Rappel du premier message :C'est le poème qu'une maman a écrit à travers l'esprit de sa petite fille disparue à l'âge de dix huit mois.
Cette petite fille a fait un arrêt cardiaque à l'âge de cinq mois dans la rue en plein hiver,
et qui grâce à une patrouille de gendarmes, leurs réflexes et leur savoir-faire a été conduite à la clinique et a pu récupérer.Là où leur travail aurait dû s'arrêter, eux l'ont continué en s'occupant de la maman et en rendant visite à l'hôpital, ou en téléphonant pour prendre des nouvelles de la petite sous oxygène jour et nuit.
Quand la petite fille s'est éteinte, ils étaient là, se relayant pour réconforter, et , la maman a vu pour la première fois une larme couler.
Des gendarmes, elle en a rencontré beaucoup, avec ou sans grade mais ils avaient tous la même compréhension et la même gentillesse.
Car les gendarmes sont des êtres humains avec un grand coeur rempli d'humilité et générosité, et ne sont pas seulement là pour sévir mais pour aussi aider, prévenir, sauvegarder.
Donc elle a fait ce poème en leur disant :
Merci...
Dans le brouillard de Février
Tu as tout fait pour me sauver
Gendarme quand je t'ai rencontrée
Toi seul m'a aidée
A l'hôpital, souvent tu as téléphoné
Pour t'informer de mon état de santé
De maman tu t'es inquiétée
Et à chaque fois, tu l'as réconfortée
Lorsque au bout de mon année
Je me suis endormie bien fatiguée
N'aie pas honte de t'être laissé aller
Car seule, maman t'a vu pleurer
Merci à vous tous pour les innombrables heures effectuées, votre abnégation et votre probité. Essayez de conserver l'esprit gendarmerie, malgré les nuages qui s'amoncellent dans le ciel Français