Sainte-Geneviève aux Invalides

Sauf erreur de la rédaction, il n'avait pas été mis en ligne sur G&C, voici donc le discours de Sainte-Geneviève 2008 du général Gilles :

Citation :

Allocution du Général d’Armée Roland GILLES
Directeur général de la Gendarmerie nationale,
à l’occasion de la Sainte-Geneviève
le mercredi 26 novembre 2008, aux Invalides.

La Sainte Geneviève, qui réunit partout en France les gendarmes, leurs familles et les amis de la Gendarmerie, c'est à la fois un moment de célébration rituelle de nos valeurs et l'occasion d'un temps de rencontre et de convivialité.

Dans l'échange et dans l'ouverture, l'occasion nous est offerte de ressaisir ce qui construit notre identité et de réaffirmer, pour nous-mêmes et pour ceux qui nous entourent, les vertus auxquelles nous sommes attachés. Il est vrai que la période actuelle de changements confère à cette célébration une importance particulière dans un contexte sans doute moins troublé que ne le voient certains pressentiments mais marqués j'en conviens par un certain nombre de difficultés.

Elles tiennent, ces difficultés, aux conditions pratiques de notre changement de ministère qui laisse entrevoir une nouvelle donne institutionnelle – nouvelle donne qui nous impose de nous adapter, je le concède avec un volontarisme accru :

- Nous découvrons le poids des syndicats de police au sein du ministère de l'intérieur : qu'à cela ne tienne ! Nous en prenons acte et nous attacherons à anticiper davantage et à améliorer notre système de concertation pour obtenir non pas l'égalité mais l'équité, non pas l'unicité mais la parité ;

- Nous sommes confrontés avec une certaine acuité à la question des liens entre la hiérarchie préfectorale et notre hiérarchie militaire : qu'à cela ne tienne ! Comme nous l'avons toujours fait nous saurons demeurer un outil intégré et loyal à la disposition des représentants de l'État déconcentré tout en conservant une unité qu'une majorité de parlementaires souhaite nous voir conserver. A mon invitation Michèle ALLIOT MARIE à conforté la semaine dernière à Montluçon le rôle de la hiérarchie de la Gendarmerie, nos zones de compétence et nos missions.

- L'adoption de la loi sur la Gendarmerie est reportée : qu'à cela ne tienne ! Nous mettrons à profit le temps qui reste pour continuer à travailler sur les valeurs qu'elle doit épouser et les garanties qu'elle doit offrir.

- Nous entrons dans un ministère nouveau qui exige de nous de nouvelles habitudes : qu'à cela ne tienne ! Ne sommes-nous pas depuis toujours l'Arme de l'adaptation ?

Et n'est-il pas possible de considérer que nous allons apporter un certain nombre de nos qualités au sein de ce ministère qui est appelé à prendre une dimension nouvelle grâce à notre arrivée ? En réalité nous le faisons déjà et c'est pour cela que je veux rapidement disposer d'un bureau place Beauvau. Ces difficultés tiennent également aux contraintes budgétaires que nous devons affronter, comme l'ensemble des administrations, contraintes qui ont le mérite de nous imposer un effort de modernité en lequel il nous faut voir une chance pour l'avenir. Je ne cache pas que la Sainte-Geneviève de l'année 2008 ne sera l'occasion d'aucune annonce positive sur les moyens et les effectifs. Pour autant il nous faut, face à une adversité dont je reconnais volontiers l'existence, continuer à avancer en restant groupés – groupés autour des vertus fondamentales qu'il nous est donné une fois par an de célébrer. Ces vertus qui ne sont pas de simples décorations sorties d'un tiroir et apposées une fois l'an comme des médailles au revers de notre travail quotidien.

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Elles constituent bien depuis plusieurs siècles les piliers de notre sagesse et les fondements de notre action :

- Ce sont elles qui ont permis à la gendarmerie de tenir son cap au cœur des temps difficiles qu'elle a traversés ;

- Ce sont elles qui lui ont permis de toujours s'adapter sans jamais s'altérer ;

- C'est sur elles que repose son efficacité quotidienne ;

- Ce sont elles enfin qui colorent d'une teinte si particulière la façon singulière qu'elle a de s'acquitter de chacune de ses missions de sécurité et de souveraineté.

Ces vertus je les vois parfaitement résumées dans les vers mémorables que Charles PEGUY a consacrés à Sainte-Geneviève :

«Et quand le soir viendra qui fermera le jour
C'est elle la caduque et l'antique bergère
Qui ramassant Paris et tout son alentour
Conduira d'un pas ferme et d'une main légère».

La Gendarmerie que nous célébrons aujourd'hui, je la vois volontiers comme cette caduque et antique bergère :

- Antiquenotre Institution l'est dans la mesure où elle se présente aujourd'hui adossée à huit siècles d'une histoire quelle a traversée avec assez de constance pour pouvoir prétendre en avoir hérité une véritable somme de sagesse. Je veux bien qu'elle soit antique, notre Gendarmerie, si c'est en posant la mémoire au cœur de la définition de l'avenir et de la modernité.

- Caduquenotre Institution l'est dans la mesure où, ne s'étant jamais départie de ses valeurs, il peut arriver aujourd'hui qu'elle semble en décalage avec son temps – mais il s'agit alors d'une caducité non pas subie mais fièrement assumée. Je veux bien qu'elle soit caduque, notre Gendarmerie, si c'est en continuant à ancrer le service public dans les valeurs de discipline et de sacrifice.

- Bergèrenotre Institution l'est dans la mesure où, en étant pleinement investie dans l'action de surveillance et de veille de la population sur le territoire, elle exerce dans un esprit de totale disponibilité une tâche à la fois humble et noble. Je veux bien qu'elle ne soit qu'une bergère, notre gendarmerie, si elle s'acquitte de sa mission avec le dévouement et la loyauté que cette profession exige.

Comme Sainte-Geneviève la Gendarmerie, étant nationale, ramasse Paris et tout son alentour, c'est à dire veille, sur la quasi-totalité du territoire, à l'accès égal de la population auservice public de sécurité.

Comme Sainte-Geneviève la Gendarmerie conduit son action d'un pas ferme et d'une main légère :

- Elle conduit son action dans la mesure où, militaire dans l'âme, elle cherche à réduire l'incertitude et à toujours déployer sa force de façon raisonnée et maîtrisée. De la brigade territoriale isolée au GIGN, c'est une seule et même préoccupation qui s'impose aux gendarmes : celle de réagir avec discipline à l'ensemble des situations qui se produisent – Celles de conduire la manœuvre au lieu de se laisser conduire par les événements.

- Elle conduit d'un pas ferme c'est à dire qu'elle marche au pas militaire qui est à la fois uniforme – nous avançons ensemble, et rustique – nous passons partout. Je veux voir dans ce pas ferme le symbole de la loyauté indéfectible de la Gendarmerie qui cherche à accomplir sa mission sans faiblir quelles que soient les circonstances. C'est ce pas ferme qui lui a permis de traverser tant d'époques en veillant à la sécurité des Français ; c'est lui qui lui permet de répondre aujourd'hui aux attentes des Français et d'envisager sereinement l'avenir.

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C'est lui enfin qui nous rappelle que la Gendarmerie est une force armée capable de faire face efficacement aux menaces.

- Elle conduit d'une main légère c'est à dire qu'elle sait faire preuve de souplesse et qu'elle a construit une grande partie de son efficacité sur son sens poussé de l'adaptation. C'est cette main légère qui nous rappelle que la gendarmerie est une force humaine qui met en œuvre une stratégie de sécurité pour bien plus que contre la population. C'est elle enfin qui porte la dimension essentielle à notre arme de la proximité.

Aujourd'hui plus que jamais, alors que les changements que connaît l'architecture de sécurité intérieure nous réorientent vers le ministère de l'intérieur en respectant intégralement l'intégrité de notre identité de force armée, nous communions tous ensemble aux vertus de l'institution que nous aimons.

Quelles sont ces vertus ?

Je crois que ce sont simplement les vertus cardinales – la prudence, la tempérance, la force et la justice. La prudence, c'est cette disposition pratique qui nous permet de discerner en toutes circonstances le bien véritable et à choisir les justes moyens de l'accomplir. Conservons-la toujours cette vertu qui fonde notre loyauté et qui nous permet, dans un esprit de rigueur et de proximité, d'assurer avec discipline et justesse la sécurité de la population sur le territoire.

La tempérance, c'est cette disposition à la maîtrise de la volonté sur les instincts qui nous permet de maintenir l'équilibre dans la répression. Conservons-la toujours, cette vertu qui nous vaut d'être appelée «force humaine» et nous permet, de l'intervention quotidienne de la Gendarmerie départementale au maintien de l'ordre par la Gendarmerie mobile, de fournir une réponse graduée et proportionnée à toutes les situations rencontrées.

La force, c'est cette disposition à la fermeté et à la constance qui nous permet en tout temps et en tous lieux de surmonter les obstacles et d'accomplir notre mission. Conservons-la toujours, cette vertu qui nous rappelle que nous sommes essentiellement une force armée – c'est à dire une Institution apte à servir en tout temps et en tous lieux dont les responsabilités interdisent toute faiblesse.

La justice, c'est cette constante et ferme volonté de donner à chacun ce qui lui est dû.

Conservons-la toujours, cette vertu qui donne un sens à notre force et éclaire en permanence notre action. Inlassablement pratiquons-la dans nos rapports avec nos concitoyens mais également au sein-même de notre Institution et considérons-la toujours comme notre fil d'Ariane au labyrinthe de l'histoire. Je souhaite que ces vertus soient placées au fondement de notre avenir. Et que les changements qui nous attendent soient pour elles l'occasion d'une révélation éclatante bien plus que d'une érosion progressive – voilà je crois ce qui ne dépend que de nous.

En ce jour de célébration je les «déclare» donc à nouveau consubstantielles à la Gendarmerie, ces vertus en dehors desquelles il n'existe pas d'avenir pour elle – ces vertus en dehors desquelles l'édifice serait «nul et sans effet». Alors mes chers Amis je vous demande solennellement de le décider avec volontarisme, l'avenir qu'ensemble nous sommes appelés à bâtir, et de les déclarer avec fierté, les vertus que nous aimons et que nous portons.

Qu'à cela ne tienne!
-nous nous faisons ent...par la police
- nos droits fondamentaux sont bafoués (CEDH)
- notre grille indiciaire est à la traine de la fonction publique
- nos grades ont tous été dévalués..
- nous faisons ent... sur nos QL...l'ISSP...
- Le CFMG ne sert à rien ...
- nous passons sous la tutelle de la police et de ses syndicats......
Qu'à cela ne tienne :
Cette année 2009 distribution de PROZAC pour tous les Gendarmes! VIVE le MASOCHISME!

tout va bien dans le meilleur des mondes !

Euh ça change de d'habitude ???? j'en ai pas l'impression - dans le prochain paquetage, il y aura la perception du tube de vaseline !!!!

MERCI MON GENERAL!!!!!
TOUT CELA ME CONFORTE DANS L IDEE QU AUCUN DE NOS GRANDS CHEFS N A VOULU QUE NOUS RESTIONS VRAIMENT DES SOLDATS.
MAIS C EST VRAI NOS PATRONS SONT DE VERITABLES POLITIQUES !!!!
DONC ILS MENENT LE MEME COMBAT QUE CES DERNIERS.
J ESPERE QUE CE PASSAGE SERA BENEFIQUE AUX MILITAIRES DE NOTRE ARME. MAIS QUAND ON VOIT COMMENT LA TRANSFORMATION SE FAIT C EST INQUIETANT. PAS DE FRANCHISE PAS D HUMANITE ON IMPOSE. MAIS ME DIREZ VOUS AVANT C ETAIT PAREIL !!!!!
BONNE ANNEE ET BEAUCOUP DE COURAGE.

Discours du DG : ................ dans un contexte sans doute moins troublé que ne le voient certains pressentiments mais marqués j'en conviens par un certain nombre de difficultés. Ah bon, je suis rassuré, il semblerait que notre Patron soit au courant de nos difficultés. Ouf, j'avais peur qu'il n'ait pas été informé.

Elles tiennent, ces difficultés, aux conditions pratiques de notre changement de ministère qui laisse entrevoir une nouvelle donne institutionnelle – nouvelle donne qui nous impose de nous adapter, je le concède avec un volontarisme accru : ah ? ? ! tiens donc, va falloir que je reprenne un dico : on m'impose de m'adapter mais faut que je sois volontaire. Ca doit être çà qu'on appelait les volontaires désignés d'office, non ?

Nous découvrons le poids des syndicats de police Ben on y a mis le temps ! au sein du ministère de l'intérieur : qu'à cela ne tienne ! Nous en prenons acte et nous attacherons à anticiper davantage et à améliorer notre système de concertationCHICHE ! ! pour obtenir non pas l'égalité mais l'équité, non pas l'unicité mais la parité ;

Nous sommes confrontés avec une certaine acuité à la question des liens entre la hiérarchie préfectorale et notre hiérarchie militaire : qu'à cela ne tienne ! Comme nous l'avons toujours fait nous saurons demeurer un outil intégré et loyal à la disposition des représentants de l'État Ben tiens ! On applaudira poliment quand une Ministre viendra nous dire qu'elle continue dans la même lignée que celle qu'elle a choisie. Vous vous souvenez ? Cette même ministre qui disait que les gendarmes ne valaient rien en judiciaire déconcentré tout en conservant une unité qu'une majorité de parlementaires souhaite nous voir conserver. A mon invitation Michèle ALLIOT MARIE à conforté la semaine dernière à Montluçon le rôle de la hiérarchie de la Gendarmerie, nos zones de compétence et nos missions

L'adoption de la loi sur la Gendarmerie est reportée : qu'à cela ne tienne ! Nous mettrons à profit le temps qui reste pour continuer à travailler sur les valeurs qu'elle doit épouser et les garanties qu'elle doit offrir.

Nous entrons dans un ministère nouveau qui exige de nous de nouvelles habitudes : qu'à cela ne tienne ! Ne sommes-nous pas depuis toujours l'Arme de l'adaptation ? Té pardi ! c'est qui, qui s'adapte ?

Et n'est-il pas possible de considérer que nous allons apporter un certain nombre de nos qualités au sein de ce ministère qui est appelé à prendre une dimension nouvelle grâce à notre arrivée ? En réalité nous le faisons déjà et c'est pour cela que je veux rapidement disposer d'un bureau place Beauvau. Euh, çà c'est logique ! Quand on sait que le dircab et le CROGEND sont dans une espèce de sous-sol sans la lumière du jour ! Moi même j'ai plus d'espace et de lumière que Childéric ! ! ) ! Ces difficultés tiennent également aux contraintes budgétaires que nous devons affronter, Té pardi ! Nos Cdts de Région nous assurent que le budget alloué partira en grande partie dans le paiement de l'indiciaire .... euh, rappelez-moi comment les augmentations des soldes ont été réparties ? ? comme l'ensemble des administrations, contraintes qui ont le mérite de nous imposer un effort de modernité en lequel il nous faut voir une chance pour l'avenir. Je ne cache pas que la Sainte-Geneviève de l'année 2008 ne sera l'occasion d'aucune annonce positive sur les moyens et les effectifs. Je prends le pari : aujourd'hui, je viens de renvoyer une nouvelle foi le TIE et sur un effectif théorique de 18, nous sommes 3 à bosser, mais c'est sûrement parce que je ne sais pas gérer mon service. Pour autant il nous faut, face à une adversité dont je reconnais volontiers l'existence, Ah tout de même ! ! continuer à avancer en restant groupés – groupés autour des vertus fondamentales qu'il nous est donné une fois par an de célébrer. Ces vertus qui ne sont pas de simples décorations sorties d'un tiroir et apposées une fois l'an comme des médailles au revers de notre travail quotidien.

C'est sur elles que repose son efficacité quotidienne ; Tiens, j'étais persuadé que c'était sur les gendarmes ! !

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Antiquenotre Institution l'est Ah enfin un point où nous sommes tous d'accord ! ! dans la mesure où elle se présente aujourd'hui adossée à huit siècles d'une histoire quelle a traversée avec assez de constance pour pouvoir prétendre en avoir hérité une véritable somme de sagesse. J'aurais préféré une somme,
tout simplement ! ...............................

Caduque notre Institution l'est dans la mesure où, ne s'étant jamais départie de ses valeurs, il peut arriver aujourd'hui qu'elle semble en décalage avec son temps Ben voilà un deuxième point d'accord !

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Comme Sainte-Geneviève la Gendarmerie, étant nationale, ramasse Paris et tout son alentour, c'est à dire veille, sur la quasi-totalité du territoire, à l'accès égal de la population au service public de sécurité. Ben là c'est pas gagné avec les COB et les délais d'intervention qui rallongent. Il suffit simplement demander aux accidentés du week-end, combien de temps ils ont attendu les gendarmes avec leur VL en travers d'une chaussée verglacée ! !
...................................... Je veux voir dans ce pas ferme le symbole de la loyauté indéfectible de la Gendarmerie qui cherche à accomplir sa mission sans faiblir quelles que soient les circonstances. On cherche, on cherche, mais vu les circonstances ....................
C'est ce pas ferme qui lui a permis de traverser tant d'époques en veillant à la sécurité des Français ; c'est lui qui lui permet de répondre aujourd'hui aux attentes des Français et d'envisager sereinement l'avenir. ? ? ? ? ? Diable, personne n'a entendu parler de la crise et de nos plans épargnes qui se cassent la g... (oui, nous a des plans d'épargne. On a pas de maison mais on a un plan d'épargne ! )
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Résumé : On est dans la M.....E ? Ben qu'à cela ne tienne ! ! ! On a l'habitude et on fera comme par le passé !

Petite citation:

Résumé : On est dans la M.....E ? Ben qu'à cela ne tienne ! ! ! On a l'habitude et on fera comme par le passé !

Mais on se fout de la gueu.. de qui aujourd'hui?

Désolé mon général, j'ai énormément de mal à vous suivre................

Amicalement ( un ancien de l'Oise60)
Inutile de préciser n'est-ce-pas!!

Raymond.

ben c'est fait, la réponse - merci Bernard.

salut,

ce discours est un discours de Ste Geneviève dons un discours de fête, fait pour redonner du courage, de l'espoir, ni plus ni moins.

Aucune autre utilité, il n'oblige, n'engage à rien qui que ce soit.

Le seul message à retenir est adaptez vous ou partez.

Et pour ce qui est des promesses, elles n'engagent que ceux qui y croient (instances de concertation par exemple)

Le précédent DG avait fait de même et certains y avaient crû et nous avaient eux-mêmes rassurés.

Pour en arriver là où nous sommes.