FLASH - Un soldat français tué en Afghanistan .

Un soldat français engagé avec les forces de l'Otan en Afghanistan est décédé hier après un tir d'artillerie, a annoncé ce matin l'Elysée, en précisant qu'il s'agissait d'un brigadier du premier régiment de hussards parachutistes de Tarbes.

Ce décès porte à 44 le nombre de soldats français morts en Afghanistan depuis leur déploiement dans ce pays en janvier 2002. Le brigadier, dont l'identité n'a pas été précisée, avait pris place dans un escadron blindé, et le poste de combat où il se tenait a subi un tir d'artillerie d'insurgés le blessant ainsi qu'un interprète afghan, explique la présidence de la République dans un communiqué.

Les deux blessés ont été évacués sur l'hôpital de Kaboul "où le brigadier est décédé de ses blessures", est-il ajouté. Nicolas Sarkozy, qui a appris "avec une grande tristesse" ce décès vendredi soir, "présente à la famille de la victime et à ses proches ses plus sincères condoléances et s'associe à leur douleur. Il souhaite un prompt rétablissement au blessé. Ses pensées vont également à ses compagnons d'armes", indique encore le communiqué.


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Condoléances à sa famille et à ses proches ! Courage à ses frères d'Arme ! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

toutes mes condoléances à la famille de ce militaire, cette guerre ne finira jamais.
Comment dans un pays le plus pauvre au monde remettre au travail (pour toucher une misère) des personnes n'ayant connu que la guerre ?

Sincères condoléances.

Toutes mes condoléances à sa famille et à ses proches. Courage à ceux qui sont sur place.

Un militaire français du 1er RHP tué en Afghanistan (actualisé)


Un brigadier français du 1er Régiment de hussards parachutistes de Tarbes a été tué vendredi en début de soirée en Afghanistan par un tir indirect (mortier ou roquette) alors qu'il se trouvait sur le poste de combat avancé Hutnik, dans la vallée de Tagab en Kapissa. Evacué vers l'hopital de Kaboul, il est mort de ses blessures. Un interprète afghan a également été grièvement touché par ce tir. 150 militaires occupent ce poste avancé, baptisé du nom d'un légionnaire tué au combat. Les hussards de Bercheny y servent au sein d'un peloton blindé équipé d'AMX 10 RC. Ce nouveau tué porte à 44 le nombre de militaires français morts en Afghanistan, dont 8 depuis le début de l'année.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Il s'agit de Steeve Cocol, 29 ans. Il s'était engagé au 1er régiment d'artillerie de Belfort en décembre 2004 et avait rejoint le 1er regiment de hussards parachutistes en décembre 2006, unité avec lequel il est intervenu au Tchad et une première fois en Afghanistan. Il était revenu dans ce pays en janvier dernier, comme chargeur à bord d'un AMX-10 RC. L'armée de terre le décrit comme un "parachutiste particulièrement solide et rustique, faisant preuve d’une rare force de caractère, restant toujours souriant même dans les conditions difficiles. Motivé et volontaire, toujours soucieux de bien faire, bienveillant vis-à-vis des plus jeunes, il marque ses chefs comme ses pairs par sa bonne humeur communicative." (Photo armée de terre)

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Courage à eux là bas et sincéres condoléances à la famille et à ses proches

Un de plus, 44 de trop, pensée émue pour la famille, les proches et les camarades du brigadier COCOL.

"""""Le corps du militaire sera rapatrié en Guadeloupe, auparavant il aura droit aux honneurs militaires lors d’une cérémonie à Tarbes."""""""

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"Mon maillot n'est pas bleu..."

Voici le courrier, que j'ai reçu ce matin, du caporal Lionel X.
"Ces jours-ci, je n'entends et ne lis qu'une chose : l'énorme malaise dû à l'affaire Anelka et au parcours de l'équipe de France. Je resens malheureusement de la violence et même de la haine envers tout cela. Et oui, moi, modeste caporal de l'armée de terre francaise, qui aura été séparé onze mois de sa fiancée et future épouse, car elle aussi est militaire.

Séparé pourquoi ? Mon maillot n'est pas bleu, dans mon dos, la plupart du temps, un gilet balistique et une musette de 40kg. Devant, pas de sponsors, un galon basse visibilité. Sur mon visage ? La tristesse, oui. Non pas pour m'incruster sur des plateaux télé à pleurer ma peine de n'avoir pas, soit-disant, représenter mon pays à la Coupe du monde de football. Mon salaire mensuel, pardon ma solde, ne dépasse pas 4 chiffres. Mais tous les jours je sers mon pays, ce pays qui m'a vu naitre, ce pays pour lequel, il y a peu, un camarade est tombé en Afghanistan, defendant une partie de la liberté du monde.

L'indignation de voir vos collegues journalistes ne relayer tout cela qu'avec une modeste bande passante en bas de l'écran, ou par un communiqué de quelques secondes me vexe, m'indigne. Servir son pays n'a-t-il plus de signification ? Nous a-t-on oublié ?"

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Je pensais avec émotion à ce soldat tombé pour la France dans une indifférence contrastant avec le battage médiatique pour cette équipe de football censée représenter ce même pays. Quel contraste avec ces hommes qui se battent avec courage et abnégation et ces joueurs qui utilisent nos couleurs pour se remplir les poches en oubliant leur mission qui est tout d'abord d'honorer leur pays.
Certains disent que cette pitoyable équipe refléte la société française, c'est peut-être vrai, mais je préfére voir l'Armée comme image de notre france, elle qui comprend toutes les races, toutes les couleurs, toutes les religions, unies pour servir leur pays.
Toutes mes condoléances à sa famille.

j'ai honte pour les pseudo "joueurs de l'équipe de France" par contre je suis fier de nos soldats qui eux donnent jusqu'à leur vie pour la France ceci malheureusement dans l'indifférence générale. Voilà où on en est arrivé.
sincères condoléances à la famille de ce militaire

PRIMO :
SECUNDO :
TERTIO :

Photo de David Cloete






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"Mon maillot n'est pas bleu..."
Voici le courrier, que j'ai reçu ce matin, du caporal Lionel X.
"Ces jours-ci, je n'entends et ne lis qu'une chose : l'énorme malaise dû à l'affaire Anelka et au parcours de l'équipe de France. Je resens malheureusement de la violence et même de la haine envers tout cela. Et oui, moi, modeste caporal de l'armée de terre francaise, qui aura été séparé onze mois de sa fiancée et future épouse, car elle aussi est militaire.
Séparé pourquoi ? Mon maillot n'est pas bleu, dans mon dos, la plupart du temps, un gilet balistique et une musette de 40kg. Devant, pas de sponsors, un galon basse visibilité. Sur mon visage ? La tristesse, oui. Non pas pour m'incruster sur des plateaux télé à pleurer ma peine de n'avoir pas, soit-disant, représenter mon pays à la Coupe du monde de football. Mon salaire mensuel, pardon ma solde, ne dépasse pas 4 chiffres. Mais tous les jours je sers mon pays, ce pays qui m'a vu naitre, ce pays pour lequel, il y a peu, un camarade est tombé en Afghanistan, defendant une partie de la liberté du monde.
L'indignation de voir vos collegues journalistes ne relayer tout cela qu'avec une modeste bande passante en bas de l'écran, ou par un communiqué de quelques secondes me vexe, m'indigne. Servir son pays n'a-t-il plus de signification ? Nous a-t-on oublié ?"

coïncidence un billet paru le 1er juillet sur la nouvelle république du centre ouest (envoyé depuis pas mal de temps).


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" Les grands esprits se rencontrent " ......