Cher Monsieur,
Avant de développer mon point de vue, soyez assuré que mes diatribes ne s'adressent pas aux gendarmes ou aux policiers (bien qu'ils aient le choix, et ont dans une certaine mesure, le droit de prendre des initiatives) mais plutôt à ceux qui donnent les ordres, et dont vous, mesdames, messieurs, êtes les exécutants. Plus précisément, lorsque vous êtes planqués avec des jumelles à visée laser, sur une route en longue ligne droite, où la visibilité est excellente, sans aucune zone accidentogène, que je contreviens aux règles, vous m'arrêtez et me verbalisez, vous aurez fait votre métier. Or la cible pour le contrevenant, ce sera vous, et non pas ceux qui vous auront donné l'ordre de vous mettre en surveillance pour faire du chiffre, car c'est bien là le véritable mobile de cet acharnement répressif. J'en viendrai plus loin aux résultats engendrés par la mégalomanie de nos dirigeants.
Je ne suis guère étonné que des gens s'en prennent (mal évidemment) à ces machines à sous avec lesquelles on perd à tous les coups, que sont les radars fixes, et qui font de la France le plus grand casino à ciel ouvert de la planète.
Il est patent, établi, que ces appareils sont spécialement conçus et installés pour racketter les honnêtes gens, en toute illégalité.
Sous le prétexte, fallacieux, de sécurité, on fait tout et n'importe quoi. Les radars fixes, mobiles, jumelles à visée laser, et autres gadgets, ne sont que les avatars d’une politique aussi imbécile que les lois qui la régissent. Mon Bien Aimé Frère Charles Secondat, Baron de la Brède et de Montesquieu, disait la chose suivante : « Ce n’est pas parce que l’ont fait une loi que la chose est juste. Mais c’est parce que la chose est juste, qu’il faut faire une loi.» Ces sages paroles, ont-elles encore un sens dans un monde, où la voyoucratie est devenue la règle absolue ?
L'équation est à non pas douter d'une simplicité enfantine, pour ne pas dire "infantile". La prévention coûte de l'argent, la répression en rapporte.
Le gouvernement, via son vecteur que sont les médias, se gargarise de la diminution des accidents mortels sur les routes de France. Très bien. Une vie est une vie, et elle n’a pas de prix. Ça, c’est l’avers de la médaille. Voyons le revers. Depuis que les permis de conduire sont annulés par dizaines de milliers chaque année (70.000 en 2007), quel est le bilan ? 3 à 4 millions de personnes, voire davantage, roulent sans permis, ni assurance. Sont-elles condamnable ? Sur le plan pénal oui. Sur le plan humain certainement pas. Je pense au père de famille honnête, qui a besoin de sa voiture pour aller travailler et nourrir sa famille, victime tantôt du zèle imbécile de quelques « pinots » se croyant investis de je ne sais quelle mission divine, tantôt de sa distraction. Ces bons pères de famille, sont des dizaines de milliers. Résultat, le gouvernement se targue des bons résultats obtenus par une répression sans limites, en omettant soigneusement de donner les chiffres des dizaines de milliers de familles détruites, plongées dans la misère, par l’inconséquence de nos dirigeants.
Que l’on me comprenne bien. Je ne cautionne pas les fous du volant, qui eux aussi, par leur inconséquence, brisent la vie d’une famille en tuant l’un de leurs proches.
Ce que je condamne, c’est le système répressif, totalement disproportionné, au vu de la réalité.
En Allemagne, Pays que je connais bien car frontalier, il y a moins de morts sur les routes qu’en France, pour une population supérieure de 25 %.
Ce qui se passe à l’heure actuelle, ne reflète que les prémices de ce qui va se passer dans un avenir très proche. Fichage systématique de tous les citoyens, par l’implantation de la puce sous-cutanée « Verichip ». Généralisation de caméras de vidéo surveillance, j’en passe et des meilleures.
Savez-vous qui est derrière tout ce dispositif ? Les Illuminatis. Tous membres du groupe de Bilderberg, créé en 1954 par le Prince Bernhardt des Pays-bas, ancien officier SS, soutenu par les incontournables Henry Kissinger et Rockefeller.
Je m'arrête là pour ce soir. Mais le pire est à venir.