Ce n'est pas ignoré de ceux qui se considèrent encore comme jeunes retraités et qui entretiennent quelques relations privilégiées avec l'active.
Le Préfet n'est pas le supérieur hierarchique du cdt de groupement. Il ne le note pas. Il l'apprécie. Tout celà dépend bien sûr de la personnalité du militaire. Etre déférent, être disponible, n'est pas forcément être soumis.
Il y 'avait bien longtemps que le préfet en général et son chef de cabinet étaient tentés dans chaque département de donner des ordres à la gendarmerie. Ce n'est qu'une régularisation d'un fait. On rendait bien compte au dircab dans les cadre des 32600 adressés à la bandes quatre (regend, dirgend, dircab, et parquet) de l'action judiciaire et de tout fait laissant craindre pour l'ordre public. Quelques maires aussi tapaient sur les bassines à la manière de marmitons en fête, préferant tenir le discours sécuritaire à d'autres par simple calcul électoral.
Depuis 2002, le phénomène s'est ampliphié. Après les tentatives de l'oncle Charles (Pasqua) exerçant une OPA sur la gendarmerie, venait bien sûr, "joli thorax", super ministre de l'intérieur qui a grignoté les domaines réservés de la ministre des armées d'alors "MAM". Elle l'avait d'ailleurs sermoné, comme elle sermone aujourd'hui l'actuel minint pour ses déclarations à ressorts et qui tente de s'imitier dans la conduite des affaires judiaires, en proposant des lois, déjà existentes mais toujours sans effet et orientant le pays vers une justice à plusieurs vitesses, une justice soumise comme dans les romans de Sthendal au pouvoir en place.
La gendarmerie nationale a déjà été dans le giron du ministre de l'intérieur. Celà a laissé des traces, parce que l'attitude à adopter n'était pas simple même si gendarmes et policiers de l'époque restaient pour la plus grande partie de très bons citoyens. Mais un divorce avec la population s'était amorcé, raisons pour laquelle, il ne faut pas se leurrer les forces de l'ordre sont depuis appréciés par la population mais avec une certaine retenue.
Actuellement le pouvoir a fait sienne "la force publique", c'est contraire à la déclaration des droits de l'homme dont la France est pourtant à l'origine.
C'est dommageable. Ce n'est pas compris ou admis !!!!! par une population qui se veut démocrate sans parler d'idélogie politicienne. Il n'est pas compris pourquoi, on poste des policiers ou des gendarmes particulièrement compétents dans leur spécialité à des postes de Préfets, alors que dans ces postes les magistrats administratifs ont tant à faire pour l'emploi, l'industrie, l'harmonisation du territoire, la formation continue.......... C'est courrir le risque de la naissance non désirée donc d'un ordre nouveau : le pouvoir militaro policier, lequel a fait tant de dégats dans nombre de pays d'Europe et d'Amérique (La grèce des colonels) (l'Espagne de Franco) (le portugal de Salazar) (l'argentine de la junte) (cuba de castro) (la Colombie et ses luttes corruptives) (les USA de mac CARTHY) (L'URSS et ses dictateurs)
On peut être inquiet pour les institutions nationales.