Gendarmes Et Citoyens Créé le 1er avril 2007 |
| | qui a traité des plaintes des parents contre l'Education Nationale ? | |
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+5volcan motoraleuse02 LePingouin electron84 katatonia57 9 participants | |
Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: qui a traité des plaintes des parents contre l'Education Nationale ? Dim 7 Nov 2010 - 19:21 | |
| Rappel du premier message :Bonjour, Est ce quelqu'un a traité des plaintes des parents contre les enseignants ? Si oui pouvez-vous me faire part celles que vous avez traitées ? Merci pour votre réponse
Dernière édition par phalmelanie le Dim 7 Nov 2010 - 19:33, édité 1 fois |
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Auteur | Message |
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Saint Just 2 étoiles
Nombre de messages : 402 Age : 76 Localisation : 03120 Lapalisse Emploi : Citoyen, retraité de la RATP Date d'inscription : 04/11/2010
| Sujet: Re: qui a traité des plaintes des parents contre l'Education Nationale ? Mar 9 Nov 2010 - 20:40 | |
| J'ajouterais que si l'on se plaind parfois à juste titre des profs aujoud'hui , attention les dégas demain ,avec la fermeture des IUFM et ou les profs sont maintenant lachés dans la nature aprés un master2 sans avoir appris en REEL le métier ...Comme par exemple si une Infirmiere ne faisait plus de stage dans sa scolarité pour apprendre son boulot .... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: qui a traité des plaintes des parents contre l'Education Nationale ? Mar 9 Nov 2010 - 21:16 | |
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| | | GENDSTAS 4 étoiles
Nombre de messages : 2257 Age : 73 Emploi : retraité Date d'inscription : 25/04/2010
| Sujet: Re: qui a traité des plaintes des parents contre l'Education Nationale ? Mer 10 Nov 2010 - 0:29 | |
| - Saint Just a écrit:
- Dans l'E.N. c'est comme dans TOUS les boulots ils y a une grande majorité de bon profs et d'instits et une minorité de C..S
En tout cas moi je tire mon chapeau aux instits et profs de ZEP eux aussi subissent de plein fouet la RGPP et avec peut globalement ils font pas mal et dans des conditions souvent difficiles ... Quand au privée ce n'est pas loin s'en faut le havre de paix et d'éducation que certain voudrait y voir ...Et si d'aucun veut payer pour l'école c'est son droit ,mais je suis en déssacord avec l'obligation faite maintenant aux municipalités de subventionner le privé , subventions a l'école de la république OUI aux autres NON..... L'éducation c'est un tout complémentaire, avec chacun son role, parents, écoles, colos etc etc .... Il existe des assos. de Parents d'éleves et j'ai put constater de la maternelle au lycée ou j'ai tjrs suivi de prèt via une assos. le déroulement de la scolarité de mes filles que malheureusement la aussi nous n'étions qu'une minorité.... Et pourtant on peut faire des choses un exemple entre autre: . Au collége nous avions aprés de longs débats réussi à prendre contact avec un CFA proche et au lieu de jeter à la rues des éléves exclus ils allaient monter des briques et des parpaings à ce CFA. J'étais au conseil de discipline personne ne m'en à jamais voulu pour une sanction ,nous prenions le temps d'expliquer sans pour autant faire de cadeau.... C'est vrai c'était à la fin des années 90 .....
Bonsoir, Les mairies ne subventionnent pas les écoles privées. Je crois qu'il n'existe qu'une compensation lorsqu'un enfant n'est pas scolarisé dans sa commune d'origine. Contrairement à ce que vous croyez, les municipalités s'arrangent très bien des écoles privées ainsi que l'éducation nationale. Car si elles venaient à disparaître, qui serait bien en mal de construire le nombre de classes nécessaires et qui aurait à financer le fonctionnement des établissements ? Je peux vous dire que dans ma commune, c'est l'inspecteur qui se renseigne à chaque rentrée pour savoir combien d'élèves l'école privée est en mesure d'accueillir. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: qui a traité des plaintes des parents contre l'Education Nationale ? Mer 10 Nov 2010 - 1:35 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: qui a traité des plaintes des parents contre l'Education Nationale ? Mer 10 Nov 2010 - 3:06 | |
| J'ai été dans le système scolaire jusqu'en 1998. De toute ma scolarité je n'ai jamais été confrontée à tous les problèmes que nous montrent les médias. J'ai vécu à Villeurbanne jusqu'à ma 5ème. Dans ce collège on était au moins mille : il n'y a jamais eu de problème. Ensuite, je suis arrivée à Montpellier et là pareil le collège rien à dire, les lycées non plus. Quand j'ai repris mes études, en 2009, à la fac de médecine, là le choc Imaginez-vous dans une amphi de mille étudiants en médecine c'est particulier : dès qu'un prof prononce un mot qui commence par s, vous avez tout l'amphi qui fait : ssssssssssssssssssssssssssssss en référence au mot sélection : 1ère année de médecine (la P1) c'est l'année du concours donc les 500 premiers peuvent choisir soit médecine, soit dentaire soit sage-femme par ordre de classement et en fonction de ce que ne veulent pas ceux qui sont passés avant toi, d'où le ssssssssssss - cours magistral, pas un seul bruit et tout à coup vous avez un crétin qui hurle dans tout l'amphi : une seule solution et vous avez tout l'amphi qui répond : la sodomisation suivit des imitations des cris d'orgasmes sans compter qu'il y a ceux qui arrivent à poil dans l'amphi pendant un cours magistral. Imaginez un peu l'ambiance et puis à chaque fin de cours, les étudiants réclament une histoire : et là tous les profs se mettent à raconter une histoire et qui de préférence ont un rapport avec le sexe. En voici une : c'était la fin du cours sur la prise en charge des patients cancéreux. Donc le prof nous raconte : "J'étais arrivé à l'hotel pour mon colloque. En sortant de l' ascensceur je "percute" une femme. Pour m'excuser je lui dit : Et bien madame, vos seins sont de très doux airbags, je me laisserai bien tombé dedans. Et la bonne femme lui répond : "Et bien monsieur, si votre sexe est aussi dur que votre coude, je serais au 7ème ciel ." On a tous éclater de rire dans l'amphi Ensuite viens l'heure du tutorat. C'est un cours pour corrigés tes exos avec les P2 (deuxième année de médecine). Un soir tous les tuteurs sont arrivés pétés : visiblement ils avaient fumer un pétard avant de nous faire la correction. C'était un moment folklorique Tout ceci pour vous dire en espace de dix ans, les mentalités ont complètement changé. Mais ma 1ère année de médecine fut fabuleuse. C'était juste une petite parenthèse mais revenons à nos moutons. Merci à tous pour vos réponses et témoignages Dans l'EN, comme partout vous avez des gens compétents et incompétents, ceux qui sont passionnés et qui aiment les enfants et ceux qui font ça pour d'autres raisons. J'ai souvent vu dès qu'un parent rencontre des difficultés avec l'école c'est tout le personnel qui leur tombe dessus. Souvent l'enfant est au milieu de toutes les vives discussions. Voici ce qu'un parent m'a raconté : Un jour, la maitresse de son enfant, âgé de 5 ans à l'époque, lui a appris que son père n'était son père biologique. Le gamin en larmes raconte ce qui s'est passé à ses parents. Ils déposent plainte contre l'enseignante et entre temps le gamin s'est pris un rétro sur la figure en chahutant sur le trottoir avec ses frères et soeurs. Cela s'est produit sur le chemin en allant à l'école, à ce moment là l'enfant n'avait pas d'hématome. Il avait juste le coin de la joue rouge : rien d'inquiétant ni dramatique.Sauf que ce rouge s'est transformé en bleu dans la journée donc l'instit à fait un constat médical et à porter plainte contre les parents pour maltraitance. Et toute l'équipe pédagogique ont témoigné contre les parents. Du coup la plainte des parents contre l'instit pour avoir révéler le secret familiale est classée sans suite par contre les parents se sont retrouvés avec une mesure d' AEMO de six mois. Peu de temps après la mise en place de l'AEMO l'éducatrice conclut : l'enfant n'est pas maltraité par ses parents et lors de sa mission l'éducatrice a constaté une famille harmonieuse. Il n'y a pas lieu de continuer la mesure. Les parents et leur enfant sont partis de l'école avec cette histoire qui leur colle à la peau. Voilà pour la petite anecdocte Il est vrai que l'éducation d'un enfant se fait dès sa conception. Comme il est vrai que cette dernière se prolonge avec l'école : en moyenne un enfant passe 10 heures à l'école. Pour l'enfant cela peut être 10h de bonheur comme 10h d'enfer où les deux à la fois. Ces adultes renvoient des images à l'enfant. Si un enfant travaille bien à l'école c'est pour faire plaisir à son instit. Ce n'est que plus tard qu'il apprendra à travailler pour lui-même. :flower Voilà, allez je retourne à mes cours de massages : bon alors les vertèbres cervicales.... P.S : veuillez m'excuser pour les fautes d'ortho mais vu l'heure je vais aller dans les bras de Morphée Bonne nuit à tous |
| | | Saint Just 2 étoiles
Nombre de messages : 402 Age : 76 Localisation : 03120 Lapalisse Emploi : Citoyen, retraité de la RATP Date d'inscription : 04/11/2010
| Sujet: Re: qui a traité des plaintes des parents contre l'Education Nationale ? Ven 12 Nov 2010 - 18:21 | |
| - GENDSTAS a écrit:
- Saint Just a écrit:
- Dans l'E.N. c'est comme dans TOUS les boulots ils y a une grande majorité de bon profs et d'instits et une minorité de C..S
En tout cas moi je tire mon chapeau aux instits et profs de ZEP eux aussi subissent de plein fouet la RGPP et avec peut globalement ils font pas mal et dans des conditions souvent difficiles ... Quand au privée ce n'est pas loin s'en faut le havre de paix et d'éducation que certain voudrait y voir ...Et si d'aucun veut payer pour l'école c'est son droit ,mais je suis en déssacord avec l'obligation faite maintenant aux municipalités de subventionner le privé , subventions a l'école de la république OUI aux autres NON..... L'éducation c'est un tout complémentaire, avec chacun son role, parents, écoles, colos etc etc .... Il existe des assos. de Parents d'éleves et j'ai put constater de la maternelle au lycée ou j'ai tjrs suivi de prèt via une assos. le déroulement de la scolarité de mes filles que malheureusement la aussi nous n'étions qu'une minorité.... Et pourtant on peut faire des choses un exemple entre autre: . Au collége nous avions aprés de longs débats réussi à prendre contact avec un CFA proche et au lieu de jeter à la rues des éléves exclus ils allaient monter des briques et des parpaings à ce CFA. J'étais au conseil de discipline personne ne m'en à jamais voulu pour une sanction ,nous prenions le temps d'expliquer sans pour autant faire de cadeau.... C'est vrai c'était à la fin des années 90 .....
Bonsoir, Les mairies ne subventionnent pas les écoles privées. Je crois qu'il n'existe qu'une compensation lorsqu'un enfant n'est pas scolarisé dans sa commune d'origine. Contrairement à ce que vous croyez, les municipalités s'arrangent très bien des écoles privées ainsi que l'éducation nationale. Car si elles venaient à disparaître, qui serait bien en mal de construire le nombre de classes nécessaires et qui aurait à financer le fonctionnement des établissements ? Je peux vous dire que dans ma commune, c'est l'inspecteur qui se renseigne à chaque rentrée pour savoir combien d'élèves l'école privée est en mesure d'accueillir. Désolé de vous contredire Gendstas
....."Pour les établissements d'enseignement privés sous contrat, selon la loi n° 59-1557 du 31 décembre 1959, l'État prend en charge la rémunération des personnels enseignants, les charges sociales et fiscales incombant à l'employeur ainsi que les dépenses de formation initiale et continue des enseignants. Les collectivités locales participent quant à elles au fonctionnement matériel des classes sous contrat sous la forme de forfaits. Pour l'enseignement secondaire sous contrat d'association, la contribution financière des départements et des régions est obligatoire".... Source : Site du ministére de l'éducation Nationale Et je meintiens ma position, que ce soit pour l'école, ou tout autres activités, entreprise publique fond publique, entreprise privée fond privée, on ne peut la non plus réclamer le beurre et l'argent du beurre ....Et en l'occurence l'enseignement privé avec un personnel formé et payé par NOUS contribuables et des subventions des collectivités territoriales, contribue fort peut à financer l'éducation nationale ..... ]amicalement | |
| | | gibolin 2 étoiles
Nombre de messages : 117 Age : 58 Localisation : ain Emploi : ex vache à lait Date d'inscription : 16/09/2010
| Sujet: Re: qui a traité des plaintes des parents contre l'Education Nationale ? Ven 12 Nov 2010 - 21:37 | |
| Quand au privée ce n'est pas loin s'en faut le havre de paix et d'éducation que certain voudrait y voir ...[color=cyan]Et si d'aucun veut payer pour l'école c'est son droit ,mais je suis en déssacord avec l'obligation faite maintenant aux municipalités de subventionner le privé , subventions a l'école de la république OUI aux autres vous avez raison chacun ses billes , je paye l'école privé pour avoir des gens motivées et compétents on me rend mon impôt correspondant à l'école de la soit disant "république", pareil avec la caisse de retraite camarade cheminot , chacun sa caisse et ce sera parfait!!!!!!!!!! coucou electron , j'adhère à vos propos et lève mon doigt à l'éducation nationale. [img][/img] | |
| | | loopings 1 étoile
Nombre de messages : 48 Age : 43 Localisation : Ouest Emploi : Enseignant Date d'inscription : 04/06/2010
| Sujet: Re: qui a traité des plaintes des parents contre l'Education Nationale ? Ven 12 Nov 2010 - 22:34 | |
| - electron84 a écrit:
- Et si on parlait de la psychorigidité des enseignants due en grande partie au fait qu'ils se sentent surprotégés par leur poids de "mammouth " dans la fonction publique ...................ils ont tjrs raisons , ils se remettent rarement en cause , ils détiennent la sacro sainte vérité ...et j'en passe .......mais bon il faut pas en parler ou l'écrire , c'est tabou ........ta bouche va !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ::
J'espère que vous tenez le même raisonnement en ce qui concerne les policiers ou les gendarmes, et que vous acceptez par conséquent que le travail (et l'autorité) des membres des forces de l'ordre soit remis en cause par les citoyens... Je fait partie du mammouth que vous décrivez, et pour le coup je pense qu'on devrait plutôt parler d'un troupeau quand on jette un oeil aux fantastiques bureaucraties que sont l'ensemble des administrations publiques: hôpital, défense... ça ne sert à rien de jeter l'opprobre sur le travail des fonctionnaires, a fortiori quand on fait soi-même partie (enfin je suppose). Pour autant, l'instituteur idéalisé de l'école à l'ancienne, très peu pour moi : tout d'abord parce que je l'ai pas connu, et ensuite parce que chaque fois qu'un métier est mis sur un piédestal ça mène souvent à des abus, parce que les gens n'osent pas les critiquer et que des individus en mal d'autorité abusive voire de sadisme (ou même pire quand on voit les affaires de pédophilie) peuvent parfois en profiter. Je pense que Mai 68 a changé le rapport à l'autorité dans l'éducation, et le substitut d'image paternelle qu'était le prof ou l'instit a perdu son aura. Pour moi, c'est une bonne chose, car ça instaure sans doute un rapport plus sain entre les élèves et le maître, plus égalitaire : l'autorité, elle n'émane en effet pas que de la fonction (et d'ailleurs les gens qui ne font valoir que leur poste ou leur statut pour se faire obéir des autres sont généralement de piètres commandants), mais se construit et s'apprend (et nécessite parfois d'utiliser la sanction, il ne s'agit pas d'être laxiste, car alors les élèves vous méprisent)... Il est important que les élèves respectent leur professeur, et ça passe en grande partie par l'attitude ce dernier. L'autorité, elle ne s'est pas perdue, elle a changé de forme. Je vous suis donc lorsque vous dites qu'il faut se remettre en cause, mais il n'y a rien de pire qu'un élève qui est soutenu mordicus par ses parents alors que le professeur fait correctement son travail. Si les parents n'ont pas d'estime pour le travail de l'école, s'ils considèrent que les profs sont pas légitimes dans leur rôle, et bien les enfants seront pareils, et il sera difficile pour ses profs de leur ouvrir l'esprit. Après, pour revenir au sujet, j'espère que les problèmes entre profs et parents vont pas se multiplier, et je suis un peu pessimiste quand je vois les évolutions en cours. Depuis cette année, un professeur est recruté au niveau Master (bac+5) (ce qui est supposé augmenter le niveau), mais il se retrouve devant les élèves sans avoir eu aucune formation professionnelle, car les IUFM (l'endroit où on forme les jeunes professeurs) sont en cours de suppression. Le fait de réussir un concours difficile et sélectif prouve certes que le candidat maîtrise le champ scientifique de sa discipline, mais pas qu'il possède les compétences nécessaires à la tenue d'une classe ou à la pédagogie. C'est comme si un gendarme était recruté sur concours, et envoyé directement sur le terrain, avec charge à ses collègues de le former sur le tas... Si la formation précédente n'était pas parfaite, elle avait au moins le mérite de faire connaître au jeune prof quelques rudiments pédagogiques. On ne compte plus ceux qui sont arrivés devant leur classe en septembre dernier et qui ont démissionné après quelques semaines (voire jours), parce qu'ils étaient complétement démunis face à leurs élèves (en plus, comme pour les policiers, les jeunes profs sont envoyés en priorité dans les endroits les plus difficiles). Donc pour toutes ces raisons, j'ai peur que des problèmes puissent arriver impliquant des enseignants débutants qui ont réagi de manière inappropriée du fait d'un défaut de formation. | |
| | | GENDSTAS 4 étoiles
Nombre de messages : 2257 Age : 73 Emploi : retraité Date d'inscription : 25/04/2010
| Sujet: Re: qui a traité des plaintes des parents contre l'Education Nationale ? Sam 13 Nov 2010 - 5:41 | |
| - Saint Just a écrit:
- GENDSTAS a écrit:
- Saint Just a écrit:
- Dans l'E.N. c'est comme dans TOUS les boulots ils y a une grande majorité de bon profs et d'instits et une minorité de C..S
En tout cas moi je tire mon chapeau aux instits et profs de ZEP eux aussi subissent de plein fouet la RGPP et avec peut globalement ils font pas mal et dans des conditions souvent difficiles ... Quand au privée ce n'est pas loin s'en faut le havre de paix et d'éducation que certain voudrait y voir ...Et si d'aucun veut payer pour l'école c'est son droit ,mais je suis en déssacord avec l'obligation faite maintenant aux municipalités de subventionner le privé , subventions a l'école de la république OUI aux autres NON..... L'éducation c'est un tout complémentaire, avec chacun son role, parents, écoles, colos etc etc .... Il existe des assos. de Parents d'éleves et j'ai put constater de la maternelle au lycée ou j'ai tjrs suivi de prèt via une assos. le déroulement de la scolarité de mes filles que malheureusement la aussi nous n'étions qu'une minorité.... Et pourtant on peut faire des choses un exemple entre autre: . Au collége nous avions aprés de longs débats réussi à prendre contact avec un CFA proche et au lieu de jeter à la rues des éléves exclus ils allaient monter des briques et des parpaings à ce CFA. J'étais au conseil de discipline personne ne m'en à jamais voulu pour une sanction ,nous prenions le temps d'expliquer sans pour autant faire de cadeau.... C'est vrai c'était à la fin des années 90 .....
Bonsoir, Les mairies ne subventionnent pas les écoles privées. Je crois qu'il n'existe qu'une compensation lorsqu'un enfant n'est pas scolarisé dans sa commune d'origine. Contrairement à ce que vous croyez, les municipalités s'arrangent très bien des écoles privées ainsi que l'éducation nationale. Car si elles venaient à disparaître, qui serait bien en mal de construire le nombre de classes nécessaires et qui aurait à financer le fonctionnement des établissements ? Je peux vous dire que dans ma commune, c'est l'inspecteur qui se renseigne à chaque rentrée pour savoir combien d'élèves l'école privée est en mesure d'accueillir. Désolé de vous contredire Gendstas
....."Pour les établissements d'enseignement privés sous contrat, selon la loi n° 59-1557 du 31 décembre 1959, l'État prend en charge la rémunération des personnels enseignants, les charges sociales et fiscales incombant à l'employeur ainsi que les dépenses de formation initiale et continue des enseignants. Les collectivités locales participent quant à elles au fonctionnement matériel des classes sous contrat sous la forme de forfaits. Pour l'enseignement secondaire sous contrat d'association, la contribution financière des départements et des régions est obligatoire"....
Source : Site du ministére de l'éducation Nationale
Et je meintiens ma position, que ce soit pour l'école, ou tout autres activités, entreprise publique fond publique, entreprise privée fond privée, on ne peut la non plus réclamer le beurre et l'argent du beurre ....Et en l'occurence l'enseignement privé avec un personnel formé et payé par NOUS contribuables et des subventions des collectivités territoriales, contribue fort peut à financer l'éducation nationale .....
]amicalement Bonsoir, C'est exact mais c'est parce qu'il y a un contrat avec l'Etat que cet établissement bénéficie de financements publics, les écoles privées stricto sensus ne bénéficient de rien. C'est une utopie de croire qu'il est possible de faire autrement pour toutes les activités comme vous le souhaitez. L'Etat n'a pas et n'a jamais eu les moyens d'assumer seul toutes ses obligations. Il passe donc des contrats avec des établissements et entreprises privées dès lors qu'elles rendent un service similaire à l'action d'un service public. Je répète également que les communes seraient bien souvent dans l'impossibilité de financer l'ensemble des établissements scolaires nécessaires s'il n'y avait pas les écoles privées. On pourrait également se demander s'il ne faut pas mettre au chômage l'ensemble des entreprises de travaux publics et supprimer les contrats avec les fournisseurs de l'Etat. C'est bien sûr totalement impossible. D'une manière générale, on constate que l'Etat intervient bien au delà de la simple notion de service public et que de plus en plus d'entreprises privées rendent des services au public. Le tout est de trouver un équilibre équitable pour le contribuable. | |
| | | electron84 4 étoiles
Nombre de messages : 3445 Age : 54 Localisation : là où il fait bon vivre Date d'inscription : 18/12/2007
| Sujet: Re: qui a traité des plaintes des parents contre l'Education Nationale ? Sam 13 Nov 2010 - 7:12 | |
| - Citation :
- J'espère que vous tenez le même raisonnement en ce qui concerne les policiers ou les gendarmes, et que vous acceptez par conséquent que le travail (et l'autorité) des membres des forces de l'ordre soit remis en cause par les citoyens...Tout a fait Looping et ma hiérarchie a pu s'en rendre compte .
Je fait partie du mammouth que vous décrivez, et pour le coup je pense qu'on devrait plutôt parler d'un troupeau quand on jette un oeil aux fantastiques bureaucraties que sont l'ensemble des administrations publiques: hôpital, défense... ça ne sert à rien de jeter l'opprobre sur le travail des fonctionnaires, a fortiori quand on fait soi-même partie (enfin je suppose).On est d'accord également sur ce point , il faudrait réformer car le système bureaucratique français est lourd ,rigide ,peu efficient et gourmand financièrement .Pour ma part il faudrait limiter dans certaines administrations les fonctionnaires des les catégories A .
Pour autant, l'instituteur idéalisé de l'école à l'ancienne, très peu pour moi : tout d'abord parce que je l'ai pas connu, et ensuite parce que chaque fois qu'un métier est mis sur un piédestal ça mène souvent à des abus, parce que les gens n'osent pas les critiquer et que des individus en mal d'autorité abusive voire de sadisme (ou même pire quand on voit les affaires de pédophilie) peuvent parfois en profiter. C'est vraiment là que le bât blesse .Il faut y remédier !!!!
Je pense que Mai 68 a changé le rapport à l'autorité dans l'éducation, et le substitut d'image paternelle qu'était le prof ou l'instit a perdu son aura. Pour moi, c'est une bonne chose, car ça instaure sans doute un rapport plus sain entre les élèves et le maître, plus égalitaire : l'autorité, elle n'émane en effet pas que de la fonction (et d'ailleurs les gens qui ne font valoir que leur poste ou leur statut pour se faire obéir des autres sont généralement de piètres commandants), mais se construit et s'apprend (et nécessite parfois d'utiliser la sanction, il ne s'agit pas d'être laxiste, car alors les élèves vous méprisent)... Il est important que les élèves respectent leur professeur, et ça passe en grande partie par l'attitude ce dernier. L'autorité, elle ne s'est pas perdue, elle a changé de forme.
Je vous suis donc lorsque vous dites qu'il faut se remettre en cause, mais il n'y a rien de pire qu'un élève qui est soutenu mordicus par ses parents alors que le professeur fait correctement son travail. Si les parents n'ont pas d'estime pour le travail de l'école, s'ils considèrent que les profs sont pas légitimes dans leur rôle, et bien les enfants seront pareils, et il sera difficile pour ses profs de leur ouvrir l'esprit.On est d'accord une fois de plus .Je suis pour l'autorité légitime des professeurs selon laquelle seules la compétence et la conscience professionnelle en sont les "maîtres" mots!!! Après, pour revenir au sujet, j'espère que les problèmes entre profs et parents vont pas se multiplier, et je suis un peu pessimiste quand je vois les évolutions en cours. Depuis cette année, un professeur est recruté au niveau Master (bac+5) (ce qui est supposé augmenter le niveau), mais il se retrouve devant les élèves sans avoir eu aucune formation professionnelle, car les IUFM (l'endroit où on forme les jeunes professeurs) sont en cours de suppression. Le fait de réussir un concours difficile et sélectif prouve certes que le candidat maîtrise le champ scientifique de sa discipline, mais pas qu'il possède les compétences nécessaires à la tenue d'une classe ou à la pédagogie. C'est comme si un gendarme était recruté sur concours, et envoyé directement sur le terrain, avec charge à ses collègues de le former sur le tas... Si la formation précédente n'était pas parfaite, elle avait au moins le mérite de faire connaître au jeune prof quelques rudiments pédagogiques. On ne compte plus ceux qui sont arrivés devant leur classe en septembre dernier et qui ont démissionné après quelques semaines (voire jours), parce qu'ils étaient complétement démunis face à leurs élèves (en plus, comme pour les policiers, les jeunes profs sont envoyés en priorité dans les endroits les plus difficiles). Donc pour toutes ces raisons, j'ai peur que des problèmes puissent arriver impliquant des enseignants débutants qui ont réagi de manière inappropriée du fait d'un défaut de formation. [b] [color=blue]Tout a fait d'accord avec le dernier paragraphe .Il faut, pour inverser la tendance ,user un peu de pragmatisme comme dans tous les corps d'administration aux fins de résoudre ces problèmes dits opérationnels .En effet , il faut opter pour une gestion harmonieuse du professorat en matière d'expérience qui pourrait se décliner par de la formation interprofessionnelle et une rémunération avantageuse et attractive pour les enseignants volontaires pour ces zones dites défavorisées . Pour autant je persiste et signe quand j'indique que les professeurs dans leur globalité sont peu accessibles et peu ouverts à se remettre en cause...... alors que dans le même temps le coeur de leur "sacerdoce "c'est la transmission des trois savoirs par une pédagogie adaptée ........... Pour les autres administrations cette Exigence au caractère Noble , ne l'est pas .. Pour finir je te rejoins sur le fait que que des "brebis galeuses" existent dans ces corps et qu'il faut y mettre un terme , ne serait -ce pour l'exemplarité qu'on se doit vis- à -vis de nos enfants !!Cordialement Electron . | |
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