Fermeture de l'école de CHATEAULIN ?

Voici un petit article de l'hebdomadaire "Le Télégramme" sur l'éventualité de fermeture de l'école de sous officier de Gendarmerie.

http://www.letelegramme.com/gratuit/generales/regions/bretagne/ecole-de-gendarmerie-le-rapport-vient-de-matignon-20080922-3841143_1469231.php

Veillez à lire le lien figurant sur cette page concernant le rapport complet .

Le dernier paragraphe sur la dissolution d'escadrons et le regroupement de brigades est "amusant". Dire que les gendarmes y sont prêts je ne suis pas sûr que ce soit la strict vérité...

Quand à la fermeture de Chateaulin, on a entendu tellement de choses à ce sujet que je préfère attendre les décisions officielles plutôt que de tomber dans d'obscures spéculations...

A la vue du nombre de réactions, je pense que beaucoup sont passés à côté du lien nommé "Note".
Car ce lien nous envoie sur un rapport qui parle aussi du nombre envisagé de fermeture de BT, EGM .
donc je vous le mets en direct :
http://www.letelegramme.com/static/ftp/Doc_du_jour/gendarmerie_chateaulin.pdf

Et pour ma reaction : il me semblait que le PR avait dit que l'armée n'était pas la pour amenager le territoire et que les elus n'auraient pas leur mot à dire, pourtant il semblerait que MAM "elle", elle protege l'école située dans sa région.

Le dernier paragraphe qui nous concerne le plus!

Gendarmerie : pas de quartier
Le rapport de Stéphane Bouillon ne s’arrête pas à la problématique de la restructuration des écoles de gendarmerie, il élargit sa réflexion aux brigades et escadrons. Et là aussi, pas de quartier. « Il est à noter que la gendarmerie pourrait sans doute faire bien d’autres efforts pour réduire ses effectifs dans le cadre de la RGPP (révision générale des politiques publiques) ». Encouragement du conseiller qui se traduirait par « la dissolution de 15 escadrons de gendarmes mobiles (au lieu de 7 prévus par le ministère de l’Intérieur) et le regroupement de 150 brigades territoriales (au lieu de 16 envisagées par Michèle Alliot-Marie) ». Stéphane Bouillon relève « qu’apparemment, les personnels de la gendarmerie seraient prêts. Il manque la volonté politique du ministre (Alliot-Marie, NDLR) qui s’y est fortement opposée ».