Lu dans "MARIANNE" de cette semaine, en pages centrale, sur 6 colonnes :
[size=18]Contre-enquête sur l'opération "Taîga"
[size=24]DERRIERE LES SABOTEURS DU RAIL, LA GUERRE DES POLICES
[size=18]EN CONFIANT HÂTIVEMENT AUX GENDARMES L'ENQUETE SUR UN GROUPE DE PRESUMES ACTIVISTES FILES PAR LA POLICE, LA MINISTRE DE L'iNTERIEUR A RANIME L'ETERNELLE QUERELLE .
[size=12]EXTRAITS :
Lorsque survient la deuxième vague de sabotages des lignes TGV .../...
Michèle Alliot-Marie choisit de placer l'enquête sous la responsabilité directe du directeur général de la gendarmerie nationale. Elle ne le sait pas, mais elle vient de lancer un nouvel épisode de la guerre que se livrent ouvertement depuis plusieurs mois police et gendarmerie, appelés à travailler sous le même toit à partir du mois de janvier prochain.
La police, plus précisément la direction centrale du renseignement intérieur, est en effet depuis le mois de mars dernier sur la piste d'un couple de jeunes français signalés par le F.B.I .../...
Le bras de fer est très dur. Forts de l'appui de la ministre, les gendarmes en rajoute sur les éléments en leur possession .../...
La ministre de l'Intérieur n'a t'elle pas fait une confiance aveugle à ces gendarmes qu'elle couve à en rendre les policiers jaloux ? .../...
Pour l'Elysée et la ministre, l'ennemi intérieur à été neutralisé, l'opinion rassurée, c'est l'essentiel.
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Alors, qui a dit que les gendarmes n'étaient pas chouchoutés ...