Gendarmes malades

Suite aux diverses réunions ayant eu lieu dans les groupement et compagnie après le 29.11, il a été dit que les CSATGN remplaceraient les gendarmes dans les bureaux. Il a également était précisé que des places administratives seraient réservés aux gendarmes blessés en service, jusque là tout va bien, mais j'ai posé la question suivante : Qu'en est-il d'un gendarme se trouvant atteint d'une maladie non imputable au service ?
Réponse : Les places administratives seront réservés aux personnels blessés en service.

j'aimerais simplement savoir si quelqu'un a pensé aux autres blessés de la vie, qui ne mérite peut-être pas d'être mis sur le banc de touche.

Zappata, bon sujet de post. Nos malades sont vite oubliés. Dès qu'un Gendarme n'est plus "rentable" il se retrouve vite sur la touche et le temps fait vite son oeuvre....Une socièté humaine est celle qui n'oublie pas ceux qui souffrent. Quotidiennement, nous sommes amenés à gérer les coulisses de la socièté alors pourquoi oublier si vite les nôtres. Les aléas de notre vie privée et professionnelle ne doivent pas laisser ceux qui souffrent sur le bord du chemin. Cela éviterait bien des drames...

Pour les responsables du forum serait-il possible et réalisable de laisser le post de ZAPPATA afin que tous puissent donner des nouvelles de nos blessés et malades. je pense que ces derniers en seraient très touchés..

sachant qu'en plus de la maladie, ils ne toucheront plus les primes lamentable :evil:

Bonjour à vous

Concernant la question de savoir si nos camarades malades ou blessés de la vie seront ou ne seront pas laissés de côté, je pense que d'après les éléments que ous avons reçu de la part des officiers du groupement 79, des places leurs seront réservés comme pour les blessés en service.
Je ne peux pas et ne veux pas penser que nos supérieurs oublient nos camarades meurtris.

coindeau a écrit:

Bonjour à vous

Concernant la question de savoir si nos camarades malades ou blessés de la vie seront ou ne seront pas laissés de côté, je pense que d'après les éléments que ous avons reçu de la part des officiers du groupement 79, des places leurs seront réservés comme pour les blessés en service.
Je ne peux pas et ne veux pas penser que nos supérieurs oublient nos camarades meurtris.

Comme toi j'espère que personne ne sera oublié sur le chemin, personne ne peut-être laissé "de côté" sous pretexte que son état de santé ne lui permet plus d'être sur le terrain. L'expérience de tous est utile, c'est comme cela que l'on avance.

Le 13 novembre, sur un post, j'avais écrit ceci:

Citation :

...... je tiens à indiquer aux lecteurs qu’il y a quand même des hommes et femmes, Officiers et Sous-Officiers qui oeuvrent dans l’excellence à la DG, sur tout le territoire et des femmes bénévoles . Oui il faut le dire QUAND cela est une réalité. Voilà ma petite parenthèse, donc Chil, si tu en croises dans les bureaux dit leurs.....

attendez le 1er Décembre de voir pour votre avenir.

Le 29 novembre est passé.

Des annonces ont été faites et je le re-dis : je ne pense pas que les malades seront mis sur le bord de la touche.

Des personnes de valeur, à tous les niveaux, oeuvrent pour que ces personnels puissent poursuivre leur action professionnelle au sein de l’institution.

Il existera toujours une place pour ces gens là (car demain peut être que celui qui est en bonne santé et qui va prendre la décision de mettre les malades sur la touche, sera malheureusement lui aussi être touché par la maladie).

Je conçois que cela ne va pas du tout être évident pour ceux qui vont subir ce remaniement mais je mets tous mes espoirs pour que le nouveau statut ne les abandonne pas.

:joker:

Je crois qu'il faut laisser un peu de temps à la mise en place des mesures.

Je suis inapte terrain -blessure en service- et les éléments actuels font penser que l'on ne fera pas la différence entre le blessé "en" et le hors" service.
Pour ce qui touche la maladie -on ne parle plus de blesure-, la gendarmerie possède tout un étalage de mesures pour soit permettre aux personnels de rester en activité, soit si les problèmes sont trop graves déclenchés des procédures propres à voir jusqu'à quel point le personnel pourra rester en activité (je pense aux congé maladie, longue maladie ou longue durée).

Tout n'est pas parfait dans notre maison mais le social marche bien et certainement d'ailleurs mieux qu'ailleurs.

Celui qui peut travailler ne doit pas être lésé parce que d'un seul coup on a décidé de faire des économies -qui d'ailleurs si elles avaient été faites avant en prenant le temps de jauger la situation ne viendraient pas comme ca du jour au lendemain -
Ils existent des possibilités et il me semble que la hiérarchie et le DG ont compris que les coupes franches ne devaient pas prévaloir.

Donc, même s'il est difficile de rester serein, je pense qu'il y aura une solution pour chaque cas, car effectivement :
le bien portant d'aujourd'hui est peut être le malade de demain, que chacun se le dise à quelque échelon qu'il soit

Merci de vos réponses. Parler de ces problèmes est important car nos décideurs qui lisent notre forum en prendront connaissance...Continuons...

Je suis avec intérêt ce poste. Après 23 ans de service et suite à une augmentation de mon taux de glycémie, je suis passé l'année dernière à une injection nocturne d'insuline qui agit sur 24H, avec un comprimé par repas. Aussitôt, interdiction de terrain, de conduite (militaire...) pas de nuit, bref, plus grand chose à faire si ce n'est demandé un emploi sédentaire, ce que j'ai fait. Je vais mieux, mais les textes archaïques des armées qui parlent de cette maladie ne m'ont pas laissé le choix. Curieusement, un collègue policier atteint de la même maladie et ayant le même traitement, c'est vu interdire les services de nui, mais pas de jour ???? Il est temps que les textes évolues ! J'espère terminé les 10 ans qui me restent sans me voir dans l'obligation de changer de statut !

Courage LOLETIO.

:drapeaublanc: et on ne parle pas des dépressifs. enfin il n'y a qu'une seule chose que je ne comprends toujours pas car la gendarmerie est une force humaine non ?
mange du grain

:noncolère:

Alors que la plupart d'entre nous hésite à se faire porter pâle sachant qu'aucun intérimaire ne viendra renforcer l'unité et que les copains se taperont le boulot, il serait dommage que les malades soient remerciés sans préavis.

je fais confiance en nos chefs pour éviter de tels drames.

Oui, mais pas dans les compagnie, ni les CORG, ni les BDRIJ, ni ici, ni ici....
J'ai l'impression de revoir la pub sur "crétin.fr".....

Zappata a écrit:

Suite aux diverses réunions ayant eu lieu dans les groupement et compagnie après le 29.11, il a été dit que les CSATGN remplaceraient les gendarmes dans les bureaux. Il a également était précisé que des places administratives seraient réservés aux gendarmes blessés en service, jusque là tout va bien, mais j'ai posé la question suivante : Qu'en est-il d'un gendarme se trouvant atteint d'une maladie non imputable au service ?
Réponse : Les places administratives seront réservés aux personnels blessés en service.

j'aimerais simplement savoir si quelqu'un a pensé aux autres blessés de la vie, qui ne mérite peut-être pas d'être mis sur le banc de touche.

Il existe aussi des gendarmes qui se blessent en service et que l'on ne fait rien pour eux par exemple : pas d'inscription au registre tout en lui disant vous n'avez qu'à vous faire soigner. Puis pour certains quand ils sont presque guéri, il y en a qui font une rechute car il faut faire comme les autres si ils veulent conserver leur place au sein de son unité.
Il y en a qui souffrent de fibromyalgie (maladie sans traitement connu actuellement laissant souffrir la personne qui doit vivre avec la douleur), que doit il faire, se mettre en maladie ou continuer de travailler en prennant des anti-inflammatoires en continu tout en souffrant ?

tout comme il existe des gendarmes malades, non imputable aux services ( parce que certains se sont bien débrouillés pour que ce soit ainsi, une dépression ne peut pas être imputable au service !!) et sont sur les bans de touche : CLD ... On ne leur parle pas de leur trouver un emploi sédentaire, non .... Si ils ne se rétablissent pas, prolongement du CLd jusqu'à ce quils puissent regagner le terrain !!!!

Oui bien sur, le social marche trés bien en Gendarmerie ..... Tous les malades que je connais n'ont aucune ou trés peu de prise de nouvelles de la hiérarchie .... Ils se démerdent tout seul avec leur papier ... Et quant la hiérarchie s'apperçoit que le malade a fait une erreur dans ses démarches, et elle dit " Fallait nous contacter, on vous aurait aidé ..."
Ca c'est du social ???? ...

loletio a écrit:

Je suis avec intérêt ce poste. Après 23 ans de service et suite à une augmentation de mon taux de glycémie, je suis passé l'année dernière à une injection nocturne d'insuline qui agit sur 24H, avec un comprimé par repas. Aussitôt, interdiction de terrain, de conduite (militaire...) pas de nuit, bref, plus grand chose à faire si ce n'est demandé un emploi sédentaire, ce que j'ai fait. Je vais mieux, mais les textes archaïques des armées qui parlent de cette maladie ne m'ont pas laissé le choix. Curieusement, un collègue policier atteint de la même maladie et ayant le même traitement, c'est vu interdire les services de nui, mais pas de jour ???? Il est temps que les textes évolues ! J'espère terminé les 10 ans qui me restent sans me voir dans l'obligation de changer de statut !

Au fait, je te signale toi, quand il y a une promo dans ma BT, on boit un coup (avec modération s'entend). Et quand je parle de modération, je pense à ceux qui ne sont même pas annoncés. T'as de la chance d'être loin !
En ce qui concerne le sujet du post, je n'ai encore jamais entendu parler de "reclassement" pour un camarade blessé, mais si autant je suis persuadé que pour les accidents ou blessures en service, cela ne posera pas de problème, je n'en dirai pas autant pour le reste. Dans le civil on ne pose pas de questions ! T'es plus bon = dehors ! !
C'est la raison pour laquelle je conseille de prendre une assurance perte de salaire : un de mes anciens l'a fait à son arrivée et moins de 6 mois plus tard, il tombait "réellement" malade. Il n'est plus en Gie (retraite forcée au bout de 5 ans de congés longue maladie) mais il n'a jamais perdu le moindre centime.... Prévenir pour éviter de guérir ...............

Positive26 a écrit:

tout comme il existe des gendarmes malades, non imputable aux services ( parce que certains se sont bien débrouillés pour que ce soit ainsi, une dépression ne peut pas être imputable au service !!) et sont sur les bans de touche : CLD ... On ne leur parle pas de leur trouver un emploi sédentaire, non .... Si ils ne se rétablissent pas, prolongement du CLd jusqu'à ce quils puissent regagner le terrain !!!!

Oui bien sur, le social marche trés bien en Gendarmerie ..... Tous les malades que je connais n'ont aucune ou trés peu de prise de nouvelles de la hiérarchie .... Ils se démerdent tout seul avec leur papier ... Et quant la hiérarchie s'apperçoit que le malade a fait une erreur dans ses démarches, et elle dit " Fallait nous contacter, on vous aurait aidé ..."
Ca c'est du social ???? ...

Je trouve ton analyse un peu dure. La gendarmerie prend en compte les maladies ou blessures qui n'ont rien à voir avec le service.
Ailleurs un truc comme ca, on te remercie gentiment parce que t'es trop souvent absent de ton travail et c'est une cause de licenciement sans recours auprès d'un prud'hommes.

Regardons les choses de plus près quand même. La protection existe en gendarmerie et même si tout n'est pas parfait, certains devraient prendre exemple -pour une fois- sur cette gestion des personnels en difficulté.

NARDO, tu as raison en conseillant de prendre une assurance car en cas de décès par maladie la veuve ne perçoit qu'un petit capital de la Mutuelle gendarmerie et n'a qu'un mois pour se trouver un logement, déménager et se retrouver un travail. Après avoir arrêté bien souvent sa vie professionnelle au profit de celle de son mari elle se retrouve sans qualification et complétement perdue car "l'aide sociale" et l"assistance" des ex-collègues de son mari est éphémère lorsqu'elle existe....

Bonjour à tous,

Sur ce sujet, je peux apporter mon témoignage. En effet, après plus de vingt ans en unités de terrain (B.T.), j'ai malheureusement été touché, il y a quelques années, par une maladie qui m'a interdit de continué dans cette voie et ce du jour au lendemain. J'ai donc intégré un emploi sédentaire. Je dois dire que ma hiérarchie de l'époque (cdt cie, cdt de groupement) m'a été d'un grand secours dans mes démarches et s'est montrée à la hauteur de la situation. Je leur en suis particulièrement reconnaissant, car ce n'est pas facile de quitter le terrain pour les bureaux, c'est un autre métier. Voilà ce que je voulais dire. Non, la gendarmerie ne laisse pas tomber les siens qui pour une raison ou une autre, en service ou pas, ont un accident de la vie qui les empêchent de continuer dans les unités opérationnelles. J'ai également été et suis toujours très bien suivi par les médecins militaires qui se sont succédés au centre médical, et qui, à mon avis, sont trop souvent dénigrés à tord.

Pandore54 a écrit:

J'ai également été et suis toujours très bien suivi par les médecins militaires qui se sont succédés au centre médical, et qui, à mon avis, sont trop souvent dénigrés à tord.

C'est vrai mais dommage quand on rencontre un qui sort du lot.

Je raconte une anecdote :

au fond du trou, le médecin militaire dit qu'il va me faire interner. C'est mieux pour moi.
je refuse en lui disant qu'un internement n'est pas la solution. Il faut juste qu'on comprenne que j'ai du mal à digérer d'arrêter le terrain et que ma blessure ne me permet plus de vivre comme avant
il me dit soit, pas d'internement mais accepté de rencontrer un psychiatre.
Je dis ok pour le psychiatre
Avant de me partir il me dit que je dois lui promettre une chose.
Je lui demande quoi.
Promettez moi de ne pas..............vous suicider.
Je ne lui ai rien promis tellement c'était énorme d'entendre un truc pareil

Et pourtant c'était un jeune et pas vieux de la veille.

TOMMY a écrit:

Pandore54 a écrit:

J'ai également été et suis toujours très bien suivi par les médecins militaires qui se sont succédés au centre médical, et qui, à mon avis, sont trop souvent dénigrés à tord.

Avant de me partir il me dit que je dois lui promettre une chose.
Je lui demande quoi.
Promettez moi de ne pas..............vous suicider.
Je ne lui ai rien promis tellement c'était énorme d'entendre un truc pareil

Et pourtant c'était un jeune et pas vieux de la veille.

Voilà qui confirme qu'il y a des bons et des mauvais partout. Courage à vous deux.

Bonjour,
Un soutien au passage à tous ces ex collègues dont la vie leur a joué un très mauvais tour. Ne perdez pas patience, il est normal qu'au 21 siècle les choses commencent à se décanter, par contre j'ai beaucoup d'incertitudes quand au sort qui peut être réservé aux jeunes non de carrière!!!
Je ne vais pas me montrer pessimiste, il y a encore du chemin à faire dans cette vieille maison..
Avec toute ma sympathie.
Raymond.

:idea: j ai comme une idée qui me traverse l esprit
et qui rejoint une autre dont j ai déja fais part au sein de ma COB
--- nous connaissons tous la charge des annexes qui tournent autour d une enquete jud ( mij - mis - msg divers - anthropo - dactylo - adn - ttr etc) -
n y aurait il pas de la place pour nos collegues en difficulté et qui pouraient, pour ceux qui le peuvent, nous donner un solide coup de main en la matiere, ( implication au sein de l enquete pour les uns, soulagement pour les autres ) tous le monde y trouverait son compte -
de plus - ça lui permettrait d etre pointu sur ces techniques et éviterait peut être ces incessants et lassants retours entre nous et les bdrij et autres services

Bonjour à tous,
En ce qui me concerne, je suis atteinte d'une maladie invalidante depuis quelques années, et malgré le traitement de fond, entamé pour ralentir l'évolution de la maladie, celle ci me pose de plus en plus de problèmes pour le travail en unité.
Le médecin militaire a fait déclenché les démarches pour que je sois placée dans un travail sédentaire adapté à cette maladie, et le commandement a bien pris en compte les difficultés que je vivais au quotidien.
Si tout va bien (côté administratif j'entends...), en 2008, je devrais obtenir ma mutation.
Donc, à ce niveau, je n'ai vraiment pas à me plaindre, ni du médecin militaire, ni de ma hiérarchie.

je voudrai repondre au sujet.... c'est drole pour personne d'etre blessé ou malade... mais quand je lis les messages je constaste ( et j'ai eu des temoignages) qu'en gendarmerie il y a plus de soutien que dans le civil.... si vous etes blessé ou malades dans le civil vous etes en arret pendant un certains temps puis une commission de la secu demande eventuellement un poste adaptés a votre problème et si dans l'entreprise il n'y a pas de poste possible pour vous et bien c'est la porte et après vous vous debroullés vous etes inscrits a al COTOREP et on essaie de vous trouver une place je dis bien on essaie mais je connais des personnes qui ont eu des operations, des problèmes de dos, et a qui on a rien retrouvé... et qui sont carrément dans la misere.... mais je pense qu'il y a trop de difference entre le civil et les categories ... gendarmerie.... armée de terre je connais une personne adjudant dans l'armée de l'air qui s'est trouvée veuve son mari etait en service et elle m'a dit si j'avais eté dans le civil jamais je n'aurai eu les aides dont j'ai beneficié.... c'est un peu dommage qu'il est 2 poids 2 mesures, je connais une autre personne dont le mari etait motar en gendarmerie et qui a ete tué en service.... elle a eu et elle a encore des aides que jamais elle n'aurait eu si dans le civil son mari etait decedé d'un accident du travail, qu'on coprenne bien mon message, il ne s'agit pas d'opposer les corporations les une aux autres, mais ce sont des constatations sur les decalages des aides et des soutiens

escapade,

les gendarmes font un métier à part et donc la reconnaissance de la nation commence par respecter peut être ses blessés et ses malades ...

Tout ça pour dire, que le métier de gendarme est vraiment à part au sein de la République .... et donc il n'y a pas deux poids deux mesures.

nelkka a écrit:

escapade,

les gendarmes font un métier à part et donc la reconnaissance de la nation commence par respecter peut être ses blessés et ses malades ...

Tout ça pour dire, que le métier de gendarme est vraiment à part au sein de la République .... et donc il n'y a pas deux poids deux mesures.

Je ne veux pas lancer ici de polémique. Cependant je tiens à rappeler que dans les armées, le passage de carrière se passe beaucoup plus tard dans la carrière (10 voire 15 ans de service, alors qu'en gendarmerie c'est dès 4 ans de service). Les conditions de traitement des personnels sous contrat sont totalement différentes (congés de maladie.....)

En cas de maladie, de blessure en service, le fait d'être de carrière permet de proposer des postes sédentaires à ces personnels et la gendarmerie a de ce côté un traitement au cas par cas.

moua

Ou veux-tu en venir ?

Peux-tu étayer ton dernier post ?

Regarde ce lien, surtout le tableau et tu verras que le fait de passer de carrière est beaucoup plus "avantageux" face à la maladie.

http://www.agpm.fr/pages/03_militaires/01_active/fiches_pdf/fiche_153.pdf

Et en gendarmerie à partir de 4 ans de service, il est possible de passer de carrière. Dans les armées c'est 10 voire 15 ans.

Cordialement

Autre lien intéressant : http://www.agpm.fr/pages/03_militaires/01_active/fiches_pdf/fiche_150.pdf

Mais ou veux-tu en venir lorsque tu dis :

Citation :

Et en gendarmerie à partir de 4 ans de service, il est possible de passer de carrière. Dans les armées c'est 10 voire 15 ans.