affectation de gendarme dans les SDIG

Bonjour,

Suite au rapprochement POLICE GENDARMERIE, un militaire de la Gendarmerie sera affecté auprés de chaque SDIG ( Service départemental d"information générale, ex RG), quelqu'un a t'il des infos sur ce sujet ?

ce sera un officier pas de SOG.
Sinon, on pourra trouver le bureau du SDIG entre celui du SBOUB et celui du SGUEGE...

Si un sous-off dans notre département... un chef affecté au CORG, cellule Rens.

je crois que le SDIG n'a rien à voir avec la cellule RENS du CORG.

Etant concerné par ce changement et après les retours de nombreuses cellules Rens de France et de Navarre, il semble que le choix du sous-off soit privilégié. Dans certains cas, l'OAR serait pressenti. Dans mon cas précis, le SDIG attend un militaire de la gendarmerie pour effectuer le même boulot que les fonctionnaires présents, à savoir la recherche du renseignement. Le souci, c'est que depuis la parution de l'instruction du MIOMCT, il n'y a eu aucun communication de la DGGN. Donc, les commandants de groupement sont laissés à la merci des volontés des préfets de département.
J'ai donné pas mal de coups de téléphones, reçu pas mal de mails de gens affectés dans une cellule rens et le sentiment est le même : qui ? quand ? comment ?
Il va falloir que la haute hiérarchie communique parce que toutes les personnes concernées aimeraient savoir à quelle sauce ils vont être mangés.

Pour drapeau blanc, je disais pour l affectation SIDG, dans notre groupement, ils ont pris un sous-off qui était anciennement à la cellule Rens Du CORG.

gendy974 a écrit:

Pour drapeau blanc, je disais pour l affectation SIDG, dans notre groupement, ils ont pris un sous-off qui était anciennement à la cellule Rens Du CORG.

Dans une cellule Rens à deux, ça va vite devenir difficile...

gendy974 a écrit:

Pour drapeau blanc, je disais pour l affectation SIDG, dans notre groupement, ils ont pris un sous-off qui était anciennement à la cellule Rens Du CORG.

ok merci !

Pour avoir quelques infos supplémentaires, le blog d'un parlementaire.

http://assemblee.blogs.liberation.fr/urvoas/

Je serais cdt de gpt, cette histoire m'embarrasserait pas mal.

asterix a écrit:

Pour avoir quelques infos supplémentaires, le blog d'un parlementaire.

http://assemblee.blogs.liberation.fr/urvoas/

Je serais cdt de gpt, cette histoire m'embarrasserait pas mal.

L'information générale restera du domaine de la police nationale, avec une maigre contribution de la gendarmerie... Que pourra donc faire un seul personnel ?
Au fil des années, les ex-RG ont appris à se spécialiser au sein de la filière du rens. Chez nous, plutôt que de suivre cette voie, on nous bombarde un officier adjoint chargé du renseignement (OAR) qui va changer tous les 3 - 4 ans, en plus des deux ou trois sous off qui arment la cellule rens.
Alors soit on ne fait rien et on reste dans ces conditions là, soit on fusionne tout

question :

toutes ces cellules sont elles aux normes......????????????????????

Le probléme c'est qu'aucune cellule renseignement n'a le même effectif et au fil des années les missions confiées à ces cellules ont complétement dévié du RENSEIGNEMENT. Elles font beaucoup de tout et plus vraiment la collecte et l'animation du renseignement au sein d'un groupement.

Pour cette réforme à venir ( un gendarme dans un SDIG) il est important que la DG réagisse et donne une ligne de conduite à tout le monde et ceci rapidement.

Des gendarmes vont prendre leurs fonctions, le mois prochain, au commissariat de police de Rennes. La capitale bretonne va anticiper sur un mouvement qui va concerner l'organisation du renseignement dans les grandes villes françaises, en plein chamboulement depuis deux ans. À la dissolution du service de police des renseignements généraux, une partie des effectifs a rejoint la surveillance du territoire (DST) pour créer le renseignement intérieur, et l'autre partie a été rebaptisée SIG (Service de l'information générale). C'est le SDIG (Service départemental de l'information générale) d'Ille-et-Vilaine qui accueillera les gendarmes. Ces derniers, au nombre de trois, se verraient confier le suivi des milieux agricoles.

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/finistere/rennes-35-des-gendarmes-au-commissariat-10-03-2010-817113.php

supreme a écrit:

asterix a écrit:

Pour avoir quelques infos supplémentaires, le blog d'un parlementaire.

http://assemblee.blogs.liberation.fr/urvoas/

Je serais cdt de gpt, cette histoire m'embarrasserait pas mal.

L'information générale restera du domaine de la police nationale, avec une maigre contribution de la gendarmerie... Que pourra donc faire un seul personnel ?
Au fil des années, les ex-RG ont appris à se spécialiser au sein de la filière du rens. Chez nous, plutôt que de suivre cette voie, on nous bombarde un officier adjoint chargé du renseignement (OAR) qui va changer tous les 3 - 4 ans, en plus des deux ou trois sous off qui arment la cellule rens.
Alors soit on ne fait rien et on reste dans ces conditions là, soit on fusionne tout

le renseignement se fait sur le terrain - le traiter c'est autre chose - perso, je crois qu'il faut demander l'avis aux brigadiers dont on connait d'ores et déjà la réponse. Et puis sur qu'un responsable des murs d'une brigade va s'investir dans la recherche orientée du renseignement, voilà également une des conséquences des communautés de brigade.
Ne soyez pas étonnés sous peu d'être commandés par des majors de police, dans ces services spécialisés.
le vrai problème est bien que c'est un policier qui va présenter le renseignement de la gendarmerie et le traiter.
Mais dans la logique actuelle plus rien ne me surprend. Mais ne venez pas pleurer quand on va venir vous dire que votre statut militaire ne correspond plus à votre fonction, puisque c'est vers là qu'on va, et à l'heure où les retraites des fonctionnaires vont se rapprocher notablement de celles des civils, vous irez chercher la proportionnelle et les avantages de cumul.
Moi ce que j'en dis ..............

Quel rapport entre notre statut et le renseignement?

Nous continuerons à le chercher mais il sera analyser par des spécialistes. Je ne vois pas en quoi cela atteint le statut militaire.

Surtout que, soyons sérieux, nous n'avons aucune réelle capacité d'analyse du rens. Nous le trouvons (quel qu'il soit), le transmettons (kouci kouca) et puis ....
La Police a, par contre, fait du rens une réelle activité.

Mais il est vrai que la réarticulation des cellules rens semble complexe ... pourquoi pas une unique (et donc confortablement fournie) au niveau Région? Je ne sais pas ce qu'en pensent les membres de ces cellules actuellement...

drapeaublanc a écrit:

ce sera un officier pas de SOG.

Comme ça il pourra demander aux SOG de faire le boulot de fourmi qu'il remettra ensuite comme si c'était lui qui l'avait fait, comme d'hab quoi.

Mais à quoi servent aujourd'hui nos Off dans les Groupements ?

citoyen a écrit:

Suite au rapprochement POLICE GENDARMERIE, un militaire de la Gendarmerie sera affecté auprés de chaque SDIG ( Service départemental d"information générale, ex RG), quelqu'un a t'il des infos sur ce sujet ?

Lors de sa visite à METZ le 09-03-2010..
Le Major Général a répondu à cette question, en indiquant, que son rôle principal sera de faciliter la transmission des renseignements entre les cellules rens et le SDIG..

GDenberne a écrit:

citoyen a écrit:

Suite au rapprochement POLICE GENDARMERIE, un militaire de la Gendarmerie sera affecté auprés de chaque SDIG ( Service départemental d"information générale, ex RG), quelqu'un a t'il des infos sur ce sujet ?

Lors de sa visite à METZ le 09-03-2010..
Le Major Général a répondu à cette question, en indiquant, que son rôle principal sera de faciliter la transmission des renseignements entre les cellules rens et le SDIG..

Une petite idée de l'origine de cet arbitrage concernant les SDIG ...

Citation :

Guerre sourde entre gendarmes et policiers sur le renseignement

(( source LE MONDE ))

Le sigle RG, qui a désigné pendant des années les Renseignements généraux, n'a pas disparu. A plusieurs reprises, ces dernières semaines, les policiers de la sous-direction de l'information générale (SDIG),
héritière des RG depuis la réforme de 2008, ont eu la surprise d'entendre leurs interlocuteurs leur dire : "Ah mais vos collègues des RG sont déjà passés !" C'est arrivé, en juin par exemple, lors des élections européennes lorsqu'ils se sont présentés à la porte d'un semencier distributeur de produits Monsanto dans le Gard, où était
attendu José Bové. Les collègues "RG" étaient passés : RG comme... Renseignement gendarmerie.
L'utilisation du sigle, contestée par la gendarmerie nationale mais rapportée par plusieurs policiers, révèle le climat de concurrence exacerbée qui règne entre les deux forces de sécurité dans le domaine du renseignement. Le conflit, qui dure depuis plusieurs mois, s'est encore envenimé ces derniers temps avec l'apparition dans les départements d'officiers de la gendarmerie chargés de coordonner le renseignement.
Ainsi, dans son édition du 17 août, le quotidien Sud-Ouestprésentait-il dans ce nouveau rôle, au sein du groupement du Lot-et-Garonne, une jeune femme, le capitaine Delphine Séguier.
Un peu partout, d'autres officiers prennent en ce moment leurs marques. En cause : la loi sur la gendarmerie du 3 août qui spécifie officiellement, pour la première fois, que la gendarmerie "contribue à la mission de renseignement et d'information des autorités publiques".
Réunis, depuis le 1er janvier, sous la même tutelle du ministère de l'intérieur, policiers et gendarmes veillent jalousement sur leurs prérogatives. Les gendarmes n'ont pas apprécié qu'à la faveur de la réforme du renseignement policier, les anciens RG, rattachés à la sécurité publique, s'organisent à l'échelon départemental.
Profitant alors de la déstabilisation des services policiers, ils ont riposté en renforçant leurs propres équipes. Les "cellules renseignement" de la gendarmerie existent depuis 1994 mais désormais les brigades territoriales, traditionnelles interlocutrices jusqu'ici des policiers ex-RG, refusent de leur donner leurs informations...
Depuis, les tensions n'ont cessé de croître. Déjà en juin, les préfets s'étaient émus de cette situation dans une note de synthèse envoyée au gouvernement. "Certains préfets, écrivent-ils en citant les départements de la Drôme, du Lot, du Pas-de-Calais, des Hautes-Pyrénées, et de la Haute-Saône, constatent que depuis la
création des SDIG, la gendarmerie départementale développe des cellules de renseignement, parfois même en zone police (Pas-de-Calais), troublant ainsi les relations et la cohérence d'action des deux services."
Vingt-deux préfets, précise le document, "estiment souhaitable de clarifier les attributions d'un SDIG dont la compétence départementale (...) est souvent contestée par la gendarmerie. Il s'agit avant tout d'éviter les doublons ou, au contraire, le non-traitement de données importantes, voire de perdre des informateurs désorientés"...
Sur le terrain, les incidents se multiplient. Et plus personne ne sait très bien qui fait quoi. C'est ainsi que le SNUIpp-FSU de l'Hérault, principal syndicat de l'école primaire, a fini par écrire en février au directeur des services départementaux de l'éducation nationale pour dire son étonnement, dates à l'appui, concernant des
visites répétées de gendarmes désireux de savoir "si tout se passait bien". "Cela faisait suite à l'observation de très nombreux parents qui, au moment de l'occupation de certaines écoles, l'ont pris comme une manoeuvre d'intimidation, témoigne Patrick Toledano, secrétaire régional du SNUIpp-FSU. Avec les RG, c'est plus soft, ils téléphonent."
Ulcérés, certains policiers jurent même avoir aperçu des gendarmes habillés en civil lors de manifestations, notamment dans le Nord. Cette possibilité existe, répond-t-on à la direction de la gendarmerie, mais
"à titre exceptionnel, lors de manifestations violentes". Or, depuis leur réunion sous une même tutelle, policiers et gendarmes sont contraints de s'entendre pour se coordonner et envoyer un même chiffrage des manifestations locales. Les territoires se confondent mais la guerre des nerfs, elle, se poursuit.

Ou en est ce positionnement de gendarmes au sein des SDIG ?

Quelqu'un a t'il des nouvelles, des militaires sont ils déja en place ? Sous officier ? Officier ?

Chez nous, il y a un élément rens au niveau de la compagnie et une cellule rens au niveu du groupement.... et ils n'arrivent même pas communiquer entr'eux..... qu'elle blague... nous sommes régulièrement sollicités par les deux pour le même renseignement... par contre je n'ai pas souvenir avoir reçu un message de la cellule rens pour me dire quoi que ce soit d'intéressant....Pour résumer: si entre gendarmes on n'arrive pas à communiquer, je me demande bien comment ils vont faire au sein de cette SDIG....

Dans le calvados il y a un nombre pas possible de volontaires....

Des fans du renseignement???..... alors là pas du tout, ce qui les attirent c'est un "détachement en police"

Les gars sont super motivés à l'idée de vivre " à la flic"!!!

La fusion devrait passer sans douleur......................

The SPAWN a écrit:

Dans le calvados il y a un nombre pas possible de volontaires....

Des fans du renseignement???..... alors là pas du tout, ce qui les attirent c'est un "détachement en police"

Les gars sont super motivés à l'idée de vivre " à la flic"!!!

La fusion devrait passer sans douleur......................

Petite question c'est quoi vivre à la flic...au sein d'un SDIG???

on pourra imaginer la visite des autorités dans un SDIG (Service départemental de l'information générale)

LE PREFET ; alors voiçi cette nouvelle cellule dont tous le monde parle ?
LE DDSP ; Oui Mr le Prefet et voiçi trois gendarmes chargés des renseignements sur le monde agricole
LE PREFET ; Ah oui !? c'est interessant et comment vous organisez vous ( en se tournant vers l'officier de Gendarmerie du SDIG)
L'OFFICIER ; et bien c'est simple Mr le Préfet mes deux gendarmes s'occupent des marchés agricoles fruits et légumes. Le gendarme X centralise les renseignements sur l'agriculture fruitière et le gendarme Z s'occupe des renseignements sur les légumes !
LE PREFET ; AAAAHHH !! Et vous ?
L'OFFICIER ; Moi ? et bien c'est simple je m'occupe des fromages
LE PREFET ; des fromages ?! c'est dans les fruits ? ou les légumes ?
L'OFFICIER ; HEU ...c'est dans l'ordinateur Mr le Prefet, je fais des fromages ... enfin HEU ... des stats quoi...


tout un programme... enfin faut bien rigoler...

La Guarda a écrit:

The SPAWN a écrit:

Dans le calvados il y a un nombre pas possible de volontaires....

Des fans du renseignement???..... alors là pas du tout, ce qui les attirent c'est un "détachement en police"

Les gars sont super motivés à l'idée de vivre " à la flic"!!!

La fusion devrait passer sans douleur......................

Petite question c'est quoi vivre à la flic...au sein d'un SDIG???

- 35 heures
- récupérations des heures.
- de beaux ordis et de belles fords.....blablabla à chacun sa perception des choses

En somme et de sorte de ne pas partir dans des polémiques fondées sur les petites exépériences et témoignages personnels... je dirai que vivre à la flic se sont tous les avantages de cette administration qui font que des centaines voir des milliers de gendarmes sont candidats aux détachements en PN et qu'aucun GPX n'oserait certainement songer à un détachement dans les cellules rens du CORG local.

Voilà

drapeaublanc a écrit:

ce sera un officier pas de SOG.
Sinon, on pourra trouver le bureau du SDIG entre celui du SBOUB et celui du SGUEGE...

je confirme chez nous c'est un Lieutenant. Pas de SOG. Son bureau sera au commissariat de la Prefecture du departement.

Bonjour à vous tous,

en ce qui concerne l'affectation dans un SDIG, je suis dans les startings blocks. Je vais être affecté au CORG mais détaché permanent au SDIG.
Pour l'instant je ne sais toujours pas quand car c'est une décision qui sera prise par la direction.
Je ne sais donc pas quand je vais rejoindre les collègues policiers.
Je vais faire une stage de 5 jours à la cel rens et ensuite je serais en doublette avec un policier du SDIG pendant un certain temps puis je prendrais un secteur et les permanence départementales comme les autres.
Quelqu'un aurait-il des informations plus précises sur l'organisation de cet emploi.
Merci

Bonjour à vous tous,

Pour notre groupement c'est un adjudant chef qui remplira ces fonctions. Il était hors de question de mettre un officier à ce poste.
en ce qui concerne l'affectation dans un SDIG, je suis dans les startings blocks. Je vais être affecté au CORG mais détaché permanent au SDIG.
Pour l'instant je ne sais toujours pas quand car c'est une décision qui sera prise par la direction.
Je ne sais donc pas quand je vais rejoindre les collègues policiers.
Je vais faire une stage de 5 jours à la cel rens et ensuite je serais en doublette avec un policier du SDIG pendant un certain temps puis je prendrais un secteur et les permanence départementales comme les autres.

Quelqu'un aurait-il des informations plus précises sur l'organisation de cet emploi.
Merci

Faites pour le mieux, les gars. Il parait que si les premiers affectés au SDIG font l'affaire, d'autres suivront.
C'est un moyen extraordinaire de transférer des effectifs de la gendarmerie vers la police. Comme ça pas besoin d'augmenter les suppressions de postes Gie. Et en détachant des sous-officiers, pas de conflit de chefs.

Je dois reconnaitre que le grand esprit qui règle nos vies est de plus en plus clairvoyant.
Loué soit mon seigneur et maitre.

Bordeaux - Un gendarme intègre le Service du renseignement aux côtés des policiers.

« C'est une vraie révolution culturelle », admet le commissaire divisionnaire Didier Adam, à la tête du Service départemental de l'information générale (Sdig) à l'hôtel de police de Bordeaux, où il supervise le renseignement sur l'ensemble des 20 départements de la zone de défense Sud-Ouest.
En effet, un gendarme ayant son bureau dans un commissariat de police n'était pas imaginable il y a quelques années.

Depuis huit jours, c'est chose faite à Bordeaux. Le 10 mai, un lieutenant qui était chef du Centre opérationnel de renseignement de la gendarmerie (Corg) vient de rejoindre le Sdig. Cet officier a reçu auparavant le feu vert du commandant de groupement pour rejoindre sa nouvelle affectation. « Nous travaillons en cousinage, il s'agit d'une synergie totale », précise Albert Doutre, directeur départemental de la Sécurité publique de la Gironde, sous l'autorité duquel travaille le Sdig. « Nos services ont un intérêt à mutualiser le renseignement pour une meilleure fluidité de l'information. »

Depuis 2008, on ne parle plus des Renseignements généraux (RG) ni de la DST (Direction de la surveillance du territoire), mais de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), née de la fusion de ces deux services....................

http://www.sudouest.fr/2010/05/17/policiers-et-gendarmes-cousinent-93763-2780.php