le coin des paras

Rappel du premier message :

pour tous ceux qui ont franchi un jour la portière....

que ce soit en prémilitaire, au sein d'un régiment para métro ou colo, légion, commando de l'air ou autre .....

mettre ici les renseignements qui nous rassemblent

je me lance :

. préparation militaire para à Nancy en 1968
. engagement au 1er RPIMa Bayonne en 1968
. brevet n° 276741

merci de l'info...
condoléances à la famille.
une mort tragique...

voilà un autre article.

--------------------------


Bouloc. La vidéo du para décédé sera analysée

Après la mort d'un homme de 34 ans mardi.

Militaire depuis quinze ans, le brigadier-chef Arnaud Paramelle a fait toute sa carrière au 35e RAP. Il est décédé dans un tragique accident de parachute, mardi, à Bouloc.

Vingt-quatre heures après le saut qui a coûté la vie, mardi en fin d'après-midi au-dessus de l'aérodrome de Bouloc, à un moniteur de l'école de parachutisme, Arnaud Paramelle, 34 ans, (lire notre édition d'hier), les enquêteurs des brigades de recherche de Castelsarrasin et Montauban sont toujours sur place pour tenter d'en démêler les circonstances exactes à l'origine de ce drame.

Si aucune piste n'est à cette heure écartée sur l'origine de cet incident fatal, les enquêteurs semblent de plus en plus privilégier la thèse de l'accident d'atterrissage.

En effet, après avoir sauté vers 4 000 mètres pour accompagner et filmer un tandem de parachutiste, c'est vraisemblablement avant de se poser qu'Arnaud Paramelle aurait subi ou effectué une manœuvre qui lui a été fatale.

Le vidéaste se serait d'ailleurs quelque peu éloigné du point d'atterrissage prévu alors que le tandem qui le suivait touchait le sol sans heurt.

Erreur d'appréciation de la distance au sol, vitesse excessive ou problème survenu sur sa voile… les techniciens de la gendarmerie travaillent pour tenter de le déterminer. Pour y parvenir, ils ont en leur possession le parachute de la victime et surtout la caméra qu'il portait sur son casque. Même endommagée, les enquêteurs ne désespèrent que le visionnage de ce film les aide à collecter de nouvelles informations.

Cet accident laisse néanmoins perplexe les enquêteurs et les responsables de l'école de parachutisme de Bouloc d'autant que la victime était un militaire aguerri par une décennie de parachutisme et moniteur agréé par la fédération française. De son côté, le parquet a ordonné, hier, l'autopsie du corps du militaire Tarbais afin d'aider les enquêteurs à déterminer les causes de sa mort.

Champion de free fly

À Tarbes, Arnaud Paramelle est connu pour être « très sympathique, souriant, très agréable, chaleureux. »
Les mêmes mots reviennent. Tous ceux qui l'ont croisé au 35e RAP ou dans le monde du parachutisme civil décrivent un homme abordable et sympathique. Son décès brutal a jeté la consternation dans le milieu du parachutisme tarbais.

« Il était membre du club de Bouloc mais on le connaissait bien puisqu'on est tous des anciens du 35e RAP.Arnaud était un très bon sportif. Il était doué dans de nombreuses disciplines » estime le nouveau président du centre de parachutisme de Tarbes. « Il était vraiment un sportif complet, très affûté : il était très doué en parachutisme, mais aussi très fort en vélo, en course à pied » ajoute-t-il. « Arnaud était très abordable. Il avait toujours le sourire » se souvient un camarade de régiment, encore sous le coup de l'annonce de son décès.

Passionné de parachutisme, Arnaud Paramelle, qui avait le grade de brigadier-chef au 35e régiment d'artillerie parachutiste (RAP), travaillait activement à sa reconversion civile.

Il préparait un brevet d'état de parachutisme pour devenir moniteur. Arnaud Paramelle était un spécialiste de Free Fly, une discipline du parachutisme sportif : cela consiste à réaliser, par équipe de deux, en chute libre une série de figures têtes en haut puis tête en bas.

Membre de l'équipe de Free Fly du 35e RAP avec le brigadier-chef Pierre Perro, Arnaud Paramelle avait décroché un titre de champion de France de la spécialité en 2006 en Bretagne.

Bon anniversaire et félicitation à notre grand ancien
Que St michel le garde parmi nous encore longtemps

.
voilà un petit compte rendu de la dernière journée "portes ouvertes"
au 1er RPIMa à Bayonne ...

pour moi ev 5ans en juin 1966 au 1er RPIMa

brevet para n° 248871
brevet moniteur 2520

988 sauts 2500 h de vol

depart en retraite a 20ans de service 56 annuités en juillet 85



il faut dire que sans être une vielle baderne c'était une autre période,une autre façon de voir les choses

j'ai plus de 12 ans outre mer sur 20 de service aujourd'hui c'est impossible même les sauts
sont denrées rare plus de potentiel aérien

pour Marcel en mai 68 j'etais a la citadelle de Bayonne au peloton d'élevé sous officier

avec le capitaine DONGUY

Up

Cela mérite !

Faut la passer la portière !

Alors up aussi pour aider Oliv'.

Moi j'ai passé la porte cette nuit
j'ai sauté.......................non! pa sur la tête!

Bonjour à toutes et tous
Classe 74/04 - 1° RPIMA BAYONNE
Régulateur crypto-télégraphiste
BREVET 356730
Que de bons souvenirs de cette époque

Bonsoir les paras

RPIMA de BAYONNE, en tant que gendarme à ESPELETTE j'ai tourné en surveillance avec eux dans le cadre du terrorisme, il y avait également ceux de l'ETAP de PAU qui sautaient dans les montagnes en secteur d'UZTARITZ. J'ai cherché pendant une semaine après un chien de guerre qu'un sergent avait laissé sauvé dans la forêt dans le secteur frontalier de DANCHARIA. On ne l'a jamais retrouvé ce chien. Si mes souvenir sont bons il y avait également les paras de CASTELNAUDARY ou de PAMIERS qui venaient en renfort sur la compagnie de Gie de Bayonne. Patrouille avec les "MORMONS" leurs véhicule de transport de troupe, les TRM 2000.
Les Commandant BALAVOINE, le frère du chanteur Daniel BALAVOINE était commandant au RPIMA de Bayonne je pense.
Des gars carrés, de "milis" comme ont dit maintenant. J'en garde un excellent souvenir, excellent souvenir. Années 1987 à 1990.
Si parmi vous certains faisaient partie du lot et qui auraient participés à ces patrouilles, on ne sait jamais. En tout cas merci encore.

Juste une précision :
Il s'agit de "MARMON" et non de Mormon, petit véhicule tout terrain, en dotation dans les régiments para depuis 1970 environ (en remplacement des inusables GMC et autre U55)

Christian a écrit:

Juste une précision :
Il s'agit de "MARMON" et non de Mormon, petit véhicule tout terrain, en dotation dans les régiments para depuis 1970 environ (en remplacement des inusables GMC et autre U55)

C'est quand même des véhicules assez austères, d'ou la confusion.

Merci Lafayette pour la rectification. Marmon effectivement mais pas Mormon, ce n'est pas la même religion ....