le cas de la présidence de ce comité.

Et l'ESSOR qu'en pense -t-il ?

A titre personnel, je dois faire un rectificatif :

- il n'y a eu aucun flou en 2006 lors du vote en CA de l'UNPRG quant à la désignation de la présidence non tournante du CEAG;
A l'époque, le Président COME, de l'UNPRG et le CA dans son ensemble, a voté pour cela, suite à la présentation de l'affaire par Maurice COME. J'étais membre du CAN et j'ai voté en fonction des éléments qui nous ont été donnés et il n'y avait aucune entourloupe. Il est clair que si nous avions su que certains voulaient en fait avoir une main mise sur l'ENSEMBLE des associations Gie, personnellement, j'aurais voté contre le changement dans la présidence.

C'est par la suite qu'il y a eu problème avec les autres associations membres du CEAG car elles voulaient faire entrer dans les CEAG certaines assos et pas d'autres !!
Nous demandions donc le statut quo.

Il est faux et mensonger de faire porter la scission sur Henri MARTINEZ, le nouveau président de l'UNPRG depuis mai 2010.
La révolte couvait dès 2007, et Henri n'était alors que membre du CAN, sans poste à responsabilité particulier.
Le nouveau bureau national mis en place après le congrès de mai 2010 n'a fait que poursuivre la ligne de conduite qui avait été décidé par l'ancienne équipe, dont je faisais partie.

Pour connaitre la chronologie exacte des faits, il suffit de se rendre sur le site de l'UNPRG, où un récapitulatif date après date a été mis en ligne.

Voir ICI
ce paragraphe

6 décembre 2011 CEAG > CCAG : suite et fin

Chers amis, Suite aux courriels et autres écrits particulièrement orientés des présidents du Trèfle et de la FNRG (Note info AIGS n° 4770) sur la constitution du CCAG, j’ai décidé d’établir une chronologie des faits avec copie des courriers échangés. Chacun pourra constater le manque de sincérité de ces deux présidents......lire la suite PS : sauf erreur possible de ma part, mais le CEAG a été crée en 1992, à l'initiative de l'ESSOR et de son rédacteur en chef, M Jacques REVISE. RePS ce n'est pas parce que je ne suis plus au CAN que je vais cracher dans la soupe et mettre de côté mes convictions profondes

Christian

je m'en vuex de t'avoir parfois ... comment dire, asticoter ....
il est bon de lire des gens honnête

Ce qui est certain c'est que l'Association Gendarmes et Citoyens n'est pas concernée.
Lorsque une lettre a été adressée au Président actuel de l'UNPRG pour le féliciter de son élection et lui proposer un éventuel rapprochement. Il a envoyé le président d'AG&C sur les roses sous prétexte que nous critiquions l'UNPRG. Nous avons l'impression qu'il a attribué à l'association ce que pouvaient dire les uns et les autres sur ce forum entre autres.

Alors je ne comprends rien
que veulent dire tous ces sigles ?
CAN etc ...????

du jargon de retraité tout ça ! Et pourquoi AG&C ne pourrait pas faire partie de tout ces trucs à sigle ? ça l'air sympa !!

CAN = conseil d'administration national

et d'accord avec toi, à partir du moment où l'on veut ouvrir à d'autres associations ou entité gendarmique, c'est TOUTES qui doivent être concernées et pas seulement celles que l'on souhaite voir arriver.

Par exemple, il existe deux associations de réservistes, mais l'on accepte que une seule dans le CCAG (comité de coordination des associations gendarmerie), AG&C n'est pas conviée, etc...

CEAG, s'est comité d'entente des associations gendarmerie

Pour ce qui est de la remarque de CTI, c'est tout à fait cela, il y a eu mélange des genres et je n'ai pas été écouté là non plus !
De toute façon, depuis le début de l'aventure G&C, certains n'ont pas compris ou n'ont pas voulu comprendre.

Et cela perdure.

Mais en fait, la clé du problème, je l'ai trouvé dans les propos de M BRACHET :

Extrait :
====La clé du ressentiment des dirigeants de l’UNPRG est probablement le
principe adopté pour la présidence du CCAG, déjà en vigueur au sein du
CEAG et instituant une présidence permanente confiée au président du
Trèfle. Déjà mal vécue dans le cadre du CEAG, ils la rejettent
aujourd’hui parce que cette disposition ne leur permet pas de faire
valoir au titre de la coordination leurs positions particulières. Les
associations membres du CCAG ont souhaité ou accepté ce principe pour
obtenir une représentativité qui ne dévie pas vers le corporatisme voire
le syndicalisme. Au demeurant, le président du CCAG n’est pas
omnipotent, il est assisté et accompagné par les autres présidents.===

Si la présidence permanente avait été décidée en 2006 ce n'était que pour permettre plus de facilité pour accéder aux diverses autorités tant civiles que militaires. Et rien d'autre
Or dans le nouveau CCAG, des prérogatives sont données au président. Comme par hasard, il s'agit d'un officier général, qui est le président d'une association (plutôt une mutuelle ou société d'entraide) ne comprenant que des officiers, mais qu'ils soient d'active ou en retraite !!
Et c'est là que le bas blesse.

Et M BRACHET oublie de dire, mais peut être ne le sait il pas car il vient d'arriver, lui, que des assos comme la FNRG, cela fait longtemps qu'elles nous cassent du sucre sur le dos du fait de notre activité tant vis à vis des retraités que des actifs.
Et c'est ce qui est mis en rouge qui est important : le but du CCAG et des nouvelles prérogatives de son président "à vie", sont faits dans le sens de brider toutes revendications.

En conclusion, tant l' UNPRG que l'AG&C, n'ont rien à faire avec ses "branques".

Cordialement
Christian HEITZMANN, administrateur de l'UNPRG de 2004 à 2010


PS

je vais rechercher les termes du nouvel accord et vous pourrez vous rendre compte par vous mêmes.

du fin fond du froid a écrit:

Alors je ne comprends rien
que veulent dire tous ces sigles ?
CAN etc ...???

+1

Je me disais exactement la même chose.

Une petite traduction SVP ?

Depuis trois ans que je suis membre de l'association gendarmes et citoyens, j'ai remarqué qu'il est une chose qui ne serait pas admise par beaucoup de ses membres, c'est que la présidence soit assurée par un officier et encore moins par un général, les adhérents gendarmes active ou retraités n'ont pas envie de retrouver la hiérarchie gendarmique dans l'association.
C'est peut être aussi une des raisons pour laquelle la participation ne fonctionne pas comme elle le devrait, la soumission complète à la hiérarchie.
Je me suis même pris des charges de certains parce que j'avais été major. J'avais été et je ne suis plus, je suis "retraité" point barre.
La présidence permanente du comité d'entente par des gens du trèfle n'a pas lieu d'être. S'ils veulent se la jouer grands chefs après leur retraite (même la semi-activité deuxième section) ils vont se mettre beaucoup de monde à dos et vont y perdre beaucoup plus qu'ils n'y gagneront.
AMHA

Bonsoir,
Bon, alors la prochaine fois, je vote contre Christian, c'est vrai, que vient faire un major dans une association de gendarmes ?

cti 41 a écrit:

Depuis trois ans que je suis membre de l'association gendarmes et citoyens, j'ai remarqué qu'il est une chose qui ne serait pas admise par beaucoup de ses membres, c'est que la présidence soit assurée par un officier et encore moins par un général, les adhérents gendarmes active ou retraités n'ont pas envie de retrouver la hiérarchie gendarmique dans l'association.
C'est peut être aussi une des raisons pour laquelle la participation ne fonctionne pas comme elle le devrait, la soumission complète à la hiérarchie.
Je me suis même pris des charges de certains parce que j'avais été major. J'avais été et je ne suis plus, je suis "retraité" point barre.
La présidence permanente du comité d'entente par des gens du trèfle n'a pas lieu d'être. S'ils veulent se la jouer grands chefs après leur retraite (même la semi-activité deuxième section) ils vont se mettre beaucoup de monde à dos et vont y perdre beaucoup plus qu'ils n'y gagneront.
AMHA

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[quote="GENDSTAS"]Bonsoir,
Bon, alors la prochaine fois, je vote contre Christian, c'est vrai, que vient faire un major dans une association de gendarmes ?[/quote